samedi 10 juillet 2021

L'imprimerie Jacq, rue André Gide dans le quartier de Robien à Saint-Brieuc. 2008-2015

 

 

Yannick Simonet dans les locaux de l'entreprise Jack. 14 novembre 2008. Photo Ouest-France

 

 

L'histoire de l'imprimerie Jacq, de la rue de la Corderie en 1973 à la rue André Gide en 2008

 

L'imprimerie Jacq existait déjà depuis 35 quand elle a quitté ses installations de la rue Ambroise-Croizat pour le quartier Robien, rue André-Gide, dans les anciens locaux d'Armor étanchéité,  passant ainsi  de 350 à 800 m2 . Yannick Simonet est le directeur de l’entreprise à cette époque. Ce déménagement s'est accompagné d'un changement de machines : la vieille imprimante offset quatre couleurs qui datait de 1998, a été remplacée par une imprimante offset, 5 couleurs, tout automatisée. 

Il est loin le temps des caractères en plomb à placer, lettre par lettre, dans des petites cases en bois. Une évolution technique considérable depuis que Yannick Simonet était arrivé pour sa première journée d'apprentissage en 1975, rue de la Corderie, dans un petit atelier où Yves Jacq avait créé l'entreprise en 1973

 

Depuis, ce simple ouvrier a repris la tête de la direction et dirige sept salariés. L’entreprise ne manque pas alors de travail. C’est par exemple qui édite les 210 000 bulletins de vote et 105 000 professions de foi pour les Élections prud'homales. Syndicats, partis politiques, associations, administrations et collectivités locales de tout le département sont également des clients réguliers (bulletins municipaux de Pommeret, de Langueux...)

L’entreprise installée à Robien en 2008 a été radiée le 24 septembre 2015

 

 

 Si vous avez d'autres renseignements sur l'entreprise Jacq, merci d'utiliser le formulaire de contact. 

 

 

 

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Sources

 

Article de Bruno Alvarez dans Ouest-France daté du 14 Novembre 2008





 

jeudi 1 juillet 2021

Les grands axes de circulation à Robien. 1801 à 1908

 

 

Remontons jusqu'en 1800 pour découvrir l'évolution du quartier de Robien

 
Jusqu'au milieu du XIXe siècle, le secteur de Robien ne fut qu'un lieu quasiment inhabité que l'on traversait pour aller de St Brieuc à Quintin, première ville d'importance avant de rejoindre plus au sud Lorient ou Quimper.
La route de St Brieuc à Quintin est construite vers 1750, elle supportait les diligences. Au 18e siècle Quintin était un centre important de fabrication des toiles. Elles parvenaient jusqu’au port du Légué où elles pouvaient alors être exportées.
 
Du centre ville de Saint-Brieuc les deux axes qui se dessinent sont :
La route de Quintin (qui deviendra la rue Jules Ferry). C'est le grand axe qui traverse Robien. 
La petite route de Quintin (rues Cuverville et  Luzel de nos jours)


Un quartier longtemps traversé par deux grands axes

 

Mais en dehors de maisons le long de ces deux routes, vers 1850-1860, le quartier de Robien n'avait pas d'existence en tant que tel. Il était éloigné du reste de la ville, on n'y trouvait quasiment que des champs, des prés et très peu d'habitants.
Il faut attendre l'installation de l'établissement des Sourds-Muets en 1855 et l'arrivée du chemin de fer, en 1863, pour que Robien se développe progressivement.
 
Une autre étape importante est l’installation en 1873 de l'usine des Forges-et-Laminoirs qui s'élève sur de vastes terrains situés derrière la gare.
L’étude des plans successifs du quartier depuis 1801 nous apporte des éclairages sur l'évolution de Robien et sur les grands axes de circulation du quartier.
Retenons aussi que le quartier est limité à l'ouest par la vallée de Gouédic et sera limité à l'Est quand le chemin de fer arrivera à Robien.
 
Cette analyse des plans nous permettra ensuite de bien comprendre le développement des rues à Robien. Ce sera l’objet d’un autre article.


