lundi 29 novembre 2021

Les maisons de l'octroi dans le quartier de Robien à Saint-Brieuc

 

 

Quand on parle de l’octroi, il s’agit du droit octroyé (accordé) aux villes pour lever certaines taxes, notamment celles perçues à l’entrée des agglomérations sur des denrées déterminées.

Par la suite le mot octroi a désigné la taxe elle-même, l’administration chargée de la recevoir et le local où on s’en acquittait.

 

Initiales SB (St Brieuc) sur la maison d'octroi 78 rue Jules Ferry

 

L'octroi à Saint-Brieuc

 

La question de l’octroi n’est pas récente. Un document très ancien sur les octrois en Bretagne date de 1579. Dans un mémoire du 21 juillet 1608, la ville de Saint-Brieuc s’adressa au roi Henri IV pour obtenir l’établissement d’un octroi. En fait, la ville le pratiquait déjà…Louis XIII accepta officiellement l’établissement d’un octroi en 1617. Cette taxe constitue alors l’unique ressource dont la ville dispose  alors pour ne plus dépendre totalement de l’évêque.

En 1743, on plante des bornes à distance d’un quart de lieue sur les routes allant à Rennes, Moncontour, Quintin, Paimpol et Brest.

Plus tard, le 20 juin 1791, l’Assemblée Nationale vota la suppression des octrois, considérés comme des taxes injustes. Le Directoire les fit rétablir sous le nom « d’octrois de bienfaisance ».

En 1833 la ville de Saint-Brieuc possède dix bureaux d’octroi aux entrées de la ville. 

 

 

L'octroi, sujet de préoccupation du Conseil municipal de Saint-Brieuc

 

Le sujet des taxes perçues dans les bureaux d’octroi est un sujet sur lequel le conseil municipal de Saint-Brieuc se penche régulièrement. En voici des exemples extraits des délibérations du Conseil entre 1850 et 1907 :
 

Le 23 avril 1850, le conseil municipal de Saint-Brieuc débat de l’augmentation de la taxe des cidres, des vins, des alcools.

Le 5 juin 1874, dans une délibération du conseil municipal, il est indiqué que la Mairie va « stimuler le zèle des agents par des gratifications pour procès verbaux dressés pour fraude nocturne ».

Le 12 février 1892, on trouve une délibération sur la taxe à percevoir sur les bières, l’octroi sera perçu sur le quart des bières fabriquées par M. Mathonnet.

Le 17 décembre 1895, on apprend que les règlements et tarifs seront affichés pour forcer les voitures à marcher au pas devant les bureaux d’octroi.

Le 14 février 1896, le conseil supprime la taxe sur les huiles.

Le 7 octobre 1898, augmentation des taxes sur les viandes et le 17 mars 1899, augmentation des taxes sur les alcools.

Le 19 mai 1899, suppression de la taxe sur l’avoine des chevaux, par contre les taxes sur le beurre sont maintenues.

Le 10 novembre 1899, les contribuables récoltant de fourrages adressent une pétition pour ne payer que la moitié de la taxe qui leur est demandée.

 

 

L'octroi dans le quartier de Robien

 

 


Ci-dessus, les 4 maisons d'octroi encore visibles dans le quartier de Robien : en haut à gauche, rue abbé Garnier, en haut à droite, rue de Trégueux, en bas à gauche, rue Luzel, en bas à droite rue Jules Ferry

 

 

En 1833, en ce qui concerne le quartier de Robien, le huitième bureau d'octroi, sur les dix que possède la ville, est situé sur le chemin de Ploufragan, un peu au-delà de la maison du Pré-tison, le neuvième est sur la Grand’route de Quintin.

En 1863, un autre bureau d'octroi est installé sur la route de Lorient. Ce bureau se trouvait au lieu-dit « la Croix Hingant », au débouché du chemin d’Yffignac (rue François Ménez) et de la rue Gourien.

 

Plan de 1867, archives municipales 3Fi 303.

