samedi 29 mars 2025

"Voyages et témoignages", conférences à Saint-Brieuc (Robien, Cesson ...), 1988-1999

A partir de 1988 un cycle "Voyages et témoignages" s’est déroulé dans les quartiers de Saint-Brieuc. En ce qui concerne la quartier de Robien les soirées se passaient dans la petite salle de Robien. Le rythme était d’une soirée par mois. L’organisation reposait alors sur le comité de quartier de Robien, Pierre Fenard, du service culture de la Ville de Saint-Brieuc, assurait la promotion et le suivi de ces conférences dans le journal Le Télégramme. Ouest-France annonçait également ces manifestations mais avec moins de présence sur place.

Louis Bocquenet au retour du Laos, 1991


Liste des conférences

A Robien, le 25 octobre 1991, Louis Bocquenet et Theu Tran Van, évoquaient le Laos.
Le 25 novembre 1991, Christiane Pawlowski et Anne-Marie Thierry ont présenté « Retour en Pologne » (80 personnes présentes).
Le 13 décembre 1991, Roger et Mariannick Moisan, parlaient de l’Irlande.
Le 17 janvier 1992, Claude  Sichez, professeur de chinois à Saint-Brieuc, avait beaucoup de choses à dire sur la Chine.
Le 7 février 1992, Guido Lopez, intervenait en tant que musicien Bolivien.

Le 4 décembre 1992, il était question du Yémen avec Nicole et Dominique Carliez, et Michel Pommarède, journaliste.

Le Télégramme, article P. Fenard
1991 Le Télégramme. Article P. Fenard
 

1992 17 janvier Ouest-France

Les conférences dans d'autres quartiers

Des conférences dans le cadre de "Voyage et témoignages" se déroulaient dans d'autres quartiers de Saint-Brieuc comme en témoigne un article du Télégramme daté du 8 décembre 1990. Jean-Louis Lutz intervenait alors à la salle Courteline à la Ville Hellio sur les cirques dans le monde.

1990 8 décembre. Le Télégramme, archive Pierre Fenard

 

Ouest-France du 26 janvier 1990 annonce la soirée à venir à Cesson avec en particulier les films de Jean-Pierre Le Dantec et Patrick Prado.

1990 26 janvier Ouest-France
En novembre 1993 à la Ville-Jouha, Fabrice Picard raconte sa remontée de la Volga...

1993 22 novembre Ouest-France.

1998 Le retour des conférences à Robien

Le cycle de conférence a continué au cours des années 90 en se déplaçant toujours dans les différents quartiers de la ville.
Un article du Télégramme du 11 décembre 1998 signale que les conférences viennent de nouveau dans le quartier de Robien : "Mme Bréhand, du comité de quartier, s’est particulièrement investie dans cette manifestation". On y apprend que le 6 novembre 1998, il était question de La Tunisie ; le 4 décembre, La Bretagne et le 15 janvier 1999 sera consacré au Mexique après la mission humanitaire des Scouts de France.


Le Télégramme. Article de Pierre Fenard

La soirée d’avril 1999 a permis de découvrir le Vietnam au travers des témoignages de Noëlle et André Bouët, de Tonhy Vannier et d’Armelle Bothorel.




Le Télégramme, article de Pierre Fenard

Si vous avez des documents ou des témoignages à apporter sur ce cycle de conférences, merci d'utiliser le formulaire de contact en haut de page, en laissant votre adresse mail pour que je puisse vous répondre.

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Sources

Archives du Télégramme fournies par Pierre Fenard en décembre 2024. Un grand remerciement à Pierre pour tous ces documents. 

Archives de Ouest-France, recherches personnelles.

 

jeudi 20 mars 2025

Histoire de l'alimentation en eau à Saint-Brieuc

Les réservoirs de nos jours à Berrien. Photo RF janvier 2025

Jusqu'à la fin du XIXe siècle, la ville de Saint-Brieuc était presque essentiellement alimentée en eau potable par des sources. Onze puits publics et quatre cents puits privés fournissent le reste.

