lundi 18 mars 2024

La C.P.A.M (Caisse Primaire d'Assurances Maladie), boulevard Hoche, St Brieuc 1982

 

Après l’arrêt de la production des Forges-et-Laminoirs situées entre le boulevard Carnot et le boulevard Hoche, ces vastes terrains ont constitué pendant un temps une friche industrielle avant que la C.P.A.M s'installe.

 

Un projet avant celui de la C.P.A.M

Un projet de résidence a failli voir le jour avant celui de la C.P.A.M, des plans sont déposés dès le mois de février 1970 par l’architecte F. Gross Quélen, installé 2 rue Chateaubriand à Saint-Brieuc. Il s’agit d’un ensemble de 400 logements appelé « Résidence des Forges », avec 165 places de parking au sol et 400 en sous-sol. Une école maternelle est même prévue !

 

Projet de la Résidence des Forges. 1970. Archives départementales.

 

Projet de la Résidence des Forges. 1970. Archives départementales.

 


S’il s’était réalisé, ce projet aurait occupé tout l’espace entre la rue Paul Le Flem et le boulevard Vauban où se trouvent actuellement la C.P.A.M et la résidence Espace composée des trois bâtiments, de 21 mètres de haut, nommés Concorde, Comète et Mirage.

La réhabilitation de la friche industrielle des Forges-et-Laminoirs se fera en deux temps, tout d’abord la résidence Espace puis la C.P.A.M.

Le projet est confié à l'architecte André Hauvespre qui dépose un permis de construire le 12 octobre 1976 pour la parcelle 382. 

A l'automne 1981, les travaux sont en cours d'achèvement comme le montre la photo ci-dessous. Une nouvelle voirie reliant la rue François Menez au boulevard Carnot est réalisée par les services techniques de la Ville. 


Construction de la C.P.A.M. Le Griffon numéro 57. 1981

 

La C.P.A.M (Caisse Primaire d’Assurance Maladie) au 106 boulevard Hoche.

Finalement début 1982, c’est donc la C.P.A.M (Caisse Primaire d’Assurance Maladie) qui s’installe au 106 boulevard Hoche, entre le boulevard Carnot et le boulevard Hoche, sur une partie des Forges et Laminoirs. Les anciens du quartier se souviennent de l'immense cheminée en brique des forges qui surplombait le quartier de Robien à 36 mètres de haut. Le sommet de la tour de 8 étages de la C.P.A.M n’atteint pas cette hauteur.

En 1981, ce sont plus de quatre cent personnes qui viennent chaque jour travailler dans les bureaux de la C.P.A.M. Les places de parking ont été prévues en assez grand nombre pour les employés. 

 

C.P.A.M Photo aérienne. Archives municipales

 

Louis Cabon a suivi tout le projet de la C.P.A.M et il en est le premier directeur en 1981. C’est un natif du quartier de Robien, né en 1929 (décédé en septembre 2010). Il a été conseiller municipal de 1965 à 1977 sous la municipalité Le Foll, initiateur du Comité de la Croix d’Or de St Brieuc (lutte contre l’alcoolisme), premier président du comité de jumelage avec la ville d’Alsdorf.

 

Louis Cabon, photo Le Télégramme 2010

 

Le bâtiment de la C.P.A.M

L’architecture est caractéristique des années 80, donnant un aspect assez massif à ce type de bâtiment administratif surtout le long du boulevard Hoche.


Entrée de la C.P.A.M boulevard Hoche, St Brieuc. Photo RF


Le long du boulevard Carnot une ligne plus élégante est formée par une galerie en arc de cercle.

 

C.P.A.M Boulevard Carnot. Photo RF

 

C.P.A.M Boulevard Carnot

La question des emplois

Cette solution de faire venir la Sécurité Sociale s’inscrit dans la même logique que les transferts de l’Hôtel des Finances et des Archives départementales, des choix qui ont surtout une répercussion sur l’augmentation des emplois dans le tertiaire à Robien. C’est un grand changement par rapport à la vocation industrielle et commerciale qui avait prévalu à Robien depuis le début du XXe siècle.

L’installation de la Sécurité sociale n’a pas eu d’incidence sur l’emploi, le commerce ni le logement dans le quartier.

Ce sera le problème des opérations immobilières des années 80-90 dans le quartier de Robien : beaucoup de constructions mais très peu d’emplois créés sur place.

C’est ce qui est mis en évidence par M. Chalas, un urbaniste, et ses collègues qui ont planché sur un projet de revitalisation du quartier de Robien (P.A.C.T-A.R.I.M). M. Chalas s’exprime ainsi dans un article de Ouest-France du 26 juin 1985 intitulé « L’opération Sécu : à éviter » : « Il convient avant tout d’éviter la construction d’un ensemble comme celui de la Sécurité sociale, boulevard Carnot. Non seulement une telle réalisation ne s’intègre pas au quartier d’un point de vue architectural, au contraire des établissements industriels comme les Forges-et-Laminoirs, par exemple, mais elle n’a rien apporté au point de vue animation. Comme il s’agissait d’un simple transfert, il n’y a pas eu de créations d’emplois. Quant aux employés existants, ils disposaient déjà pratiquement tous de logements, ce qui n’a entrainé aucune répercussion sur la construction dans le quartier. »

On peut néanmoins supposer que la présence de tous ces emplois tertiaires génère une certaine activité occasionnelle dans des commerces et services à proximité (garages, restaurants...). 