En 1893, construction d’un bureau sur le terrain de la compagnie des chemins de fer, à l’entrée de la gare de marchandises, boulevard Carnot.

Le 13 février 1907, le déplacement du bureau d’octroi de la gare est acté. Sur le plan ci-dessous daté de 1922 on voit la localisation précise du bureau d'octroi dans le boulevard Carnot. Il est situé juste à l'entrée de la gare de marchandise et donne sur le début de la rue Jules Ferry.

 

Plan 1922 3F0124 Gare et boulevard Carnot, archives municipales.

Le 24 mai 1910, le bureau d’octroi du Carpont est en construction.

En 1910, par suite de l’extension de la ville dans le quartier de Robien, les bureaux du boulevard Carnot et de la Croix-Mathias ne sont plus en situation de sauvegarder les intérêts des finances communales. La municipalité de M. Servain (1908-1912) décide de faire édifier trois nouveaux bureaux à la Croix-Péron (1 rue de Trégueux), au Carpont et au 78 de la rue Jules Ferry  (carrefour de la rue Émile Zola).

 

La municipalité de St Brieuc procéda à la suppression de l’octroi le 1er juin 1943.

 

 

 

 

Les maisons d'octroi dans le quartier de Robien aujourd'hui

 
 
Quatre maisons d'octroi sont bien identifiables dans le quartier de Robien à St Brieuc. Celle proche du Pont des Sourds-muets avait déjà fait l'objet d'un article dans le journal Ouest-France, les trois autres étaient moins bien connues.
 
 
 
Rue abbé Garnier
 
La maison à l'angle de la rue abbé Garnier et de la rue de Trégueux possède un très beau portail en fer forgé avec les initiales SB représentant les initiales de la ville de St Brieuc. On trouve ces mêmes initiales dans le quartier sur le portail de l'octroi de la rue Jules Ferry.
 

Maison de l'octroi, bureau de la Croix-Péron, 1 rue de Trégueux, St Brieuc, Photo RF

 

Initiales SB. Maison de l'octroi, 1 rue de Trégueux, St Brieuc, Photo RF



 
Rue Jules Ferry
 
Au 78 de la rue Jules Ferry,  se dresse la maison de l’octroi.
Cette maison date du début du XXe siècle, vers 1910. Comme pour celle de la rue de Trégueux son portail forgé porte les initiales de la ville de St Brieuc (SB). Au dessus de la fenêtre de droite, le mot OCTROI devrait figurer dans le rectangle.
En 1931, le recensement indique que c'est Maurice Debreux qui est l'employé de l'octroi. Il habite cette maison avec son épouse Anne, leur fils Bernard et leur neveu Georges Fine.


Maison de l'octroi, 78 rue Jules Ferry, St Brieuc, Photo RF

Initiales SB. 78 rue Jules Ferry, St Brieuc, Photo RF



La photo ci-dessous représente la maison d'octroi de la rue Jules Ferry dans les années 20 ou 30 au moment d'une cavalcade dans le quartier. Le mot OCTROI est bien visible au dessus de la porte. Par contre, il est difficile d'identifier le lieu exact de cette maison. En effet le numéro 27 de la rue Jules Ferry d'aujourd'hui ne correspond pas complètement et le numéro 78 (ci-dessus) n'est pas identique...
 

Maison de l'octroi, rue Jules Ferry, années 1920-1930

 
 
 
 
Rue abbé Garnier
 
Au 1 rue Abbé Garnier, juste à côté du Pont des sourds, se trouve donc cette maison historique du pavillon de l’octroi.
Cette maison date du XIXe siècle, un plan de 1863 indique l'emplacement de l'octroi.
En 1901 dans le recensement de la population, on trouve le nom du recenseur de l’octroi, il s'agit de Lucien de Robichon.

L'octroi de la rue Abbé Garnier a été en service jusqu'au début des années 40.

