mercredi 3 janvier 2024

La famille Watrin, des industriels forains en Bretagne.

 

 

Cet article est lié au départ à l'histoire des fêtes foraines dans le quartier de Robien à Saint-Brieuc, puis plus largement aux autres fêtes foraines du secteur de Saint-Brieuc et de Bretagne. 

M. Watrin à droite en 1959.

La famille Watrin est une très grande famille d'industriels forains depuis le début du 19e siècle et a de profondes attaches dans l'Ouest de la France et en Bretagne.

Cet article est écrit à partir d'articles de presse, de forum Facebook et de recherches sur un site de généalogie, il ne prétend pas faire le tour complet de l'histoire de la famille Watrin et ne demande qu'à être complété avec le formulaire de contact...

Les familles Watrin et Audroin sont associées par le mariage de Gabrielle Georgette Audrouin, fille de Dominique et Juliette Audroin qui s'est mariée avec Georges Watrin, directeur d'une attraction d'auto-tamponneuse. 

 

1ère génération

Jean-Louis Watrin (1833)

Jean-Louis Watrin est né le 24 septembre 1833 à Vernéville en Moselle. Il était marchand confiseur forain. Marié avec Françoise Lamiable, il aura un fils appelé lui aussi Jean-Louis.

 

2ème génération

Jean-Louis Watrin (1859-1908)

Jean-Louis Watrin est né le 25 avril 1859 à Scy-en-Moselle. Il était marchand confiseur forain. Il se marie avec Catherine Céline Munier le 5 février 1878 à Gondrecourt en Moselle. Le couple aura plusieurs enfants, dont Léon (industriel forain, voir plus bas), Louise (directrice de cinéma), Raoul, né en novembre 1890 (industriel forain), Laurence née le 13 octobre 1895 à Baccarat en Meurthe-et-Moselle (artiste de théâtre).

C'est à Léon Watrin, son fils aîné, que l'on doit de connaître les débuts de son père qu'il raconte dans un entretien avec un journaliste de La Dépêche de Brest le 10 janvier 1937 : "Avant 1870, mon père tenait "un métier" à Metz. Pour ne pas devenir Allemand, il a abandonné tout ce qu'il possédait. Il est rentré en France". (La guerre de 1914 fut une deuxième catastrophe pour la famille car la bourgade de Conflans-Jarny fut anéantie sous les obus).

 

Le Musée national

La famille Watrin va circuler en Belgique et en Hollande avec un musée ambulant dans le style du Musée Grévin. Les épisodes présentés étaient surtout ceux de la Guerre de 1870. 

En 1896 survint un évènement qui allait décider de la suite de la vie familiale :"Le séjour en Hollande fut désastreux. Tout le pays était alors germanophile. notre boutique fut véritablement assiégée par une foule en folie. Il fallut partir. Et c'est ainsi que de Hollande, nous sommes venus à Rennes, mais oui, comme cela, d'un trait".

Le 30 mai 1898, au moment de la Foire de la Trinité, le Journal de Paimpol signale la présence du "grand musée, genre Grévin, contenant 150 sujets d'une réelle valeur artistique et représentant dans un agencement des plus heureux, les personnages les plus connus de l'histoire, de la politique, des arts...". L'attraction de la famille Watrin revient en 1899 et elle est présentée comme un "musée historique et mécanique, activant par une machine à vapeur, un grand nombre de sujets représentant des scènes diverses".


Le journal La Dépêche de Brest dans son édition du 10 juillet 1900 évoque "La grande exposition du Musée national" de M. Watrin. Ce musée ambulant comprend 200 personnages en cire, grandeur naturelle.

Watrin 10 juillet 1900

D'autres musées de cire tournent sur les fêtes foraines en Bretagne comme en juin 1903 à la Foire de la Trinité à Paimpol ce musée des arts criminels et des sciences et des arts...

 

Le cinématophone Watrin

En Bretagne, il faut trouver une nouvelle occupation en complément du Musée de personnages en cire et ce sera un ancêtre du cinéma parlant, le cinématophone. La première séance aurait eu lieu en 1900, Place de la Liberté à Brest, mais aucune trace dans la presse ne vient encore confirmer cette date. "Quand le film se déroulait, nous passions simultanément au phonographe un rouleau car il n'était pas encore question de disques. Naturellement les paroles ne suivaient le film que d'une façon assez approximative. Mais la nouveauté de l'attraction suppléait à tout."