En 1862, un premier réseau de distribution est créé dans Saint-Brieuc à partir de deux réservoirs situés boulevard Charner où se trouve "La Fontaine Saint-Quay". Le réseau mesure alors 640 mètres et sera prolongé en 1864 jusqu'à une borne fontaine rue de Gouédic.

Une borne fontaine
En 1864, un autre réservoir est établi en haut de la rue Cordière d'où partent deux tuyaux en fonte de dimensions différentes qui vont alimenter les bornes fontaines des quartiers bas de la ville. En 1889, la Ville lance un concours pour se doter d'un réseau de distribution de l'eau conséquent. Le projet de M. Le Moussu est retenu, il prévoit de faire un captage dans la région de Plaintel

Et en 1893, M. Mazelier, ingénieur, établit les plans définitifs de ce projet dont les canalisations font déjà plus de six kilomètres.(D'après un article de Ouest-France du 5 mars 1957)

En 1895 l'alimentation en potable est assurée en ville avec le réservoir de Château-Bily à Plaintel

1896, registre du conseil municipa
En 1909, après une épidémie de typhoïde, le conseil municipal décide le 30 novembre de faire évoluer ce système et de construire une usine de purification des eaux à Château-Bily. 

En 1922, on décide le pompage des eaux du Gouet dans le barrage de Saint-Barthélémy pour répondre à l’accroissement des besoins.

A l'approche du XXe siècle, les différentes équipes municipales vont prendre en charge ce dossier de l'eau mais ce long travail ne se fera pas en un jour et aura tendance à s'étaler dans le temps à cause des aléas de l'histoire (guerre 14-18, crise économique de 1929, guerre 39-45...). La municipalité s'attachera à faire avancer le dossier des lavoirs publics pour les habitants des différents quartiers, par exemple à La Beauchée en 1927, aux Villages et à Cesson en 1933, à La Tullaye en 1933, au pont Chapet en 1949 etc.

1928. Installation de canalisations à Saint-Brieuc. Archives municipales 6Fi871

Après 1945

En 1941, le service des eaux de Saint-Brieuc compte 98 kilomètres de conduites et 4 420 abonnés. Après-guerre, d'autres travaux sont entrepris. Et alors qu'une délibération avait été prise le 31 janvier 1952, sans effet, il faut attendre le mois de mai 1954 pour que le conseil municipal décide d’étendre l’adduction d’eau pour des quartiers qui n'en bénéficiaient pas encore pour différentes parties d'autres quartier, comme Robien, qui étaient encore mal desservies.

Dans l'édition de Ouest-France du 14 mai 1954, le 1er adjoint M. Mazier intervient sur ce sujet : "...Il s'agit de travaux importants dont la première tranche, la construction du réservoir de Berrien et la pose de canalisations pour desservir Les Villages, représente 125 millions...On pense que les travaux pourront commencer avant la fin de l'année. Il y a là une nouvelle qui ne peut que réjouir la population."

Les réservoirs sur les hauteurs de Berrien dans le quartier des Villages.

En décembre 1956, différentes personnalités se rendent sur le terrain aux Villages pour constater l'avancée du chantier d'adduction d'eau.

Photo Ouest-France décembre 1956

Le 6 mars 1957, Ouest-France publie un article conséquent avec des photos et une carte pour expliquer comment la construction des réservoirs de Berrien va changer la vie quotidienne de nombreux habitants de Saint-Brieuc.


Le problème est simple : "Les quelque 100 kilomètres de tuyaux et la station de Château-Bily commencent à devenir trop modestes pour une ville comme Saint-Brieuc en pleine croissance... Le facteur principal de ce réseau reposera sur la construction de réservoirs sur le plateau de Berrien, derrière Les Villages".

Dans une première phase, l'eau passera par la station de purification et de stérilisation de Château-Bily pour être ensuite refoulée dans deux réservoirs de six mille mètres cubes, construits au point le plus haut, à Berrien (cote 132). Dans une seconde phase deux autres cuves identiques seront construites à Berrien.

