La famille Gouin est une grande famille d’industriels forains en Bretagne. Cet article ne dresse le portrait que des plus anciens de la famille et en premier lieu, de Désiré Gouin avec qui tout a commencé...
Et si vous avez des documents ou des témoignages à apporter sur la famille Gouin, merci d'utiliser le formulaire de contact en haut de page.
Henri Gouin tout à gauche. 1957 |
Désiré Gouin (1886-1958)
Désiré Joseph Paul Gouin est né le 27 juin 1886 à Kerentrech, Caudan dans le Morbihan. Son père est vannier et sa mère marchande.
Désiré Gouin. État civil de Caudan. Vue 106 |
Il exerce, comme son père, le métier de vannier puis de rempailleur de chaise puis il se lance comme forain. Désiré est le premier de la famille Gouin à devenir industriel forain. Désiré Gouin se marie le 15 juin 1908 à Lorient avec Marie Joséphine Le Glouët, née le 7 mai 1883 à Lorient. Le couple aura plusieurs enfants dont François Paul, dit Paupol (né en 1903 à Brest-décédé en 1974 à Baye), Adolphe (1906-1979) et Henri (1907). Adolphe et Henri vont continuer dans la tradition familiale en Bretagne.
Ci-dessous, une partie de la famille Gouin en 1968 avec Marie-Joséphine tout à gauche.
Au moment du recensement militaire en 1906, Désiré Gouin, matricule 980, est incorporé dans le 62e Régiment d'Infanterie le 8 octobre 1908. Il est mobilisé le 1er août 1914 mais le 5 octobre 1915, il est réformé pour bronchite chronique et emphysème pulmonaire.
Recensement militaire. Lorient 1906. Archives départementales Morbihan |
Désiré Gouin tenait une confiserie dans les fêtes foraines. Les déplacements se passaient avec des voitures à cheval. L’éclairage était à l’acétylène.
En 1920, avec son épouse, ils s’installent pour la première fois à Elliant, place de la Bascule avec leur manège « nacelle » (appelé le Casse-gueule). Pour lancer la nacelle, il faut l’aide de Bichette, la jument et de Mule, la mule ! La musique est fournie par des orgues limonaires dont la manivelle est actionnée par une personne. En 1930 c’est l’apparition du manège « des chevaux de bois » actionné par un moteur à essence.
Ci-dessous, voici les chevaux de bois de Désiré Gouin que l'on voit debout à droite de la photo.
Photo publiée par Nathalie, arrière-petite-fille. Facebook Fêtes foraines de Bretagne et d'ailleurs |
En 1934, Désiré cède son manège à son fils Henri qui le conserve jusqu’en 1937.
Martial Gouin, un de ses descendants raconte : « Après la Seconde Guerre mondiale, quand Lorient a été en grande partie détruite, la communauté des forains a très vite fait reconstruire des manèges, notamment à Quimperlé dans le Finistère. Il fallait rapidement remettre de la vie. Mon arrière-grand-père en a réinstallé un au milieu des ruines, à la place de l’ancienne gendarmerie, derrière le cours Chazelles. »
La famille habitait à Quimperlé quand elle n'était pas sur les routes (ci-dessous la cour avec les véhicules forains au 33 de la rue de Couëdic à Quimperlé).
Les véhicules rangés au 33 de la rue du Couëdic à Quimperlé. Ouest-France 17 janvier 1968 |
Désiré Gouin est décédé le 24 mars 1958 à Quimperlé dans le Finistère, il avait 71 ans et habitait rue de Couëdic, le Bourgneuf à Quimperlé.
Adolphe Gouin (1906-1979), fils de Désiré
Adolphe et Marie-Louise Gouin en 1976 |
Adolphe Gouin est né le 11 février 1906 à l'Hôpital civil de Brest. Il se marie le 11 avril 1932 à Lorient avec Marie Louise Revuelta y Sainz Pardo (1912-1979).
Marie Louise Revuelta y Sainz Pardo est née le 10 avril 1912 à Morlaix (acte de naissance ci-dessous). Elle est décédée à Hennebont le 18 juin 1999 à l'âge de 87 ans. "La famille, venue d'Espagne, avait beaucoup bourlingué avant de s'installer à Lorient". (témoignage d'Annie Revuelta, dont le père faisait les marchés et vendait des glaces sur les fêtes foraines).