 

Les plans de 1800,1801, 1814, 1892, 1897 et 1902

 

 

PLAN DE 1800

 

Le premier plan mentionnant Robien pourrait être celui des routes de l'arrondissement de Saint-Brieuc, dressé en 1800. On y trouve dans l'ordre, en partant de Saint-Brieuc, une mention du lieu-dit "Le Tabour major" (premières maisons de ce qui deviendra la rue Jules Ferry) et Robien (sous entendu le manoir et les fermes attenantes).

 

Routes de l'arrondissement de Saint Brieuc en 1800. Plan de la B.N.F

 

 

PLAN DE 1801

Un premier plan cadastral de 1801, peu lisible, met en évidence la route de Quintin qui est le grand axe qui traverse Robien, un secteur représenté sans aucune construction. Même si la qualité de la reproduction du plan n'est pas très bonne, on ne distingue que des champs et des chemins qui se terminent en impasse. La petite route de Quintin (rue Cuverville et rue Luzel de nos jours) est également présente. 
 
Sur un deuxième plan, non daté mais autour de 1800, on retrouve les mêmes renseignements utiles pour mieux comprendre à quoi ressemblait le quartier il y a deux siècles. L'axe majeur est indiqué gris foncé sur la droite, c'est la route de Saint-Brieuc à Quintin (elle deviendra la rue Jules Ferry). Dans la direction du Sud, on passe un lieu-dit "Belorient" et on traverse le ruisseau du Gouédic au Pont des Villemoisans.
 
Le deuxième axe est appelé "Chemin de Saint-Brieuc à Ploufragan" et traverse le ruisseau du Gouédic au Carpont.
 

Plan quartier Robien, grands axes, aux environs de 1800. 3 Fi301 Archives municipales.


Plan quartier Robien, grands axes aux environs de 1800. 3 Fi301 Archives municipales.



PLAN DE 1814

Un deuxième plan cadastral de 1814 nous donne une idée des deux grands axes qui traversent Robien :
Le premier axe est« La petite route de Quintin à St Brieuc », la rue Cuverville de nos jours. Un deuxième chemin, parallèle, traverse le secteur du Pré Tison et passe par la rue appelée "rue Luzel" de nos jours. Ce deuxième chemin est en fait le prolongement de la rue Cordière qui part du centre ville. Ce qui est appelé "chemin des talus" est de nos jours la limite de la voie ferrée, le début de la rue Cuverville.

 

Plan 1814.




Le deuxième axe est appelé « la Grande route de Quintin à St Brieuc » (rue Jules Ferry de nos jours). C’est le prolongement du chemin des chèvres (qui deviendra la rue de la gare). 

 

Plan 1814. section D extrait du plan cadastral




PLAN DE 1892

En 1892 L’arrivée du chemin de fer a bouleversé le quartier qui s’est retrouvé coupé du centre-ville dans l'axe central (route de Quintin appelée jules Ferry de nos jours).

On retrouve une petite route qui conduit de Quintin à St Brieuc » (dans le secteur du Pré-Tizon et de la rue Luzel).

La rue du Pré-Tizon perd de son importance puisqu'elle se voit coupée de la rue Cordière dont elle était le prolongement.  
On remarque que la « Grande route de Quintin à St Brieuc » est appelée « Route de Lorient » mais c’est bien ce qui deviendra la rue Jules Ferry. Elle est le prolongement de la rue de la Gare, malheureusement coupée par la voie ferrée. Il faudra attendre la passerelle en 1909 pour qu’une continuité soit établie mais uniquement pour les piétons.

Pour rattraper "la route de Lorient", on a créé un boulevard le long de la voie ferrée (il sera ensuite appelé boulevard Carnot)

Enfin, on a « Le chemin de Robien » qui deviendra la rue de Robien prolongé plus tard par la rue Jean Jaurès. 

 

Plan 1892




PLAN DE 1897

Sur ce plan de 1897, la route de Lorient est appelée « Route de Ploufragan ».

Le boulevard Carnot est indiqué, il permet d’accéder à la grande usine des « Forges et Aciéries ».
Le chemin de Robien devient « La rue de Robien » On voit aussi « la rue des Sourds-muets ».