Maison de l'octroi, 1 rue abbé Garnier, St Brieuc, Photo RF


Maison de l'octroi, localisation, 1 rue abbé Garnier, St Brieuc. 1863 3Fi 220. Archives St Brieuc

 

 

 

 Rue Luzel, le bureau d’octroi du Carpont

 

Bureau d'octroi, rue Luzel. Archives départementales

La photo ci-dessus, des années 40, permet de bien se faire une idée de la place qu'occupait le bureau d'octroi du Carpont en bas de la rue Luzel, au numéro 63
Le bâtiment n'est pas mis en valeur car il est écrasé par le pont de la voie ferrée, comme on peut le voir encore de nos jours.
 
C'est une belle construction, sur le modèle des autres octrois de la rue Ferry et de la rue de Trégueux, construits eux aussi en 1910, avec des briques rouges qui soulignent les ouvertures.
 

Ancien octroi Rue Luzel. Image Google Earth


 

 

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Sources

 

Article du journal municipal de Saint-Brieuc, le Griffon, 1968 numéro 9, pages 19, 21, 22, 23, 24 (en ligne sur le site des archives municipales)

Délibérations du Conseil municipal de Saint-Brieuc, 1850 à 1907

Le patrimoine des communes des Côtes-d’Armor, éditions Flohic.

Archives municipales, plans 1863 et 1867.  

Plan 1922 3F0124 Gare et boulevard Carnot, archives municipales

Photo aérienne de la rue Luzel. Fonds Henrard, cote 26 Fi 358. Archives départementales. 




 

 





 

samedi 6 novembre 2021

Entreprise Armor étanchéité, rue André Gide à St Brieuc. 1972-2007

 


La Société Armor étanchéité est immatriculée le 15 septembre 1972, Jean-Loup Le Pocreau est alors le président du C.A. C'était une entreprise exerçant dans le secteur des travaux d'étanchéification. Les deux responsables sont alors monsieur Davy et monsieur Le Coq. 

L'entreprise a fonctionné jusqu'aux environs de 2007.

En 2008, l'imprimerie Jacq a occupé les locaux laissés vacants par Armor étanchéité.

Armor étanchéité a aussi été domiciliée au 1 et 3 rue de Robien (au même endroit que l’entreprise Davy). L' écriture à la peinture sur la vitrine est encore visible.







Armor Étanchéité. Rue André Gide. Photo RF

Publicité parue dans le journal municipal Le Griffon. 1978

 
Armor Étanchéité. Rue de Robien. Photo RF

 

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Sources 

 

Site Infogreffe

 

 

 

 

mardi 2 novembre 2021

Etablissements Gaudu, 18 rue Jules Ferry à St Brieuc

 


 

 

Les deux entreprises Gaudu à St Brieuc

 

Le nom de la famille Gaudu est bien connu à Saint-Brieuc. Il faut dire qu’elle y est établie depuis plus de quatre siècles. René Gaudu (1621-1682) vivait à Saint-Brieuc au temps d'Henri IV.

On associe généralement le nom de Gaudu à l’entreprise de piano Gaudu mais aussi à l’entreprise de bâtiments Gaudu.

On sait que dès 1840, Jean Gaudu fonda une fabrique de pianos qui compta jusqu'à trente employés. Les établissements Gaudu fermèrent leurs portes en 1957.

 

 

 

L'entreprise Gaudu dans le quartier de Robien


Dans un article du Télégramme publié le 22 août 2013, Charles Gaudu évoque ses autres ancêtres ayant choisi le secteur du bâtiment :

« Jean-Baptiste Gaudu et son frère Jules établirent après la guerre de 1870 leur société près de la rampe des Forges. On y trouvait un atelier de menuiserie avec son aire pour le montage des charpentes, une forge, une serrurerie, un dépôt de bois et de grandes écuries pour quinze percherons.

Maçons, charpentiers, plâtriers... Une soixantaine d'ouvriers étaient occupés sur les chantiers de restauration (mont Saint-Michel) et de construction (chemins de fer, écoles normales de Saint-Brieuc, pensionnat de la Providence, prison des femmes à Rennes...)".