1912. Registre des naissances de Morlaix, vue 25. Archives du Finistère |
Le 8 janvier 1976, Ouest-France consacre un long article de souvenirs à Adolphe Gouin. On y apprend qu’il a commencé à 16 ans en tenant un manège de chevaux de bois puis des loteries, des manèges à chenilles, des nacelles et un "Radio-Skooter".
Pendant la seconde guerre mondiale Adolphe et Henri Gouin n'oublient pas les plus démunis de la ville de Quimperlé. La Dépêche de Brest révèle qu'ils font un don de mille francs chacun pour les pauvres en novembre 1943. On reconnaît bien là la générosité des forains...
17 novembre 1943 La Dépêche de Brest |
Ci-dessous, un skooter de la famille Gouin. On peut remarquer la caisse représentant un décor avec des éventails rappelant les origines espagnoles de Marie-Louise Gouin, née Revuelta y Sainz Pardo.
Photo publiée par Lorette Lafosse dans le Facebook "Fêtes foraines de Bretagne et d'ailleurs".
Radio-Skooter d'Adolphe Gouin place St Michel à Quimperlé. Photo 1938 |
Ci-dessous, la chenille d'Adolphe Gouin photographiée en 1952 à Quimperlé. Elle était sortie des ateliers d'Henri Devos en 1948.
Publication en 2020 dans le Facebook Fêtes foraines de Bretagne et d'ailleurs. |
Pendant plusieurs dizaines d'années, Adolphe Gouin (avec son frère Henri) sillonne les fêtes du Finistère, du Morbihan et d’une partie des Côtes-du-Nord.
Le 19 mars 1953, Ouest-France publie une photo d'Adolphe et d'Henri Gouin.
"Adolphe et Henri Gouin, les sympathiques industriels forains qui fréquentent la Foire des Vieilles depuis de très nombreuses années". Ouest-France 19 mars 1953. |
M. Gouin a pris sa retraite en 1971 à l'âge de 65 ans, mais avec son épouse ils ont continué d'accompagner leur fils Louis à travers la Bretagne.
Adolphe Gouin est décédé le 24 décembre 1979 à Quimperlé dans le Finistère, Bretagne à l'âge de 73 ans.
8 janvier 1976 |
Louis Gouin (1942-1984)
Louis Gouin, fils d'Adolphe, a exploité un manège d’auto-tamponneuses avec son épouse à partir des années 60. Louis Gouin est décédé au mois d'août 1984 à l'âge de 42 ans. Il habitait 11 rue du Pouligoudu à Quimperlé. Louis a eu quatre enfants avec son épouse Denise, née Ricordel : Louis, dit Lili, décédé en 2021, marié avec Laurette Lafosse ; Claudine ; Patricia et Sabine, sœurs jumelles. Des 8 petits-enfants, certains sont toujours sur les fêtes foraines. Le manège de Lili est toujours sur Guidel dans les années 2020, tenu par son épouse Lorette et leurs enfants.
Denise et Louis Gouin en janvier 1968 |
Henri Gouin (1907-1974)
Henri Gouin, né le 30 août 1907 à Elven dans le Morbihan, fils de Désiré, industriel forain.
Henri Gouin se marie avec une habitante de Gourin, Henriette Bannier (voir son portrait plus bas).
Henri Gouin conserve le manège de chevaux de bois familial jusqu’en 1937 avant de passer aux « Autos-Skoooter » en 1938. D'après des informations recueillies sur le Facebook "Fêtes foraines de Bretagne et d'ailleurs", c'est le premier skooter neuf de Bretagne, acquis par Henri Gouin père ; une construction d'Henri Devos avec des voitures Delavo.
Publication Facebook Fêtes foraines de Bretagne et d'ailleurs |
Publié sur Fêtes foraines de Bretagne et d'ailleurs |
En septembre 1939, le manège est installé mais la mobilisation générale est déclarée. Le manège est démonté et Henri rejoint son dépôt à Vincennes, il ne reviendra qu’en septembre 1945.
Henri Gouin était connu pour son attraction foraine « Le monstre du Loch–Ness » qui était une grande chenille. (Cité dans Ouest-France Lannion du 18 juin 1948). On trouve aussi une attraction du même nom, tenue par M. Paul Haut, d’Angers, dans le secteur de Segré, Saumur. Henri Gouin possédait aussi un « Radio-Skooter ». (6 octobre 1948 Ouest-France).