  

Anecdote

Il est question de la C.P.A.M  dans l'édition de Ouest-France du 22 mars 2024 mais pour une manifestation de médecin libéraux. Le bâtiment, bien identifiable, sert de toile de fond à cette photo.

 

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Sources

Projet de la Résidence des Forges. 1970. Archives départementales.

Le Griffon numéro 57. 1981

Article de Ouest-France du 26 juin 1985

Louis Cabon, directeur C.P.A.M. Le Télégramme 17 septembre 2010. 

 

 

vendredi 1 mars 2024

L'histoire de la famille Lucas, commerçants, 60 rue Jules Ferry, quartier de Robien à Saint-Brieuc. 1934-1999

Erwan Lucas a grandi 60 rue Jules Ferry. Sa mère a tenu Robien-Presse entre 1970 et 1976. La maison a été construite par ses grands-parents paternels au début des années 1930 et son père y a vécu plus de 60 ans. Sur plusieurs générations, la famille Lucas a exercé dans le commerce à Robien.
Après des échanges par courrier électronique, Erwan a bien voulu replonger dans ses souvenirs, voici son témoignage recueilli le 14 décembre 2023. 



Le bistrot Lucas

« Mes grands-parents, Marc et Marie (dite Marie-Anne) Lucas, sont partis de Corlay en 1919 pour reprendre un café à Paris, Porte de la Chapelle. Ils sont revenus au début des années 1930 à Corlay, après être passés au Mans et à Rennes. Ils avait mis de l'argent de côté et ont acheté une parcelle de terre à Robien, à mi-chemin entre la "Petite Vitesse" (gare des marchandises, côté Robien) et l'usine Sambre-et-Meuse.

Ils ont fait construire la maison du
60 rue Jules Ferry en 1934-35 par "je ne sais plus qui"... J'avais récupéré le plan quand on a vidé le dernier étage où résidait encore mon père en 1999. J'ai malheureusement perdu ce plan dans un déménagement dans les années 2000.
Il me reste juste les devis de branchement du gaz et de l'électricité auprès de la Compagnie Lebon aux dates des 11 et 20 décembre 1935.

Ci-dessous, recensement de 1936, au 62 bis de la rue Jules Ferry, on trouve Marc Lucas, né en 1890 à Saint-Igeaux ; Marie Lucas, son épouse, née en 1898 à Hillion ; et Léon Lucas, le fils, né à Paris en 1924. Marie Lucas était née à Hillion au Château des Aubiers, où ses parents étaient respectivement jardinier et cuisinière (originaires du Faouët, dans le Morbihan).

Recensement 1936. 62 bis rue Jules Ferry. Vue 250. Archives départementales

"La maison du 60 rue Jules Ferry est assez impressionnante à l'intérieur. Le rez-de-chaussée était au départ un café tenu par mes grands-parents, avec un appartement en rez-de-chaussée derrière. Mes grands-parents ont arrêté de tenir le café dès la fin des années 1930 (ma grand-mère était malade). Par la suite, ce sont les Carré qui ont loué les murs comme épicerie jusqu'à la fin des années 1960".

D'après des recherches plus précises, au 60 rue Jules Ferry, il y a eu de 1945 à 1948 l'épicerie Morvan, de 1948 à 1957 l'épicerie de M. Prosper Jouannigot. En 1957 seraient arrivés M et Mme Gaston Carré.

Le 60 rue Jules Ferry, après transformation du rez-de-Chaussée. Photo RF 2024


Les trois maisons Lucas

"Mes grands-parents avaient aussi construit le 62 rue Jules Ferry, c’est la maison faisant angle avec la rue Jean Giraudoux, ouverte après. Ils habitaient au 1er étage de cette maison où j'ai passé ma 1ère année (je suis né en 1964). 

A gauche, le 62 rue Jules Ferry à l'angle de la rue Giraudoux. Photo RF

"Mes parents ont construit en 1964/1965 le 4 rue Jean Giraudoux, voisin du 62 rue Jules Ferry sur une parcelle héritée par mon père. J'ai habité cette maison de 1965 à début 1970. Elle a été occupée après nous par la famille Guillemaud. Eric Guillemaud, un des enfants, est connu à Saint-Brieuc comme speaker du Stade Briochin." (Il est aussi connu comme animateur de la traditionnelle Foire-Exposition et autres manifestations commerciales des Côtes d'Armor, une carrière commencée en 1986 à Radio contact, une radio-libre de cette époque.)