Les grands travaux commencent sur le plateau de Berrien où l'entreprise Limousin de Paris est au travail. "Son personnel spécialisé, aidé par la main-d'oeuvre locale, prépare les fondations des deux premiers réservoirs... De son côté l'entreprise Boudin-et-Chaussé, de Nantes, poursuit la pose des conduites en fonte de 60 cm de section qui alimenteront la ville Les ouvriers qui utilisent un matériel moderne, entièrement mécanisé, défoncent la Route Nationale 12 entre Saint-Brieuc et Les Villages. La circulation a dû être réglementée, le sens Guingamp-Saint-Brieuc est dévié par la route de l'aérodrome...Les briochins ne sont pas mieux servis que leurs voisins des Villages. Dans toutes les rues du Centre-ville les tuyauteries doivent être renforcées et doublées par des conduites de 30 cm." 

Sur la route des Villages, les travaux sont importants. 1958

Dans l'édition du 7 janvier 1958, on suit l'avancée des travaux mais aussi l'état d'esprit dans lequel on se trouve à cette époque où les questions climatiques sont déjà une préoccupation importante :

"La sécheresse de juillet 1957 avait ménagé une surprise désagréable aux briochins : coupures d’eau, baisse de pression, menaces encore plus graves qu’une pluie providentielle avait enfin écartée. Si la ménagère n’avait pas prêté la veille une attention suffisante à son journal et, si au saut du lit, elle n’avait pas pris soin de remplir sa lessiveuse, elle risquait non seulement de ne pouvoir « débarbouiller » ses enfants, mais d’être privée d’eau pour la journée. En quarante-huit heures, le liquide que l’on gaspille si facilement devenait précieux comme le sel, le charbon, le courant électrique et…le cidre des années de disette. Mais ces désagréments nous ne les connaitrons pas en 1958, à moins d’une sécheresse vraiment exceptionnelle. Deux  des quatre réservoirs, prévus sur la colline de Berrien aux Villages, sont prêts à fonctionner. »

Les deux réservoirs déjà construits en 1958. Ouest-France 7 janvier 1958

Les conduites à l'intérieur d'un des deux réservoirs de Berrien. Ouest-France 7 janvier 1958

Les années 60

Petit à petit, différentes rues de Saint-Brieuc vont être approvisionnées comme par exemple en 1960 où le service des eaux réalise une extension du réseau d’eau avec 134 mètres de canalisations dans le boulevard Vauban.

1960 Ouest-France Saint-Brieuc

Dans une époque récente, il existait encore de très nombreuses fontaines, des lavoirs et différents bassins, ils ont été recensés par les service de la Ville (cliquer sur l'image pour agrandir).


Un avis éclairé

Louis Bregeat, en mars 2025 sur Facebook, témoigne de son admiration sur le site de Berrien : "Le paysage vu des réservoirs de Berrien, bien sûr point haut de Saint brieuc, permet d'embrasser tout le sud de l'agglomération, jusqu'aux éoliennes de Lanfain, avec une vue incroyable sur la vallée du gouet et ses affluents au niveau des mines. Magnifique".

Le saviez-vous ?

Près du lavoir Saint-Jouan, non loin de l’École normale des garçons, existait une fontaine dont l'eau pure faisait la joie des habitants du quartier dans les années 40. Chaque jour, on y allait avec des bouteilles, des pots, des petits seaux pour recueillir cette précieuse boisson qui, disait-on, était très saine et très recherchée.

L'eau de la Fontaine Saint-Jouan. Ouest-France du 3 octobre 1946

 Le saviez-vous ?
Un très beau lavoir se trouvait rue de la Fontaine, il a été démoli en 1969.
Lavoir de la Fontaine 11 octobre 1969 Ouest-France
  

 Le saviez-vous ?

Dans le quartier des Villages, bien caché, on trouve encore la trace d'un grand lavoir de La Gravelouse construit en 1937.

Le lavoir. Photo RF

Les trois sorties d'eau : le lavoir, le ruisseau du Gouessard et le trop plein des réservoirs de Berrien.