Loch-Ness Gouin. Facebook Fêtes foraines de Bretagne et d'ailleurs. |
Ce monstre du Loch-Ness a été construit par des artisans de Quimperlé pendant la guerre 39-45. Dans un article de Ouest-France du 10 juin 1995, André Chenay, un menuisier né en 1905, raconte comment il a participé à Quimperlé à la construction du Loch-Ness : Il désigne une photo jaunie avec trois hommes à califourchon sur un drôle de dragon : « C’est un bon souvenir. C’est le Monstre du Loch-Ness, un manège qu’on avait construit pour des forains. Après-guerre, les gens avaient tellement besoin de s’amuser que les forains manquaient même d’attractions ».
André Cheney, constructeur du Loch-Ness 10 juin 1995 Quimperlé Ouest-France |
Annonce 18 mars 1952 Ouest-France |
M. Gouin et son monstre du Loch-Ness sont signalés dans la presse à Morlaix en octobre 1954 et à Lannion en août 1956. M. Gouin côtoie alors les Hoffmann avec leurs autos-tamponneuses, les frères Mouton avec leur confiserie, M. Figuier et son manège d’enfants…
En avril 1957, le Monstre du Loch-Ness des frères Gouin est à Quimperlé pour la grande Foire des Vieilles où l’on retrouve les Hoffmann, Gazaud, Chevalier, Tamic frères etc. « La femme colosse », de 220 kilos, est également présente !
Henri Gouin à gauche et ses amis industriels forains à Quimperlé 4 avril 1957 Ouest-France |
Henri Gouin à gauche, M. Chevalier, M. Gazan... devant le Loch-Ness à Quimperlé en 1957 |
Tamic frères, Caplot, Chauvé, 4 avril 1957 Quimperlé |
Un manège d'avions installé pour la première fois à Quimperlé en 1957 |
Henri Gouin. Fait divers 1er avril 1958 à Quimperlé |
En août 1959, l’attraction est installée à la fête foraine de Rostrenen, "depuis ce jour, sa sirène ne cesse de pousser des mugissements d’appel".
En juin 1960, le Loch-Ness fait le bonheur des amateurs de la fête foraine à Saint-Brieuc sur le Champ-de-Mars.
Le Loch-Ness au premier plan. 10 juin 1960 Ouest-France |
L’édition du 16 mars 1961 montre les industriels forains réunis devant le Monstre du Loch-Ness dans les allées du Bourgneuf à Quimperlé.
Devant le Loch-Ness 16 mars 1961 |
L’édition du 30 septembre 1961 de Douarnenez dévoile les secrets du montage du Loch-Ness pour la fête de la Saint-Michel : "Les monteurs sont d’excellents acrobates. On les voit grimpés plus haut que le clocher du Sacré-Cœur…avec la complicité de la perspective ! "Il y aura aussi le Circuit des Neiges, la Fosse aux serpents, les avions à réaction, les loteries Hauffmann et Toto, une loterie aux faisans, le tir Greneux, le Radio-Cars…
30 septembre 1961 à Dournenez. Ouest-France |
Le 3 août 1966, le Loch-Ness est à Quimper avec le Paratroop’air, fabriqué dans les usines d’Angers, que l’on voit ici pour la première fois.
Le Paratroop'air |
Portrait Henriette Gouin, née Bannier
Henriette Bannier est née le 4 novembre 1916 à Gourin (Morbihan) dans une famille venue des « Montagnes noires ». Le père était employé à la S.N.C.F alors que la mère gérait un café à Kerbiquet où l’on se réunissait (dans les années 40) pour le bal du samedi soir et du dimanche après-midi.
Kerbiquet eu sud de Gourin. Carte Google |
En 1934, elle se marie avec Henri Bouin dont la famille fait don au jeune couple, en guise de cadeau de mariage, d’un manège de chevaux de bois.
Chaque année Mme Gouin revient aux fêtes de la Saint-Hervé à Gourin qui, à la grande époque, duraient cinq jours. Les Gouin y retrouvaient les Descamps, Chevalier, Mottard avec les chevaux de bois, les nacelles et tapis roulants. Après le décès de son époux en 1974, Henriette Gouin a continué d’accompagner son fils Henri sur les routes, de mars à novembre : Querrien, Le Fouët, Lanvenegen… et Gourin où elle retrouve ses amis de jeunesse.