Maison au milieu, le 4 rue Giraudoux et à droite, le 62 rue Jules Ferry. Photo RF


"Mon grand-père avait vécu la guerre de 14-18. Il avait remarqué que les seules maisons qui restaient debout dans les bombardements étaient celles avec une armature en béton. La maison du 60 rue Jules Ferry a donc eu droit, en plus de murs de pierre de taille de 60 cm, à des poutres en béton depuis les fondations jusqu'au 3ème étage. Ce qui est rare pour ce type de maison.

Vers 1948-1949, les grands-parents Lucas, encadrant leur fils. Photo prise dans l'escalier du 62 rue Jules Ferry.


Les 1er et 2ème étages de la maison comprenaient chacun deux appartements de rapport. Le 3ème étage un appartement. Derrière, il y a un grand jardin, avec une buanderie/lavoir et une cave en béton par appartement. Chaque appartement avait les wc sur le palier, et les chambres avaient une cheminée. La disposition intérieure de la maison a été profondément modifiée à partir de 1970.

Ma mère travaillait au Cadastre. Elle s'appelait Monique Le Nabasque de son nom de jeune fille. Elle a eu 3 enfants et a pris sa retraite après ma naissance. Mon père s'appelait Léon Marcel mais utilisait le second prénom, Marcel, dans la vie  courante ; il travaillait à la Sécurité Sociale".

Vente de terrain. Annonce 5 juin 1958 Ouest-France


La librairie-papeterie-journaux. 1970-1995
"En 1970, après avoir revendu le 4 rue Jean Giraudoux et le 62 rue Jules Ferry, on est venus habiter au 60. Ma mère a repris le magasin des Carré en le transformant en librairie-papeterie-journaux (et bonbon et BD !). J'ai passé mon enfance de 6 à 12 ans dans ce magasin, où je peux dire que j'ai appris à lire".

Ci-dessous, l'annonce de cette ouverture est parue le 8 avril 1970 dans Ouest-France. 


Ci-dessous, en 2008, on voyait encore que le rez-de-chaussée de la maison abritait un pas-de-porte. Après avoir été un café puis une épicerie, à partir de 1995 s'est installé un cabinet d'assurances. Puis des travaux ont été effectués pour récupérer le local commercial et en faire un appartement, ce qui est le cas de nombreux endroits dans Robien.

En 2008, 60 rue Jules Ferry. Photo Google-Street

En 2024, 60 rue Jules Ferry. Photo RF

"Je vais vous dire un vrai souvenir. Le matin, vers 6h, ma mère était livrée en journaux. Une pile posée par le livreur sur la marche du magasin. Les ouvriers de Sambre-et-Meuse qui descendaient de la gare passaient devait le magasin avant son ouverture. Il prenaient un quotidien et laissaient les pièces de monnaie sur la marche. Ma mère les ramassait quand elle ouvrait le magasin à 8h00. Toute une époque. On ne verrait plus ça aujourd'hui".

Ci-dessous, photo prise dans le magasin du 60 rue Jules Ferry. On voit le titre des journaux : "Le Premier Ministre Pierre Messmer a démissionné", la photo date donc de 1974. Le visage de la propriétaire a été flouté...

1974. Dans le magasin Robien-Presse. Photo famille Lucas.


"Ma mère a vendu le fonds aux Benoit en 1976. Ils y sont restés deux ou trois ans. Après, il y a eu Mlle Mazières, qui a tenu le magasin de 1979 à 1993 (sous réserve). Il y a eu ensuite une dame qui est resté peu de temps 2 ans environ mais j'ai oublié son nom, puis le cabinet d'assurance à partir de 1995 (?).

Mon père a passé la fin de sa vie au dernier étage du 60 rue Jules Ferry. Il ne lui restait plus que cet appartement, plus les murs du magasin du rez-de-chaussée, qui a été vendu à l'assureur, si j'ai bonne mémoire. Il y a vécu de fin 1935 à 1999, moins deux années à l'armée en 1946-1948 et deux années à Langueux en 1979-1981, ça fait 60 ans".


Souvenirs, souvenirs

"Je me souviens bien de la scierie Corouge, qui donnait dans le fond de notre jardin, du garage et combustibles Morin". Erwan Lucas.

 "J'ai habité au 4 rue Jean Giraudoux justement, de 1982 au moment de ma naissance jusqu'à 1998, avec mon frère Sébastien Rodriguez et ma sœur Laurence Le Moulec. Je me souviens bien de Robien-Presse, de la cour derrière et du toit des caves en béton derrière qui me servait de terrain de jeu". Benjamin Rodriguez

Ci-dessous, voici une vue de l'arrière de la maison et du terrain où la famille Corouge stockait du bois. C'est l'état en février 2024 au moment où les travaux commencent sur le site de l'ancien garage Morin qui doit être transformé en résidence et maisons particulières.


Souvenirs, souvenirs

Voici une photo datant de 1972-1973 prise devant le 60 rue Jules Ferry, avec Erwan Lucas et son frère, Laurent Rioche (fils du peintre, sa mère tenait une droguerie, on voit l'enseigne) et Vincent Longin, fils des grainetiers (angle rue Jean Jaurès et Condorcet, avant Rowland). 