L'ancienne source

Si vous avez des témoignages et d'autres renseignements sur ce sujet, merci d'utiliser le formulaire de contact, en laissant votre adresse mail svp

 

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Sources

Recherches dans les archives de Ouest-Eclair et Ouest-France

Dossier des délibérations du Conseil municipal, archives municipales en ligne.

L'alimentation en eau dans le quartier de Robien, cliquer ici

Merci à Sylvie Boudon et Jean Richard pour la balade-découverte dans le quartier des Villages en janvier 2025.

Merci à Catherine Lemesle, journaliste à Ouest-France, pour avoir repris en les citant, des éléments de l'article du blog de l'histoire de Robien pour écrire un article posant la question : Pourquoi l’eau courante n’arrive à Saint-Brieuc qu’en 1910 ? Article en ligne (3 novembre 2023) pour les abonnés à Ouest-France en cliquant ici



Histoire de CLG, entreprise de construction, 2 rue de Robien à Saint-Brieuc 1986-2023

 

 

L'entreprise familiale CLG était spécialisée dans l'étude et la construction. Ses locaux étaient situés au 2 rue de Robien.

Le nom CLG vient des initiales de ses fondateurs Cassaigne-Le Glatin.

Dans les prestations de l'entreprise sur le site des Pages jaunes, on pouvait lire : construction, agrandissement, extension et rénovation de maison ; travaux de maçonnerie, de charpenterie, de couverture, de menuiserie, d'assainissement, de terrassement... 

Une entreprise familiale

L'entreprise GLG a été créée en 1986 par deux frères, Alain et Jean-Luc Cassaigne et Guy Le Glatin : "Ils venaient d'être de l'entreprise dans laquelle ils travaillaient à la suite d'un dépôt de bilan".(Ouest-France 23 mars 2010)

Jean-Luc Cassaigne a pris sa retraite en 2010 et Alain Cassaigne, un an plus tard en 2011. De 1996 à 2010, l'entreprise a embauché 24 salariés.

De gauche à droite on a Guy Le Glatin, Jean-Luc Cassaigne, Romuald Cassaigne, Sandrine Cassaigne, Alain Cassaigne. Photo Ouest-France 23 mars 2010.

La succession s'est faite en douceur après le départ des deux frères. Sandrine Cassaigne, formée par son oncle et son père possédait déjà plus de 15 années d'ancienneté dans l'entreprise et était prête à prendre le relai avec son cousin Romuald Cassaigne, depuis plus de 5 ans dans l'entreprise et titulaire d'un DUT génie civil.

Des employés considérés

L’esprit familial de l’entreprise se manifeste lors des cérémonies organisées pour fêter le départ des salariés de CLG. En voici quelques exemples trouvés dans la presse locale.
En octobre 2013, Xavier Rouzes, métreur, premier embauché de l’entreprise le 26 octobre 1992, est félicité pour ses années chez CLG où il a très tôt apporté son savoir-faire dans le domaine des nouvelles technologies et du dessin assisté par ordinateur. Il reçoit la médaille d’argent du travail (article Ouest-France, édition du 8 octobre 2013).


Loïc Caro, 61 ans, fête son départ en retraite en mars 2016 après avoir commencé chez CLG en 2001 après avoir travaillé chez Costa pendant 28 ans. Chez CLG, il aura monté et posé 426 charpentes traditionnelles et formé de nombreux apprentis. Il reçoit une grande médaille d’or du travail (article Ouest-France, édition du 4 mars 2016).


En février 2017, Daniel Le Gal, menuisier, 61 ans, fête son départ en retraite après 43 ans dans l'entreprise. Il avait obtenu un CAP en juin 1973 et était rentré en août 1973 à la C.M.A.

Une entreprise ouverte sur le sport

Romuald Cassaigne a souvent aidé des équipes sportives du secteur de Saint-Brieuc en fournissant en particulier des maillots.