 

Conflit du travail chez Gaudu. 28 août 1912 Ouest-Eclair

 

 


Tous les secteurs de l'entreprise sont transférés au 18 rue Jules Ferry en janvier 1948. 

Cette décision concerne les bureaux, le magasin de vente et les ateliers de fabrication.


5 janvier 1948 Ouest-France


 

L'entreprise survécut longtemps de père en fils, avant de disparaître vers 1990.

 

Annonce Ouest-France 1969

 

Annonce dans Le Griffon n°13 en 1969

 

 

Vue aérienne années 70. Archives municipales

 

 

 

Après la disparition de l'entreprise Gaudu 



L'entreprise Gaudu est restée fermée plusieurs années et ses terrains ont constitué une opportunité intéressante pour qu'une résidence soit construite en 1998.

La résidence des Quartiers de Robien s'ouvre sur la rue Jules Ferry et sur l'angle du boulevard Hoche avec un local commercial occupé par une pharmacie.



Résidence des quartiers de Robien. Photo RF


Résidence des quartiers de Robien. Photo RF


 

Le saviez-vous?

 

En février 1972, les établissements Gaudu ont subi de gros dégâts lors d'une terrible tempête qui a touché alors la Bretagne. Le dimanche 13 au matin, les vents atteignirent leur maximum et 150 mètres carrés de couverture en tôles furent arrachées et encombraient la chaussée dans le boulevard Hoche. Les pompiers durent intervenir pour sécuriser les lieux et déblayer. 

 

 

 

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A lire en complément sur ce blog à propos des autres entreprises de bâtiment du quartier de Robien


Les établissements Davy, cliquer ici

L'entreprise Zocchetti, cliquer ici

Henri Rideau, cliquer ici

 

 

 

Sources

  

Article du Télégramme 22 août 2013

Article de Ouest-France 14 février 1972

Article du journal Le Griffon, numéro 13, 1979

Archives municipales, Fonds Le Bigot

 

 

 

 

Les bistrots de Robien, rue de Robien à Saint-Brieuc

 

 

Chez Nicolas, LE TOURBILLON, CAFÉ RAMIO, 31 rue de Robien

 
 
 
Années 1900-1910. Carte postale ancienne.

 
 
L'histoire de ce bar-restaurant de la rue de Robien à Saint-Brieuc mérite vraiment que l'on prenne le temps de s'y arrêter car elle est emblématique d'une entreprise familiale qui s'est transmise de génération en génération et qui plus est par les femmes.
 
 
Déjà en 1901, Marie-Françoise Rouxel, née Le Charpentier à Langueux en 1860, veuve, est enregistrée comme aubergiste au 19 rue de Robien. Son mari, Jean-Louis Rouxel, aubergiste, est décédé trois ans avant le 26 septembre 1898.
 
 
Au début des années 1900, on trouve donc déjà un pas de porte avec un débit de boisson à l'angle du boulevard Hoche et de la rue de Robien, comme on le voit sur une carte postale ancienne du quartier.
 
Le propriétaire inscrit dans le recensement de 1906 est François (Célestin) Nicolas, né le 3 juin 1859 à Yffiniac (ex instituteur). C'est le second mari de Marie-Françoise Le Charpentier, veuve de Jean-Louis Rouxel. Elle se remarie avec lui à Saint-Brieuc le 22 juillet 1903. 
 
 
Signatures sur le registre de mariage en 1903.

 
 
 

 
 
1906. recensement rue Jules Ferry. Archives départementales

 


Le numéro d'alors était bien le 19 rue de Robien (plus tard il deviendra le 31).
 
En 1931, la fille de Marie-Françoise Le Charpentier et Jean-Louis Rouxel, Marie-Louise Roussel (avec une erreur sur le nom qui est en fait Rouxel) est inscrite comme débitante et le numéro de la rue est devenu le 31. Elle reprend en fait l'activité que sa mère avait au début du siècle. 