Rioche. 4 octobre 1969 Annonce Ouest-France

On voit derrière l'immeuble du 79 (?) rue Jules Ferry en construction. Il a succédé à l'entrepôt Kerfant (ancêtre de Promodès, livraison des épiceries). L'immeuble se trouve en face de la station service Morin (démolie en 2024). Un peu à l'arrière plan, sur le même côté, c'est la maison de la famille Méheust.

Personnages floutés.1973, devant le 60 rue Jules Ferry à Robien. Photo famille Lucas
 

Souvenirs, souvenirs

"Au début des années 60, le jeudi, pour le goûter, j'allais avec Mona Lucas (née en 1956) chez sa grand-mère qui habitait au rez-de-chaussée de cette maison qui fait l'angle de la rue Giraudoux. Elle nous faisait des poires pochées, et quelquefois elle arrosait avec une  petite bouteille de l'eau bénite autour de la maison par dessus le mur". 

Nicole Gressier

 

Généalogie

Dans le recensement de l'année 1901 à Saint-Igeaux, on trouve Lucas Marc, fils de Lucas Alain et de Marie-Louise Le Meaux. Il a dix ans. C'est lui qui tiendra le bistrot au 60 de la rue Jules Ferry dans les années 30.


Le 62 rue Jules Ferry après transformation

La maison du 62 rue Jules Ferry, qui possède aussi une entrée rue Giraudoux a été transformée avec beaucoup de goût par Mme Gérard, Jeanine Gendrot (ancienne présidente du Comité de Quartier) quand elle l'a habitée (C'est cette maison qui est en vente en 2023-2024).

L'escalier carrelé refait par Mme Gérard elle même ! Photo RF Février 2024

 

Redistribution des pièces au 1er étage. Photo RF Février 2024



Premier étage, cuisine ouverte. Photo RF Février 2024

Premier étage. Photo RF Février 2024


Si vous avez d'autres renseignements, témoignages ou documents, sur l'histoire de la famille Lucas (café, épicerie, librairie), merci d'utiliser le formulaire de contact. 

Un article de Richard Fortat, publié le 30 janvier 2024

D'autres histoire de Robien en accédant au sommaire du blog en cliquant ICI


Sources

Témoignage d'Erwan Lucas, décembre 2023 et correspondances en janvier et février 2024.

Recherches dans les archives de Ouest-Eclair et de Ouest-France (Portrait d'Eric Guillemaud, 2 avril 2016). 

Recensement Saint-Igeaux, famille Lucas, image 8, cliquer ici

Recensement 1936. 62 bis rue Jules Ferry. Vue 250. Archives départementales.

Blog de l'histoire de Robien : le commerce en 1948, en 1955, en 1980...

 


Le commerce dans le quartier de Robien à Saint-Brieuc, entre 1968 et 1975

 

Par rapport à ce que l'on trouvait comme commerces en 1955, on constate des modifications certaines au début des années 70 dans le quartier de Robien.

Des commerces liés au mode de vie rural continuent de disparaitre, le quartier perd son commerce de beurre au détail, son marchand de chevaux...

Le déclin continue de s'opérer du côté des épiceries à cause de la concurrence des grandes et moyennes surfaces (Mammouth, toujours prêt à écraser les prix et les petits commerces, a ouvert à St Brieuc le 19 mars 1970 !).

Les commerçants et artisans de Robien se regroupent pour passer des annonces comme ci-dessous pour le Noël 1968, avec une annonce publicitaire suivie d'une liste de commerçants et artisans du quartier.


Commerces Robien 17 décembre 1968 Ouest-France

Les commerçants et artisans de Robien essaient de tirer profit des animations liées à la Semaine commerciale qui se déroule en automne à Saint-Brieuc.

L'exemple de cette pleine page dans l'édition de Ouest-France du 4 octobre 1969 montre le dynamisme du quartier.

La soirée qui clôture cette semaine commerciale se tient à la salle de Robien, c'est une manière d'attirer la curiosité sur le quartier.


Au début des années 70, Robien fait donc encore preuve de beaucoup de dynamisme sur le plan du commerce mais aussi avec ses entreprises petites ou moyennes, ses artisans, ses services qui forment le tissu du quartier. 

Robien-Lav'omatic. 15 bis Rue Jules Ferry. Photo RF 2021

 

Si vous avez des documents ou des témoignages à partager, merci d'utiliser le formulaire de contact en haut de page.

 
 
 
 Commerces, services et entreprises à Robien dans les années 70

 

Aciérie

Sambre et Meuse, 82 rue Jules Ferry

 

Agence immobilière

Robien immobilier, 49 boulevard Hoche (en 1969)



Alimentation

Marche Alain, 49 rue abbé Garnier

Remarque :  L'épicerie tenue par Alain Marche rue abbé Garnier a été aussi tenue par Louis Marche et son épouse Joëlle dans les années 80. Alain Marche a été le premier président du Comité de quartier de Robien en 1983, il a été aussi conseiller municipal puis adjoint au maire. A la place de cette épicerie s'est ensuite installée une auto-école.