Plan 1897

 

 

 

 Premier PLAN DE 1902

 

Plan 1902. Archives départementales 22. Dossier 5M 89.

 
Ce plan a été édité pour répondre à la demande de construction d'un dépôt de carburant dans l'usine des Forges-et-Laminoirs. Le cercle donne une mesure de l'impact possible de ce dépôt sur les populations environnantes.


Plan 1902. Archives départementales 22. Dossier 5M 89.
  
 
Sur cet agrandissement du plan de 1902, on retrouve les grands axes nord-sud avec le chemin du Carpont (rue Luzel de nos jours) et la route de Quintin (rue Jules Ferry de nos jours).
 
Dans les axes perpendiculaires, on a le boulevard Carnot et le boulevard de Robien (boulevard Hoche de nos jours). Le boulevard de Robien ne se prolonge pas encore au delà de l'intersection de la rue Jules Ferry.
On remarque aussi une immense zone appelée "Terrains labourés"

 
 

Deuxième PLAN DE 1902 (ou plutôt 1904)

 

Ce deuxième plan semble avoir été réalisé plusieurs années après le plan ci-dessus. Pour preuve, le nom de "boulevard Hoche" apparait alors que cette désignation n'est officialisée qu'en septembre 1904.
En 1902, dans les grands axes nord-sud, on a :
la Route du Carpont (ex petite route de Quintin, rue Luzel de nos jours)
la Rue Jules Ferry
la Rue de Robien
la Route de la Croix-Perron (appelée par erreur "Croix-Péran")
Dans les boulevards ou rues transversales on a : Le boulevard Carnot, la rue Guébriant et le boulevard Hoche.
 

1902-1904

 
Sur l'agrandissement ci-dessous, on commence à voir comment le boulevard Hoche va se prolonger au croisement de la rue Jules Ferry et va rattraper la route construite au sud des Forges-et-Laminoirs. C'est ce que l'on appellera "le boulevard Hoche prolongé", avec de petites extensions qui viendront plus tard comme la rue de l'Ondine et la rue du Coucou. 
 
Plan 1902-1904

 
 
Carte de 1908
 
Carte au 1/ 100 000 établie par le Ministère de l'Intérieur en 1908 (document Maurice Guéguen)

 
Sur cette carte de 1908, en bas à gauche, on distingue les 3 axes qui traversent le quartier de Robien, avec les deux axes majeurs (rue Luzel et rue Jules Ferry) et un axe mineur (rue abbé Garnier). Quatre lieux-dits sont indiqués dans le quartier de Robien : "Pré-Tison, Pré Chénay, Bel orient, Robien".

  
Conclusion
Il y a deux siècles, nous avions déjà deux axes majeurs Nord/Sud à Robien, qui sont aujourd'hui appelés la rue Jules Ferry et la rue Luzel. La rue, appelée Abbé Garnier de nos jours, s'est développée plus tardivement. C'est l'axe qui permet aussi d'aller vers Brézillet et Langueux, une voie de circulation qui ne cessera de se développer.
 
Plan sans nom, d'avant 1900 signalant déjà l'importance de l'axe allant du Pont des Sourds-Muets vers Ploufragan en passant par la rue Jules Ferry (chemin de grande communication).



Articles à consulter

La désignation des rues, cliquer ici
Au nord, traverser la voie ferrée ici
 
 
 
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Sources

 

1800. Routes de l'arrondissement de Saint Brieuc.  Bibliothèque Nationale de France. Cote GE C-4919

1801. Plan géométrique de la ville et des faux-bourgs de Saint Brieuc, donné au conseil municipal de la même ville par l'ingénieur en chef des ponts et chaussées du département des Cotes du Nord. Site des Archives municipales. 

Plan avec les grands axes, aux alentours de 1800. 3 Fi301 Archives municipales


Plan de la ville de St-Brieuc et de ses environs en 1892, 1/15 000 / dressé par Ch. Pichard, dessinateur. Disponible sur le site de la Bibliothèque nationale.