 
On trouve en 1936 René Ramio, né en 1908 à Théza (66), inscrit comme "gendre" de Madame Rouxel. Il est alors "marchand forain". Son épouse Marie (née Rouxel) est née le 9 mars 1912 à Saint-Brieuc. Elle est la petite fille de  Marie-Françoise Nicolas et la fille de Marie-Louise Rouxel. Dans le recensement de 1936, Marie-Françoise Nicolas (veuve et belle-mère) habite avec ses descendants. 
 
En 1932, la petite-fille de Marie-Françoise Le Charpentier-Rouxel-Nicolas, Marie Rouxel, se marie avec René Ramio. C'est la troisième génération de débitants en vin de la rue de Robien.

Dans les années 50, le Tourbillon, appelé aussi "Chez Ramio" (ou Café Ramio) était un établissement bien connu dans le quartier de Robien et plus en général pour les habitants de Saint-Brieuc.

Le Tourbillon se transformait le midi en restaurant ouvrier. Il arrivait parfois à Madame Ramio de commander jusqu’à 150 côtelettes à André et Simone Beloeil, les bouchers, pour un déjeuner.

Les amateurs de combats de boxe (qui se tenaient dans la grande salle des fêtes de Robien) allaient au Tourbillon à l'entracte des combats pour boire un coup. Le bar faisait le plein ces soirs-là. 
 
 
 
La photo ci-dessous a été prise le 29 juillet 1971 par H. Lemare. On y voit M et Mme Ramio et Mlle Émilienne Charloy, une parisienne alors en vacances à Saint-Brieuc.
 

 
 
1971. Le Tourbillon, croisement boulevard Hoche et rue de Robien. Photo A. Bougeard
   


 
La belote était une distraction très prisée dans ce bistrot et des concours pouvaient s'y tenir comme celui du grand concours départemental de belote des Anciens Prisonniers de Guerre en février 1956.(voir plus bas l'article de Ouest-France de 1956).  
 
M et Mme Ramio on tenu leur bar-restaurant jusqu'en 1977. 

A noter que M. Ramio était également connu depuis le début des années 50 dans le quartier pour son activité de marchands de fruits et primeurs.


 
Emplacement actuel du bar Le Tourbillon. Image Google

 
 

M. Ramio, un patron trop confiant


 

Le 11 avril 1950, Ouest-France relate un incident fâcheux s’étant produit chez M. Ramio lorsqu’il exerçait comme vendeur de fruits et primeurs. Sous le titre « Les cageots de fruits s’envolaient », on nous explique que certains employés profitaient de la confiance que leur accordait leur patron « pour charger quelques caisses supplémentaires et garder une partie du surplus d’argent ainsi récolté ».

 

En 1951 s’est ouvert le procès des deux ouvriers indélicats de chez M. Ramio. Le premier a été condamné à 6 mois de prison ferme et à devoir restituer 60 000 francs. Le deuxième écope de 4 mois de prison avec sursis et a dû restituer 15 000 francs.

 
 
 
 
 
La tournée des bistrots de Robien continue ici...

Bistrots rue Jules Ferry 

Bistrots rue abbé Garnier

Bistrots boulevard Carnot

Bistrots rue Luzel

Bistrots rue de Trégueux

 


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Sources

Archives municipales, dossier de presse des années 1996 et 1998 avec des articles de Ouest-France.
 

Archives départementales en ligne. Recensement de la population 1901, 1906, 1911, 1936. 

Etat civil de Langueux, vue numéro 2, registre des naissances 1860.

Registre des mariages :  Nicolas-Le Charpentier, St Brieuc, 1903, vue 381

Généanet, fiche Marie-Françoise Le Charpentier, ici

Site internet, greffe du tribunal de commerce. 

Photographie, collection André Bougeard

 

Si vous avez des commentaires ou des documents sur l'histoire de Robien, vous pouvez utiliser le formulaire de contact en haut à droite de la page. Merci d'avance.

 

1956 25 février. Ouest-France. Concours de belote au café Ramio

 


L'histoire du quartier de Robien à Saint-Brieuc. Sommaire

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