 

Guillotin, l’Économique, rue Jules Ferry

L'économique 26 octobre 1972 Ouest-France


Méheut Pierre, libre-service éGé, 35 rue Jules Ferry (en 1969 et encore en 1975). Pierre Méheut avait repris le pas-de-porte de l'ex épicerie Lecoq à la fin des années 50 (voir le commerce en 1955)

Entre 1961 et 1965, on a la trace dans la presse locale de M. Yobé qui tenait L'épicerie générale au 11 rue Jules Ferry...

 

Poirier, épicerie générale au 139-141 rue Jules Ferry tenue par "Le père Poirier" et sa femme (le fils, Paul, était plombier à la même adresse).

Le Moal, 6 rue de Trégueux, années 60-70

 

David Louis, libre-service, 26 rue Aristide Briand (en 1969) 

Une autre épicerie existait au début de la rue Aristide Briand (numéro 6). Mais il reste à trouver le nom des propriétaires et les années où cette boutique était ouverte... (utilisez le formulaire de contact)

6 rue Aristide Briand. Image Google Street


M. Georgelin, épicerie, 22 rue de Robien (dans les années 60 et au moins jusqu'en 1975). L'épicerie était peut-être tenue par une gérante mais M et Mme Georgelin étaient les propriétaires. 

Lorsque l'épicerie a été vendue, avant d'être transformée en maison d'habitation, l'intérieur était resté avec toutes ses étagères le long des murs... 

A noter que les nouveaux propriétaires ont retrouvé des briques estampillées "Briques Le Dû", comme en trouve dans le quartier. 

22 rue de Robien


Une épicerie tenue par M et Mme Gaston Carré a existé au 60 rue Jules Ferry jusqu'en 1966 environ. Après l'épicerie, il y a eu Robien-Presse (ouverture en avril 1970) puis un cabinet d'assurances (photo ci-dessous).

 

Le pas-de-porte du 60 rue Jules Ferry


 

Chez Josiane, bar-épicerie, 60 rue Luzel (de 1969 à 2010)

Bar-Epicerie tenu par M. Quénesson et repris par Josiane L'Hôtellier en 1969.


Chez Théo, bar-épicerie-restaurant, 61 rue Luzel

  

Chez Gicquel, ou "Bar des deux Ponts", 65 rue Luzel.

C'était un bar-épicerie tenu par François Pécheux dans les années 30 et jusqu'au début des années 60.Vers 1965, Francine Gicquel a repris l'affaire.

On y trouvait un peu de tout, de l'épicerie, de la charcuterie, des pointes, des casseroles, des cigarettes etc. Les gens disaient c'est "Le petit Mammouth" (du nom d'une chaine de grandes surfaces de l'époque). 

 

 

 

Bar

Daoulas, 23 boulevard Carnot

Bar de la Petite vitesse, 2 rue Jules Ferry 

Bar de l’Octroi, M. Georgelin,101 rue Jules Ferry (nouveau propriétaire en 1969)


Pavillon bleu, 117 rue Jules Ferry

Le Liboux, café-tabac, 33 boulevard Carnot

Le Tourbillon, bar-restaurant, 31 rue de Robien

 


 

 

Blanchisserie-Pressing.

M. Martin, Robien Lav'omatic, blanchisserie, nettoyage à sec, 15 bis rue Jules Ferry (en 1969).

Le pressing sera racheté à M. Martin par M. Domalain et fonctionnera jusqu'en décembre 2008.



 
Blanchisserie Domalan, 15 bis rue Jules Ferry. Photo André Bougeard.

 

 

 

Bobinage

Motelec, fondé en 1947, 34 rue Émile Zola

 

Le Griffon 1972. n°26

 

 

Bonbons

Des témoignages attestent qu'il y avait un petit comptoir de vente de bonbons rue Jules Ferry, peut-être au numéro 31 où se trouvait avant M. Cabon, le marchand d'oeufs et de volailles.

Tous les renseignements supplémentaires sur ce commerce sont les bienvenus ! 

 

31 rue Jules Ferry

 

 


Boucherie

Beloeil, boucherie, charcuterie, volailles, 28 rue Aristide Briand (en 1969)


Boujeant, 5 rue Anne de Bretagne

 

Le Flochmoine Jean, 9 rue Jules Ferry

Le Moullec Robert, 44 rue Jules Ferry (en 1969)


Rault, 1 boulevard hoche

 

Radenac Jean-Pierre, Matériel de boucherie, bars, matériel de cuisine, 6 impasse Jules Ferry

 

30 octobre 1969 Ouest-France

 

 

Boulangerie-pâtisserie

Boulangerie Cocheril puis Gauvin, 17 boulevard Carnot

Blévin, 37 rue Luzel

Buchon Michel, 23 rue Jean Jaurès (en 1969)

 


Brique

Rivière et Letort, Rue abbé Garnier

 

Carburants

Mobil-Oil française, G. Imbert, 32 rue Zola

Établissements Morin, fuel, essence, gas-oil, charbon, 54 rue Jules Ferry (en 1969)


Pétrole BP, boulevard Hoche prolongé

 

 

Charcuterie

Cagne Jean-Claude, charcuterie, rôtisserie, volailles, 33 bis rue Jules Ferry (en 1969). M. Raymond Salliot a aussi exercé dans cette charcuterie avant J.C Cagne.