Par contre, le premier article trouvé dans la presse concernant "le grand salon du cinématophone" est dans Ouest-Eclair où cette attraction a fait forte impression à la fin du mois de mai 1901 à Rennes.

Ensuite dans Le Publicateur du 16 juin 1901, on trouve le compte-rendu de ce spectacle "absolument nouveau" qui se déroule à Saint-Brieuc et où on peut voir des vues de l'Exposition de Paris 1900, "son succès s'est déjà affirmé dans les villes où il s'est arrêté"...

Le cinématophone.16 juin 1901

En août et septembre 1901, le cinématophone est à Brest, en octobre à Carhaix et en décembre à Landivisiau.

Watrin 10 août 1901 Brest

 
Watrin 5 septembre 1901 Brest

Watrin 30 octobre 1901 Carhaix

En mai 1902, le journal de Paimpol présente le cinéma Watrin comme une attraction majeure de la Foire de la Trinité : "Le salon du cinématophone, nouvel appareil à projections animées, différant complètement de tous les cinématographes connus. Le riche établissement de M. Watrin sera sans contredit l'une des plus grandes attractions de la foire. le succès qu'il a obtenu dans toutes les villes où il est passé en est d'ailleurs un sûr garant."

Watrin 18 mai 1902 Journal de Paimpol

En mai 1903, en plus de l'activité de cinéma, on signale que M. Watrin vient d'acquérir la nouvelle attraction appelée Looping the loop qui fut présentée pour la première fois en France par le Cirque Rancy le 15 mars 1903.

Watrin 3 mai 1903 Dépêche de Brest


Image Circus Parade, lien ici

 

Toujours à Paimpol, en 1903, le cinématophone enthousiasme le public avec des images animées qui ont "une netteté et une précision qui donnent l'illusion complète du naturel".


Watrin 14 juin 1903 Journal de Paimpol

En octobre 1903, le journal L'éclaireur du Finistère évoque la présence du "cinématophone" de M. Watrin à Morlaix. M. Watrin s'équipe également d'un appareil pour filmer les évènements locaux et les projeter ensuite, le succès est garanti ! 

En décembre 1904 à Saint-Pol de Léon M. Watrin donne une grande séance de gala avec Le Chat Botté, féérie en couleurs en sept actes, et le voyage de M. Doumergue, ministre des colonies à Morlaix. Quelques jours plus tard, la presse fait état de manifestations "assez bruyantes" lors de la projection du film montrant M. Doumergue. M. Watrin sera même contraint de quitter la ville car ce programme provoque des troubles à l'ordre public !

Un autre cinéma va bientôt concurrencer le cinématophone, il s'agit de l'Impérial bioscope de M. Audrouin, un autre forain qui fera parler de lui en Bretagne...

Jean Watrin décède en mars 1908 dans sa roulotte à Brest, le jour du mariage de sa fille ! L'article de La dépêche de Brest nous fait mieux percevoir le tragique de la situation.

Décès de Jean Watrin 25 mars 1908 Dépêche de Brest

Dans les années 1910, Jean de Trigon, un morlaisien raconte dans ses mémoires que "Les attractions ne manquaient pas à Morlaix ! Une innovation due à l’ingéniosité de Watrin fit sensation. Un compère éloquent le présentait d’une manière pompeuse : « Le cinématographe animé de la parole » (sic)".

 

On note à Brest en janvier 1891, le décès de Marie Watrin, célibataire, sans profession, 89 ans, est-ce de la famille ? 

De même, le décès de Georges Watrin, 15 ans, résidant sur le Champ-de-Bataille à Brest (lieu de la Fête foraine) est mentionné le 16 janvier 1910.

 

3ème génération

Louise Watrin (1878-1936)

Louise Watrin, fille de Jean-Louis Watrin, est née le 22 mars 1878 à Gondrecourt en Moselle. Elle se marie à Brest le 24 mars 1908 avec Henri Coutaret, fils d'un marchand ambulant. Louise Watrin est la directrice du cinéma Watrin, un cinéma ambulant.