Les équipes Cléden-Poher et Landeleau soutenues par CLG. Romuald Cassaigne est à gauche. 17 septembre 2011 Le Télégramme

Ouest-France 29 mars 2014. Romuald Cassaigne à droite.


Ouest-France 8 avril 2019



Évolution de l'entreprise

Un établissement secondaire se trouvait 2 rue Kléber à Saint-Brieuc du 1er juin1986 au 25 décembre 1996. 

La signalétique de CLG visible dans la rue de Robien a changé au cours des années.

Bâtiments Techniques Bretons est la société adossée à CLG depuis 1988 et on voit le sigle BTB sur la façade de l'immeuble de l'entreprise.

En 2008 Image Google street

 
 
En 2017 image Google street
 
En 2023, image Google street

Dans le quartier de Robien, l'entreprise possédait aussi une entrée professionnelle avec une enseigne sur le boulevard Carnot.

Entrée CLG boulevard Carnot. Photo RF

CLG a cessé ses activités en 2023. Romuald Cassaigne était le patron au moment de la fermeture en 2023.

 

Sources

Archives de Ouest-France et du Télégramme

Pages jaunes 

Annuaire des entreprises

 

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Autres articles à consulter

Liste des entreprises de Robien, cliquer ici

La Belle Issue, café-cabaret, 6 rue Luzel à Saint-Brieuc 1987-1988

 Un café-cabaret a fonctionné dans le quartier de Robien, au 6 rue Luzel, entre les années 1987 et 1988.

Le Télégramme, septembre 1987, article de Pierre Fenard

D’après un article du Télégramme daté de septembre 1987, le café-cabaret se serait installé au printemps dans le quartier de Robien.
Le lieu est décrit comme « vaste, spacieux et confortable, décoré par l’artiste briochin André Coupé ». 

Le 6 rue Luzel à Robien.
 

En plus des concerts variés, la Belle Issue propose des soirées de musique africaine tous les samedis en 1987.

Dans la programmation de l’année 1987, on peut noter le groupe I-Tal Roots, le vendredi 21 août 1987.

En 1988, les concerts se multiplient :
Michel Desfougères (guitare), jeudi 4 janvier. Michel Desfougères, contacté pour cet article, n'a pas de souvenir de ce passage à Saint-Brieuc car il tournait beaucoup à cette époque...


Daniel Barrois, chanteur à textes, le 13 avril
Ako (groupe rock, percussions, cuivres, reggae, jazz…), 26 mai.
Meeting trio (jazz), 29 juillet.
Chantal Henry (guitare et voix), Bernard Le Sage (piano, synthétiseur), septembre.
Los Glochos (musique des Andes), 26 octobre. Ce groupe de Pontivy a débuté en 1976 et en 2023 ils ont encore sorti un album...

Album 2023

Florent Gaillard (chanteur de variété), 25 novembre.
Richard Black Green (chanteur et guitariste martiniquais), 2 décembre.

La couverture d'un disque de Richard Black Green.

Ce lieu a ensuite était repris en octobre 1989 par la famille Boulma pour en faire un café-restaurant et s'est appelé L’Émeraude.  

L'histoire plus générale des bistrots de la rue Luzel est racontée dans un autre article à lire en cliquant ici

 

Souvenirs, souvenirs

Lors de la publication de cet article sur le Facebook, "Tu sais que tu viens de Saint-Brieuc", cela a rappelé des souvenirs à plusieurs personnes :

"J’habitais juste derrière. On entendait la musique de nos jardins. J’avais complètement oublié ce lieu". 

"C'était le bar de la famille Hamon à une époque, copine d'enfance, il a été racheté et ce sont des appartements maintenant".

 

Sources

Archives de Ouest-France et du Télégramme

Site de Michel Desfougères, ici

Article sur l'histoire du groupe de Pontivy Los Glochos, ici

 

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L'histoire du quartier de Robien à Saint-Brieuc. Sommaire

Le quartier de Robien à Saint-Brieuc s’est vraiment peuplé il n’y a pas plus d’un siècle, mais son histoire présente de multiples intérêts ...