Plan de la ville de Saint-Brieuc et du port du Légué / dressé par MM. Sebilleau ; et Thomas.1897. Site des archives municipales 


Plan 1902. Archives départementales 22. Dossier 5M 89.

Plan de la ville de Saint-Brieuc et des environs / dressé par M. Dalmar Jean. 1905 disponible sur le site de la Bibliothèque nationale.  

Plan de la ville de Saint-Brieuc avec en légende les différentes routes, chemins, chemin de fer et longueur classée pour les chemins de grande communication, chemins d'intérêt commun, chemins de petite communication. Site des archives municipales. Cote 5Fi367


Histoire de Saint Brieuc, page 117, J.B Illio 1931 

 

 

  

lundi 28 juin 2021

Théophile Lamandé, négociant en beurre et œufs, rue du Pré-Chesnay, St Brieuc. 1953-1958

 

 

Dans les années 50, Théophile Lamandé était connu dans le quartier de Robien comme négociant en beurre et œufs, rue du Pré-Chesnay à Saint-Brieuc. L'entreprise sera reprise par la suite par son fils Henri.

 


Les grandes étapes de la vie de Théophile Lamandé

 

 

Théophile Lamandé est né le 14 janvier 1893 à Ploeuc-sur-Lié (22).

Son père Pierre Marie Lamandé exerçait la profession de « garçon coquetier, marchand de beurre ».

Théophile se marie une première fois le 1er juillet 1918 à St Brieuc avec Louise Coquil, commerçante à St Brieuc, décédée en 1931. A partir du 11 septembre 1919, M. Lamandé établit son domicile au 70 rue de Quintin à St Brieuc. Dans un second mariage en 1932, il épouse Louise Lecoq.

D’après les informations fournies dans son registre militaire, il s’installe rue du Pré-Chesnay le 25 févier 1939.

 

Au début des années 50, M. Lamandé se lance dans le négoce de beurre et d'oeufs après avoir fait construire de grands hangars, bâtis sur cave, qui jouxtent la maison d'habitation.

 


Les locaux

 

Les bâtiments étaient constitués de 3 niveaux :

des caves utilisées comme lieus de stockage frigorifique ;

des ateliers de conditionnement et d'expédition ;

des greniers dans la partie sud-ouest, où dormaient certains ouvriers qui commençaient très tôt le matin.

 

Les camions livraient leurs produits dans la cour (4) qui se trouvait entre la maison d’habitation et les bâtiments de l’entreprise Glémot (1).

 

Photo aérienne du site industriel du Pré-Chesnay.

 

 

Photo aérienne du site industriel du Pré-Chesnay.

 

 
Les caves sont accessibles par trois endroits différents. Le premier accès se situe un peu au sud de la maison. Il permet de descendre dans un sous-sol en terre battue et gravillons d'environ 240 mètres carrés. Au fond de cette cave, un escalier en béton permet de rejoindre le niveau du rez-de-chaussée du hangar.

Enfin, un autre accès par camion est possible par la rue François Merlet.

 

Accès actuel au sous-sol enterré. Photo RF 2021

 

Etat actuel du sous-sol enterré qui servait d'entrepôt. Photo RF 2021

 

Les employés

 

C’était une entreprise familiale : en 1958, Théophile Lamandé, 65 ans, en était le patron et on retrouve son fils, Henri, 34 ans, conducteur.

Une partie de la main d’œuvre était de proximité comme la famille Herviou, habitants du tertre Marie-Dondaine.

 

 

L'entreprise Lamandé dans la presse

 

 

Fraude alimentaire

Le 23 juin 1954, le journal Ouest-France révèle qu’un inspecteur des fraudes avait relevé une irrégularité en 1953 dans l’exploitation frigorifique de M. Théophile Lamandé. Ce dernier avait omis de tenir à jour le registre du mouvement d’entrées et de sorties de la marchandise entreposée dans le frigorifique.

Cette fraude a coûté 50 000 francs d’amende à M. Lamandé.