Toute la famille Coutaret-Watrin va travailler dans le cinéma Le Casino à Puteaux, en région parisienne, où ils vont déménager. Raymond, le fils né en 1909 à Douarnenez, est opérateur de cinéma, comme son frère Roger, né en 1910 à Rennes, idem pour l'autre frère Achille. Louis Coutaret, directeur du Casino, est élu conseiller municipal à Puteaux sur une liste socialiste en 1925 et en 1929. Plus tard, en 1933, il lance L'Aviatic Cinéma au Bourget.

Le décès de Louise Watrin le 28 mai 1936 à son domicile 10 rue Rigaud, au Bourget, va faire l'objet de plusieurs publications. Son corps sera rapatrié en Bretagne à la gare de Brest et la cérémonie se déroulera à l'église Saint-Martin. Elle est inhumée au cimetière de Brest.

Décès de Louise Watrin 2 juin 1936 La Dépêche de Brest


 

Raoul Watrin (1890-1963)

Raoul Watrin, fils de Jean-Louis Watrin et Céline Munier, est né le 3 novembre 1890 à Château-Thierry dans l'Aisne.

Raoul Watrin, recensement militaire. 1910

Raoul travaille sur les fêtes foraines avec son frère Léon. Ils ont un manège appelé "La Chenille". 

Raoul est décédé le 11 janvier 1963 à Concarneau à l'âge de 72 ans.

 

Laurence Watrin (1895)

Laurence Hélène Watrin est née le 13 octobre 1895 à Baccarat en Meurthe-et-Moselle. Elle se marie avec Raoul Mottard, né sur le Champ-de-Foire à Tours en 1890 et décédé à Pleubihan le 28 avril 1956. Son mari est marchand forain et Laurence Watrin deviendra artiste de théâtre.

 

Léon Watrin (1886-1946)

Léon Auguste Watrin, né le 23 décembre 1886 à Gondecourt (ou Conflans-Jarny, près de Metz??) en Moselle, a toujours vécu dans le monde forain avec ses parents d'abord. (voir plus haut l'histoire de son père Jean-Louis Watrin)

Au décès de son père en 1908, il reprend l'activité. Par exemple le 10 juin 1913 à Rennes, Ouest-Eclair mentionne le cinéma ambulant de M. Watrin (Léon) sur le Mail. Il se marie le 1er février 1910 à Landerneau (Finistère) avec Léonie Mottard (1888-1958).


Le couple aura deux enfants, Georges (né en 1910) et Nadia (née en 1914).

Au moment de la Guerre 14-18, Léon Watrin est incorporé dans le 19e régiment d'Infanterie et ensuite il est désigné comme metteur au point chez l'aviateur Blériot qui travaille pour l'aviation militaire à Buc. 

Après la guerre 14-18, Léon Watrin songe à créer une attraction nouvelle. Pour cela il observe les jouets d'enfants et comme Léon Watrin est un chercheur inventif, maitrisant parfaitement les secrets de l'électricité, il va mettre au point Le moulin hanté, Le skid, Les glissades suédoises, L'autodrome, Le radio-skooter.

L'attraction des glissades suédoises est opérationnelle dans les années 20. Elle est mentionnée sur le Champ-de-Foire de Lamballe le 20 juin 1927. L'autodrome Watrin est une attraction très en vogue à la foire du Champ-de-Bataille de Brest en décembre 1929. A Saint-Nazaire en septembre 1931, M. Watrin est là avec son Radio-Car, The Bobsling et le Skid.

Dans le Journal Républicain de Morlaix, on signale le 30 septembre 1933 à la Foire Haute de Morlaix Place des jacobins L. Watrin avec "Le train fantôme" et Place Cornic avec l'autodrome. 

Dans les années 40, comme à la Foire du Liège à Dinan en 1943, Léon Watrin est présent avec La Chenille.

Léon Watrin vend certaines attractions en Angleterre où la construction est réputée et met au point une nouveauté pour la grande Exposition internationale de Paris.

Ce passionné travaille parfois jusqu'à 16 heures par jour mais n'abandonnerait son métier pour rien au monde.

Léon Watrin décède le 12 février 1946 à Rennes. 


 

4ème génération

Nadia Watrin (1914-1999)

Nadia Suzanne Watrin est née le 15 octobre 1914 à Le Relecq-Kerhuhon dans le Finistère. Elle est la fille de Léon Watrin (né en 1886). Elle se marie à Douarnenez en août 1935 avec M. Chevalier. Elle est décédée le 9 avril 1999 à Concarneau (29).