(D’après l’article de Ouest-France du 26 septembre 1983)
Henriette Gouin Ouest-France 26 septembre 1983 |
Henri Gouin est décédé en 1974 et son fils a repris la suite. Son épouse Henriette est décédée le 11 janvier 1989 à Rennes à l'âge de 72 ans.
Henri Gouin, fils
Henri Gouin, né en 1907, a eu un fils né en 1944 et appelé lui aussi Henri. Dans sa jeunesse Henri ira à l'école comme pensionnaire au collège Saint-Gabriel à Pont-L'Abbé (29) puis au Likès à Quimper (29). À cette époque, les internes ne rentraient que pour les vacances.
Henri a travaillé tôt et il a pris la succession du monstre du Loch-Ness puis a continué avec des autos-tamponneuses, un Radio-Skooter. (en photo dans Ouest-France du 5 décembre 1979).
Le Radio-Skooter Gouin en 1979 |
Henri Gouin fils 25 septembre 1979 Ouest-France |
Henri Gouin à Gourin 23 septembre 1983 |
Henri Gouin 5 octobre 1984 Le Faouet Ouest-France |
Dans la page de Gourin, en 1987, Ouest-France fait un portrait d'Henri Gouin.
Henri Gouin à Ploëmeur. Photo Le Télégramme 2008 |
Au fil du temps, Henri Gouin est devenu une personnalité du monde forain. Associé avec Jules Martin en 1998, il a regroupé les industriels forains sous l'étiquette du Luna-Park ou Universel-Park.
Quimper 1998 Ouest-France |
Henri Gouin 62 ans, à droite, en 2006 à Quimper. Photo Ouest-France |
Henri Gouin 12 avril 2008 à Loudéac. Photo Ouest-France |
Henri Gouin a cherché à évoluer, comme il le raconte dans un article du Télégramme le 22 décembre 2011 : "Des manèges, j'en ai tenu beaucoup. En particulier des autos tamponneuses. Ensuite, je me suis mis aux jeux vidéo. Puis l'effet de mode passé, il a fallu s'orienter vers de nouvelles attractions avec l'achat de cascades, ces machines à sous où l'on ne gagne pas d'argent mais des lots". Il explique qu'il tourne sur une trentaine, essentiellement en Bretagne. Certaines durent deux-trois jours, d'autres une semaine, voire un mois, comme à Auray par exemple. Quand il n'est pas sur les routes, il reste chez lui à Elliant (29) où il a un terrain sur lequel il met sa caravane qui est aussi sa maison.
Il a lui-même transmis son affaire à sa fille Caroline qui tient la World'Game (ci-dessous en photo).
Henri Gouin et Caroline. Le Télégramme 22 décembre 2011. |
Gilbert Gouin, 1928
Gilbert et Pierrette Gouin (Gilbert né à Elliant le 2 décembre 1928).
Gilbert et Pierrette Gouin se sont rencontrés dans l’Ouest. Après leur vie de travail comme forains, ils ont acheté un terrain à Gestel dans le Morbihan pour y vivre avec leur caravane.
Gouin, père, mère et fils et petits-enfants.1er septembre 1973 à Elliant. Ouest-France |
La vente du Loch-Ness
Le Loch-Ness a été mis en vente le 23 février 2000 à Plouigneau.
Gilbert Gouin
Gilbert Gouin, industriel forain, s'est marié avec Pierrette Salvat en mars 1974 à Dinan. Il est le père de Martial Gouin (voir plus bas).
Ci-dessous, voici le Spoutnik de Gilbert Gouin à Saint-Hernin dans le Finistère.
Photo publiée par Jean-Pierre Hervé dans le Facebook Fêtes foraines de Bretagne et D'ailleurs en novembre 2022 |
Marcel Gouin
Publié dans Fêtes foraines de Bretagne et d'ailleurs |
Louis Gouin, "Lili", quatrième génération
Louis Gouin plus connu sous le nom de Lili tenait un manège de chevaux de bois. Il était le fils de Louis. Pendant des années il a circulé dans les fêtes foraines de Bretagne puis plus tard il avait installé un manège à Quimperlé, place de Gaulle, en basse-ville. Pendant des années, il avait surtout tenu un manège au Bas-Pouldu, à Guidel dans le Morbihan. Il est décédé en septembre 2021 à l'âge de 56 ans à Quimperlé. Son épouse Laurette, née Lafosse, et leurs enfants tiennent toujours le manège.