 



 

 

Grave accident à la gare.
Deux employés d’une entreprise de transports pris en sandwich entre deux camions

Le 5 mars 1958 dans Ouest-France est relaté un accident s’étant produit la veille à la gare S.N.C.F dans l’enceinte de la gare de marchandise de la petite vitesse. Les conséquences auraient pu être tragiques.

Un camion de la maison Le Bail, entrepreneur de transports dans le boulevard Carnot, venait d’achever un déchargement de bouteilles de butane vides. Joseph Broudic, le conducteur et son collègue Roland Schoellkoff, quittaient la proximité de la voie ferrée. Ils firent une manœuvre et sortirent à l’arrière de leur camion.

C’est alors que la camionnette conduite par M. Lamandé fils arriva en marche arrière et coinça les deux malheureux entre les arrières des deux véhicules.

M. Broudic s’en tira avec une fracture de la clavicule et son collègue fit un bref passage à la clinique des Villes-Dorées.

Dans l’édition du 13 juin 1958, Ouest-France évoque le passage devant le tribunal d’Henri Lamandé, 34 ans, inculpé de blessures involontaires pour ne pas s’être assuré de ce qu’il y avait derrière son véhicule. Sa condamnation lui coûte 15 000 francs d’amende pour le délit et 3 000 francs pour la contravention.

 

 

La reprise de l'entreprise par Henri Lamandé

 

Après 1958, M. Lamandé atteint les 65 ans et a donc la possibilité de partir en retraite...Il cède  l'entreprise à son fils.
Théophile Lamandé décède quelques années plus tard, à l’âge de 70 ans, le 21 juin 1963 à son domicile, 40 rue du Pré-Chesnay.

Au milieu des années 70, en 1974, la société Lamandé, reprise par le fils Henri Lamandé, s'installe rue de La Fontaine à Trégueux. Elle est présentée comme "Centre de conditionnement d'oeufs".

Henri Lamandé modernise les techniques utilisées et recrute de nouvelles équipes. Il recherche par exemple un responsable d'équipe avec des connaissances en mécanique (annonce du 5 octobre 1974 dans Ouest-France). 

En décembre 1981, l'entreprise Lamandé est à l'honneur au niveau régional. Elle reçoit le logo de l'exportation et une médaille de bronze qui récompense  la très forte progression de son chiffre d'affaire (c'est la banque de la Société générale qui délivre les prix).

 

Henri Lamandé est certainement sur la photo ci-dessous, mais où ?

Photo accompagnant l'article10 décembre 1981 Ouest-France



En 1992, la société Lamandé est autorisée à exploiter un atelier de cassage industriel d'oeufs à Trégueux. Une autre société prend en charge l'enlèvement des coquilles, dirigées vers une entreprise d'amendements calcaires.

Henri Lamandé continue d'habiter rue du Pré-Chesnay jusqu'en 1995 où la maison est vendue.

 

 

Recensement militaire. Archives départementales


 

 

Le saviez-vous ?

 

La société Lamandé s'inscrit dans une longue tradition de maisons spécialisées dans la vente en gros de beurre et oeufs, comme la maison Joulaud. (ci-dessous facture de 1891)


1891. Facture Joulaud. Dossier 3 L 133 Archives municipales
 

 

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Si vous avez des éléments pour compléter cet article  (photos, témoignages...) merci d'utiliser le formulaire de contact en haut à droite...
 
 


 

Sources


Articles de Ouest-France : 23 juin 1954, 5 mars 1958, 13 juin 1958, 6 août 1958,14 juin 1971, 18 octobre 1974, 1er décembre 1992

 

Entretien avec Mme Quinio, habitante de la rue du Pré-Chesnay. Juin 2021

 

Site Généanet, fiche sur Théophile Lamandé établie par Patrick Thomas, cliquer ici

 

Recensement militaire 1214, vue 360, année 1913. Archives départementales. Cliquer ici   ou sur Génarmor en cliquant ici

 

 

 

L'histoire du quartier de Robien à Saint-Brieuc. Sommaire

Le quartier de Robien à Saint-Brieuc s’est vraiment peuplé il n’y a pas plus d’un siècle, mais son histoire présente de multiples intérêts...