Mariage Nadia Watrin 14 août 1935

 


Georges Watrin (1910-1989)

Georges André Watrin est né le 30 (ou 31) octobre 1910 à Auray dans le Morbihan. Il est le fils de Léon Watrin (né en 1886).

Georges Watrin s'est marié avec Gabrielle Georgette Audroin

En 1947, on possède une trace d'archive de Georges Watrin avec son radio-skooter à la Fête foraine de Dinan, sur la Place Duguesclin.
Les autres industriels forains bien connus dans le secteur sont également présents. Le long de la rue du tribunal on a : N° 23
Radio-Skooter Watrin, n°28 chevaux de bois, n°8 chenille enfantine, , n°4 Le dragon, chenille, n°3 Le cyclone, en bas en partant de la gauche stand de tir, loterie, manège,  sous le n°20, M. Winand ; Train du plaisir, Audroin, Salvat loterie Le Chat botté, M. Pasquier jeux mécanisés ; tout à fait à droite n°1 Radio-Skooter Hoffmann.

1947 Dinan Place Duguesclin. Publié sur le Facebook Fêtes foraines de Bretagne et d'ailleurs

G.Watrin à gauche et M. Audrouin à droite. 9 janvier 1959 Ouest-France
 

En janvier 1959, on trouve Georges Watrin, à la tribune d'une réunion syndicale des industriels forains à Rennes. M. Watrin a exercé la fonction de délégué régional et d'administrateur du syndicat. Il sera toujours très présent dans les réunions syndicales en Bretagne.

Watrin. Ouest-France 1971

Sur la photo ci-dessus, tout à fait à gauche, on le retrouve en 1971 à Dinan lors d'une réunion avec ses collègues industriels forains.

En juin 1960, M. Georges Watrin et Charles Janselme sont les deux assesseurs de la réunion syndicale qui se tient à Saint-Brieuc. On note à cette réunion que depuis mai 1960, tous les forains ont droit à la carte d'identité nationale même s'ils n'ont pas de domicile fixe.

23 juin 1960 Ouest-France

 

A Loudéac en 1955

 

Une nouvelle attraction pour la foire de Loudéac avec le Cyclone de M. Watrin, un habitué de la fête.

M. Watrin au montage de son Cyclone. 9 avril 1955 Ouest-France

G. Watrin pour la foire de Rennes 7 août 1960, publication dans "Fêtes foraines de Bretagne et d'ailleurs"

Des communions à Saint-Brieuc en 1955 et 1961.


Communion Watrin 18 juin 1955 Ouest-France
 

En juin 1955, Gilbert et Daniel Watrin font leur communion à la chapelle de Nazareth à Saint-Brieuc avec leurs camarades Daniel Dauvier et André Audroin, Mariannick et Joëlle Briand. Chantal Watrin figure aussi sur la photo. Gilbert Watrin et Joëlle Briand ne le savent pas encore mais en avril 1966, ces deux-là seront mariés à Dinan !

Quelques années plus tard, en juin 1961, c'est au tour de Chantal-René Watrin de faire sa communion solennelle, tandis que Monique Dauvier, Josette Briand et Marie-Claire Figuier effectuaient leur confirmation


 

Grande fête à Morlaix. 1955

En septembre 1955, dans le quartier de Saint-Mathieu, on se prépare aux grandes fêtes. L'autodrome Watrin est en plein montage et un bal clôturera la fête le lundi sur cet autodrome.

Montage de l'Autodrome Watrin. 29 septembre 1955 Morlaix. Ouest-France

 

Un match de foot à Dinan en 1961

Il est habituel qu'à la fin des foires du Carême à Dinan, les vétérans du stade dinannais rencontrent l'association Sportive des Forains en faveur d'une bonne oeuvre, le Bureau d'Aide sociale. En mars 1961, l'équipe des forains est composée de Fouillen, Audroin, Janselme, Malmanche, Bozec, les quatre frères Musset et de Watrin.

 

Les forains sur la Place de Robien en 1967

 

Sur ce plan établi par la municipalité de Saint-Brieuc pour indiquer le placement des marchands forains en 1967, on découvre les noms des habitués des fêtes foraines du quartier de Robien : Tricoire, Hoffmann, Mouton, Figuier, Watrin avec son auto-skooter...