Louis Gouin en 2017. Photo Ouest-France |
Louis Gouin 5 janvier 2017 Ouest-France |
Martial Gouin, quatrième génération
Martial Gouin est né le 10 octobre 1974 à Morlaix (Finistère), "en pleine foire". Mais ses attaches sont depuis l’enfance morbihannaises. Ses souvenirs d’enfance sont la rue de la Pompe, une rue qui n’existe plus à Lorient et les bords du Scorff, où la famille avait l’habitude de stationner. Il a appris à lire à l’école de Nouvelle Ville avec Madame Dauphin, une maîtresse d’école extraordinaire avec lui qui a pris en compte le fait qu’il n’était pas simple de changer constamment d’établissements scolaires.
À 10 ou 11 ans à peine, il tenait déjà un stand de pêche aux canards avec sa mère, raconte-t-il dans un article de Ouest-France en 2022. Martial Gouin a fait du chemin au fur à mesure des années et au contact de gens érudits. Il est un des six membres fondateurs de la Fédération des forains de France et a fait partie d’une commission en 2016 qui dépend du Premier ministre pour défendre les intérêts de la communauté foraine.
À Lorient Martial Gouin est une figure de la fête foraine avec son manège d’auto-tamponneuses.
Il vit dans un terrain à Quimperlé dans le Finistère dont il est devenu propriétaire.
La relève est assurée car ses trois enfants sont forains.
Martial Gouin est de la quatrième génération : arrière-petit-fils de Désiré Gouin, petit-fils d'Adolphe Gouin...
Martial Gouin 26 décembre 2022 Ouest-France |
Arnaud Gouin
Arnaud Gouin, né dans les années 80, a suivi la tradition familiale. C'est un habitué des fêtes foraines en Bretagne comme par exemple celle de Morlaix où il vient depuis qu'il était enfant. Il tient un stand de tir.
Arnaud Gouin 10 octobre 2022. Le Télégramme |
Grégory Gouin
Grégory Gouin, n'échappe pas à la tradition familiale...2018 Le Télégramme Grégory Gouin, 2e à gauche, avec des enfants Noha et Ethan |
On signale aussi dans la presse
Roger Gouin, marchand forain habitant 35 quai de la Fosse à Nantes (Cité dans Ouest-Eclair du 29 septembre 1926).
Ouest-Eclair 29 septembre 1926 |
Adolphe Gouin marié à Quimperlé avec Albertine Gazeau, industrielle foraine, habitant à Quimperlé Moulin-Vert en Penhars (Ouest-France octobre 1956).
15 novembre 1956 Ouest-France |
Marcel Gouin, industriel forain, 33 rue de Couëdic à Quimperlé, marié avec Lucette Lecerc, industrielle foraine, bourg de Bruz, Ille-et-Vilaine. (Ouest-France 20 septembre 1961)
Sources
Nombreux articles de Ouest-France et du Télégramme
Le Facebook "Fêtes foraines de Bretagne et d'ailleurs" a publié de nombreuses photos des manèges de la famille Gouin. Vous pouvez les retrouver en effectuant une recherche sur ce Facebook qui est toujours aussi passionnant pour les amateurs de fêtes foraines.
Archives départementales du Morbihan et du Finistère.
Courrier de Laurette Lafosse, épouse de Lili, novembre 2023
Témoignage d'Annie Revuelta paru en décembre 2023 sur le Facebook Fêtes foraines de Bretagne et d'ailleurs.
Site Généanet, arbre de Désiré Gouin, établi par flegarrec1, ici
A suivre, d'autres familles d'industriels forains
en Bretagne :
La famille Audroin, cliquer ici
La famille Chira, cliquer ici
La famille Coéffic, cliquer ici
La famille Descamps, cliquer ici
La famille Drouet, cliquer ici
La famille Greneux, cliquer ici
La famille Hoffmann, cliquer ici
La famille Mouton, cliquer ici
L'histoire de Romain Mouton, appelé le Père Mouton, cliquer ici
L'histoire de la famille Tricoire, cliquer ici
L'histoire de la famille Figuier, cliquer ici
L'histoire de la famille Watrin, cliquer ici
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