Glaharic Gérard tenait cette charcuterie au début des années 70 et il a ensuite ouvert une charcuterie au centre-commercial de la Croix St Lambert le 1er août 1978.


 

Daniel Gérard, Charcuterie de Robien, 11 rue Jules Ferry (en 1968-69 et encore en 1975)


 

Chauffage

Guinard, chauffage et plomberie, 77 boulevard Hoche

SEC OUEST, chauffage, 39 boulevard Paul Doumer

 


 Maurice Hélard, chauffage, installateur gaz, 10 rue Jeanne d'Arc.

Maurice Hélard 18 juin 1973 Ouest-France


Chaussures-Cordonnerie

Le Bret Paul, vente et réparation, 11 rue Jules Ferry (en 1965 et encore en 1975). Paul Lebret avait aussi une autre cordonnerie à Plaintel, sa femme Raymonde et son fils le secondaient dans ses affaires.

Le Bret 14 septembre 1966 Ouest-France


Photo prise après les années 70 mais indiquant l'emplacement de la cordonnerie


Souvenirs, souvenirs...

Témoignage de Françoise Sérandour : "J’ai animé une semaine commerciale dans les années 80 avec Radio-Ravi, une radio libre fondée en 1984 par M. Morice (meubles Morice) et l'Union des commerces de St Brieuc. J’avais 20 ans et les Le Bret tenaient encore leur magasin. On avait mis les installations de la radio dans le hall du garage Fiat qui était situé en face".

 

 

Coiffure

Georges Potiron, salon de coiffure messieurs "Chez Georges", 15 rue Jules Ferry (fermeture officielle en 1985). M. Potiron a pris la suite de M. Brisbard.  

Georges Potiron, né en 1919, marié avec Marguerite Bertho, décédé le 20 décembre 2003, cérémonie en l'église Sainte-Anne-de-Robien.

Renseignements d'état civil supplémentaires sur Georges Potiron avec sa fiche sur le site Généanet en cliquant ici

 

Couraud M.C, coiffure dames, 57 rue Jules Ferry

Mme Jean Le Ray, coiffure dames, 57 rue jules Ferry (en 1969)

 

Mme Le Ray, coiffeuse. 26 avril 1969

 

 

Boucl'Or, couleur, forme, dépositaire "Isabelle Lancray", postiches et perruques "Jeanne Damet", 76 boulevard Hoche (en 1968-69)

Annonce Boucl'Or 26 avril 1969


"Chez Jean", Salon de coiffure dames, 7 rue Guébriant.


 

 

Couvreur

Davy, 3 boulevard Carnot

 


 

 

Crêperie 

Crêperie Moderne, Colette Briand, 28 rue Aristide Briand (établissement ouvert en 1959)

 

Mme Boulan, Crêperie-Pâtisserie (en 1968-69)

 

Mme Couderc, Crêperie-confiserie, 12 rue Jules Ferry (en 1969)


 

Cycles-cyclomoteurs

Michel Chaufour, marques Peugeot, Boréal, Flandria, 95 rue Jules Ferry.

L'histoire des magasins de cycles Chaufour commence à Saint-Brieuc à la fin des années 20, avec Joseph Chaufour qui ouvre un commerce de cycles et réparation au 18 rue de Gouédic. Les deux fils, Georges et Michel vont travailler dans l'atelier de leur père, comme Jean Landel, un ouvrier.

Joseph Chaufour. 17 juin 1961 Ouest-France

Stéphane Le Roux se souvient de ce magasin mais surtout d'une publicité : "Dans les années 70, dans la rue de Gouédic, il y avait, sur un pignon, une publicité pour le magasin de cycles Chaufour. On y voyait un motard des années 20, tout encapuchonné, qui fonçait bien recroquevillé sur sa moto".

A la fin des années 60, Michel Chaufour décide d'ouvrir son propre magasin et de s'installer au bout de la rue Jules Ferry, au numéro 95. 

Le magasin bénéficie des annonces du réseau Peugeot dont les mobylettes sont beaucoup vendues à cette époque.

Chaufour en bas à droite de cette liste. Ouest-France 4 décembre 1969


Guylaine Quéméner qui habitait le quartier a gardé un souvenir de ce magasin : "Chez Chaufour, il y avait un mainate qui disait "Bonjour" ou "Eh ben, c'est pas rien! ".

"Les Cycles Chaufour, 95 rue Jules Ferry" était une adresse bien connue dans le quartier et à Saint-Brieuc.