 

Foire de Vitré 1969

En 1969, à la Foire Saint-Georges de Vitré on retrouve la famille Watrin avec l'auto-scooter.

Auto-skooter Watrin à Vitré 1969 photo Ouest-France publiée dans "Fêtes foraines de Bretagne et d'ailleurs"

 

Foire du Liège à Dinan 1971

Ci-dessous un ticket pour des réductions à la Foire du Liège de Dinan en 1971 avec les autos-skooter Watrin. Document envoyé par Lorette Lafosse et publié dans le Facebook "Fêtes foraines de Bretagne et d'ailleurs".

 

Pendant la fête foraine de l'hiver 1975-1976, Gilbert Watrin est enregistré avec son auto-skooter (qui sera vendu à cette époque à Michel Escroignard). Gabrielle Watrin tenait un stand de loterie pour enfants.

Photo, de l'auto-skooter au Parc des promenades à St Brieuc, parue dans Fêtes foraines de Bretagne et d'ailleurs.


 En juin 1973 à Saint-Brieuc, Édouard Quemper, premier-adjoint, coupe le ruban de la fête foraine sur la place de la Liberté, sous la conduite de M. Watrin, président des industriels forains.

M. Watrin à droite. Saint-Brieuc 12 juin 1973 Saint-Brieuc

 

Voici une caricature de M. Watrin parue dans la page de Ouest-France édition de Morlaix en novembre 1973. La légende dit : "Une des figures les plus populaires chez les forains, M. Georges Watrin"

Georges Watrin 22 novembre 1973 Morlaix

 

5ème génération

Sur le Champ-de-Mars à Rennes. 1971

Deux articles de Ouest-France font la part belle à la jeune génération d'industriels forains. Gilbert Watrin en fait partie.

Gilbert Watrin en 1971

Gilbert Watrin à l'arrière plan, avec ses collègues en décembre 1971

Sur la gauche l'auto-skooter Watrin. Photo Musée de Bretagne

Ci-dessus, une photo de Charles Barmay sur la fête foraine du Champ-de-Mars de Rennes en janvier 1963, avec sur la gauche l'auto-skooter Watrin. 

 

 

Si vous avez des documents ou des témoignages à apporter sur la famille Watrin et les familles d'industriels forains de Bretagne, merci d'utiliser le formulaire de contact en haut de page. 

 

Ci-dessous, deux adorables enfants accompagnant l'article sur Léon Watrin à Brest en 1937... Qui les reconnait ? Merci d'utiliser le formulaire de contact.


 

A suivre, d'autres familles d'industriels forains 

en Bretagne :

 

La famille Audroin, cliquer ici

La famille Chira, cliquer ici

La famille Coéffic, cliquer ici

La famille Descamps, cliquer ici

La famille Drouet, cliquer ici

La famille Figuier, cliquer ici

La famille Greneux, cliquer ici

La famille Hoffmann, cliquer ici

La famille Mouton, cliquer ici

L'histoire de Romain Mouton, appelé le Père Mouton, cliquer ici

 

 

Pour lire l'article sur les Fêtes foraines à Robien et dans le secteur de Saint-Brieuc, cliquer ici

 

Pour retourner au sommaire du blog, cliquer ici

 

Sources

Nombreuses recherches dans les archives de Ouest-France et du Télégramme. 

Sur Généanet, Georges Watrin, cliquer ici

Sur Généanet, Léon Watrin, cliquer ici

L'histoire du cinéma à Saint-Brieuc, blog de l'histoire de Robien, cliquer ici

Raoul Watrin, recensement militaire, cliquer ici 

Sur Généanet, Laurence Watrin, cliquer ici

Sur le site le Maitron, Louise Watrin mariée à Gaston Coutaret, cliquer ici

L'histoire de L'Aviatic Cinéma, cliquer ici

L'arrivée du cinéma à Morlaix. 1895. Emmanuelle Danielou. Cliquer ici 

Facebook "Forain d'autrefois", cliquer ici 

Facebook "Fêtes foraines de Bretagne et d'ailleurs", cliquer ici

Jean de Trigon. Morlaix avant la guerre. Souvenir d’un morlaisien. Imprimerie de la Presse libérale, 4 rue du Château, Brest. 1937

 

 

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