 

Déménagement

Flageul, 1 rue Jules Ferry

Le Bail Yves, 11 boulevard Carnot


Francis Henry, bureaux, 29 rue Jean Jaurès

Le Rigoleur, 2 boulevard Hoche (annonce passée en 1969)

 

Annonce 7 juin 1969

  

Dentiste

Poidevin, 64 rue Jules Ferry, cabinet au rez-de-chaussée de la maison d'habitation de la famille Poidevin à l'angle de la rue Jean Giraudoux.

64 rue Jules Ferry


 

Docteur

Docteur Bardon, 28 rue Jean Jaurès

28 rue Jean Jaurès

 

 

Droguerie

Mme Rioche tenait une droguerie, au 58 rue Jules Ferry, à côté du magasin de journaux. Le mari de Mme Rioche était peintre.

 

Ebéniste

Le Helloco J, ébéniste, agencement, 14 rue Luzel

 

 

Électricité

 

M. Castel, électricité générale (1968-69)

 

Comptoir du Sud-Ouest, électricité, radio, Tv, 25 boulevard Carnot

 

Catalogue du Comptoir du Sud-Ouest

Ci-dessous, on voit que le rez-de-chaussée du 25 boulevard Carnot a été certainement été modifié. Un local commercial accessible au public a été fermé et équipé de deux fenêtres à mi hauteur avec des volets roulants.

Ancien pas de porte du 25 boulevard Carnot. Image Google street

 

 

Fer et métaux, tôles

Établissements Méheut, 81 rue Jules Ferry

Ludovic Le Gall, récupérateur de tôles, 21 rue Jules Ferry et rue Lemonnier.

 

Le Gall, la tôle d'occasion, 21 rue Jules Ferry

 

 

Fleurs

Bouhezza, 3 rue abbé Garnier

 


 

 

Forges

Forges-et-Laminoirs, boulevard Carnot

 

1969 Le Griffon n° 14

 

 

Garage

Jicquel, 21-23 rue Jules Ferry (mais aussi aux numéros 19 et 31 rue Jules Ferry)

 

Garage Jicquel, 23 rue Jules Ferry

 


Concession BMW 19 bis rue Jules Ferry

Ouest-auto, voitures neuves et occasions, Georges Boscher, 103 rue Jules Ferry (déjà en 1969)

Bouteloup, 43 boulevard Carnot

Générale automobile, garage et location de voiture, 16 rue Jules Ferry

Laurent Jean, mécanique, boulevard Hoche

 

Le Bouler Joseph, station ELF

 

Le Bahezre, lavage, graissage, station Elf, accessoires auto, 34 rue Jules Ferry
(en 1969)


Établissements Morin, 54 rue Jules Ferry

26 avril 1969

Ker-auto, fournitures, accessoires, outillage, électricité,1 boulevard Carnot (en 1969)

 


 

 

 

Glaces

Compagnie du Froid Alimentaire, surgelés, glaces Motta, rue Cuverville

 

 

Graineterie

Graineterie de Robien, M et Mme Rowland, 39 rue Jean Jaurès. Ils ont pris la suite de M et Mme Longin.

Le Bigot, 6 rue Jules Ferry

 


 
Rowland 26 mars 1975 Ouest-France

 

Hôtel-Restaurant

Georgelin M.  Bar-restaurant de l'Octroi, 101 rue Jules Ferry (en 1969)

Hamon, Hôtel-restaurant, 6 rue Luzel

Le Saint Georges (hôtel), angle boulevard Canot et 1 ter rue de Robien (en 1969)


Au Bon coin (restaurant), angle boulevard Carnot et rue de Robien (en 1969)

Tout va bien, 113 rue Jules Ferry

Le tout va bien. 26 avril 1969
 

 

Linge-vêtements, nouveautés

Madame Le Blanc, 39 rue Jules Ferry (déjà en 1968) 

"On trouve tout" Nouveautés, 39 rue Jules Ferry (en 1975)

 

Magasin Sermo, 28 rue Aristide Briand (en 1975) 

 

 

Location de voitures

Bollore ouvre des bureaux pour son entreprise de locations de voitures au 29 boulevard Carnot (annonce le 25 janvier 1972)

 

Bollore 25 janvier 1972 Ouest-France

 

Maison de la Presse

 

Au 60 rue Jules Ferry se trouvait une épicerie. Ensuite il y a eu Robien-Presse avec M. Lucas qui a ouvert en avril 1970. La fermeture approximative est l'année1990. Un cabinet d'assurance a pris la suite.

 

 

Matériaux du bâtiment

Bolloré, 29 boulevard Carnot, matériaux

Établissements Gaudu, matériaux, ciment, explosifs, 18 rue Jules Ferry

 


 

Menuiserie

Caro et Blivet, 45 rue Luzel

Macé, menuiserie et charpentes, Chemin des Eaux minérales

 

  

Mercerie-bonneterie

Jeanne Huet, 28 rue Aristide Briand (déjà en 1969)

 

Nouveautés

Madame Le Blanc, 39 rue Jules Ferry (déjà en 1968)

Annonce 4-5 octobre 1969 Ouest-France


 

Peinture-Décoration

Bougeard René

Morvan L, 15 rue Jean Jaurès

Peinture Gauthier, 109 rue Jules Ferry

Rioche H, entreprise et droguerie, 58 rue Jules Ferry

Annonce 4-5 octobre 1969 Ouest-France

1970 Le Griffon n°18

 

Comptoir Général des Couleurs et Vernis, fournitures pour peintres, 3 rue Robespierre

 

 

Pharmacie

Tirel, 41 rue Jules Ferry

 

Plombier

Poirier Paul, 139 rue Jules Ferry (son père et sa mère tenaient une épicerie au numéro 141. René Poirier est mentionné comme chauffagiste en 1960 à l'âge de 17 ans, il est aussi de la même famille)

Stéphan G, 31 rue du Pré Chesnay

 

Pneus

Desserey-Pneus, rue Émile Zola

 

Poissonnerie

M. Crocq. Poissonnerie de Robien, 28 rue Aristide Briand (en 1969)

Annonce 4 octobre 1969. Ouest-France


 

Produits du sol

Kervégant, 8 boulevard Hoche

 

 

Quincaillerie

Le Tinier-Morin, 1 bis boulevard Carnot

Catena, Hélard Charles, 13 boulevard Hoche (annonces en 1965,1969)

   
Annonce 12 mai 1965

 

Récupération chiffons et peaux

Méheut E,  35 rue Jules Ferry

Pradat, 47 rue Jules Ferry

 

Restaurant

Le Sympatic, 9 boulevard Carnot

Annonce 4-5 octobre 1969. Ouest-France

 

 

Serrurier-ferronnerie

Touzé, 75 boulevard Hoche

Corack Henri, serrurier et ateliers de soudure, 10 rue Danton (en 1969) 


 

Scierie

Aubin Jean, bois du Nord, du pays, exotiques, parquets et panneaux, rue André Gide (en 1969)


 
La scierie se trouve au centre de l'image. Au premier plan l'avenue des Tilleuls.

 

Tailleur

Henri Curtil, 66 rue Jules Ferry (en 1969). Joseph Henri Curtil était né le 17 juillet 1907 à Luzy dans la Nièvre et il est décédé le 10 mars 1979 à Saint-Brieuc. En dehors de son métier, il faisait partie du conseil d'administration de la caisse artisanale bretonne d'assurance vieillesse. (Information de Ouest-France 1er avril 1960)

Maison du 66 rue Jules Ferry. Image Google




Tapissier-décorateur

Au Nid douillet, P. Reux, 89 rue Jules Ferry.

Pierre Reux était déjà rue jules Ferry en 1934 et en1955.

Ci-dessous, on voit encore la trace de l'enseigne "Au nid douillet. P.Reux. Tapisserie" sur le haut de la maison du 89 rue Jules Ferry.

 

Au Nid douillet, 89 rue Jules Ferry. Photo RF 2021

 
Au Nid douillet, 89 rue Jules Ferry. Photo RF 2021

 

 

Téléphonie

Compagnie Atlantique de Téléphonie, 29 boulevard Carnot

 

 

Tôles ondulées et récupérations industrielles

Ludovic Le Gall, rue Lemonnier

 


 

Torréfaction

Des habitants du quartier se souviennent qu'au numéro 7 de la rue de Robien, se trouvait une torréfaction. On y entrait par une porte qui menait au sous-sol. D'autres informations sont bienvenues sur ce commerce...

Ancienne torréfaction 7 rue de Robien. Image Google-street 2019


L'entrée de l'ancienne torréfaction 7 rue de Robien. Image Google-street 2014


 

Transports

STEF, rue Cuverville

Sernam, boulevard Carnot

SOTRAB, Gare de marchandise SNCF et 10 rue de Robien

 


 

 

Vêtements

Au Trouve Tout, nouveautés, 39 rue Jules Ferry (en 1975)

 

Vins

Guével et Rio, 14 rue Jules Ferry

 


 

 

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Sources 

 

Annuaire téléphonique 1973. Archives municipales de Saint-Brieuc. 

Page spéciale de Ouest-France pour la semaine commerciale du quartier de Robien le 4-5 octobre 1969

Archives du Comité d'Animation de Robien (Blog et Journaux) 

Archives Ouest-France, 2 octobre 1975 (Dizaine commerciale)

Et avec des contributions de Marie-Claire Moisan, Jeanne Le Prioux, Françoise Langlois, Valérie Sérandour et Françoise Sérandour sur le forum Facebook de "Tu es de Saint-Brieuc si..." en janvier 2022.

 


 





L'histoire du quartier de Robien à Saint-Brieuc. Sommaire

Le quartier de Robien à Saint-Brieuc s’est vraiment peuplé il n’y a pas plus d’un siècle, mais son histoire présente de multiples intérêts...