dimanche 25 décembre 2022

La société Revimex, 24 boulevard Carnot à Saint-Brieuc. 1972-1979

 

 

La société Revimex est un négociant et distributeur en matériel électrique industriel, électroménager, radio, télévision. Elle s'était installée dans le quartier de Robien, à Saint-Brieuc, en 1972, à l'emplacement qui est de nos jours le 24 boulevard Carnot.

24 boulevard Carnot à Saint-Brieuc

La société Revimex est une filiale de la CDME (Compagnie de Distribution de Matériel Électrique). Elle a été fondée en 1948 à Nantes où on trouvait son siège social. En 1974, Revimex compte 12 agences implantées dans l'Ouest et le Centre de la France.

Publicité Revimex 1972 Ouest-France

 

 

L'incendie de Revimex en 1979


1979 Incendie de Revimex, 24 boulevard Carnot. Archives des Pompiers
 

L'entreprise Revimex avait été immatriculée le 27 juin 1967 et officiellement radiée le 16 mai 2001. Ce négociant en matériel électrique industriel et électroménager aura eu une courte existence dans le quartier de Robien.

En effet, un violent incendie s'est produit en février 1979 dans les locaux de l'entreprise, située au 24 boulevard Carnot. Les pompiers de Saint-Brieuc en ont conservé une photo dans leurs archives.


Le 20 février 1979, Ouest-France a publié un long compte-rendu de ce sinistre avec plusieurs photos car les fumées étaient impressionnantes et elles étaient bien visibles de différents endroits de Saint-Brieuc. 

 

De nombreuses personnes observent la scène dans le boulevard Carnot.

L'immense colonne de fumée dans le boulevard Carnot


La grande échelle des pompiers.

 

La suite de Revimex 

Suite à l'incendie les bâtiments ont été réhabilités et une charpente anti-incendie a remplacé l'ancienne qui avait été détruite. Révimex s'appelle maintenant Rexel et est installé rue Chaptal.

En 2008. Image Google

En 2022 Image Google

 

Si vous avez d'autres renseignements sur l'entreprise Revimex, merci d'utiliser le formulaire de contact. 

 

 

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Sources  

Ouest-France 20 février 1979

Livre souvenir "Histoire du corps des Sapeurs-pompiers de Saint-Brieuc. 1719-2000. Christophe Lucas". Merci à  Lucien Morin pour avoir transmis ces informations et à Christophe Lucas pour l'autorisation de publier la photo.



 

mardi 13 décembre 2022

L’histoire de la Rue Eugène Lemoine à Saint-Brieuc

 


Rue Eugène Lemoine à St Brieuc. Photo RF 2020

 

La rue Eugène Lemoine est une petite voie perpendiculaire à la rue Luzel dans le quartier de Robien à Saint-Brieuc, desservant 17 logements dans le cadre d'un ensemble de logements sociaux, dont l'accès se situe au niveau des numéros 43 et 45. Le projet a été mené par Terre et Baie Habitat. 

On peut l'emprunter pour rejoindre à pied le bas du tertre Marie-Dondaine.


 

Résidence Eugène Lemoine. Photo RF 2020

 

La dénomination "Rue Eugène Lemoine" est issue d’une délibération du Conseil municipal en date du 26 octobre 2010.

 

Dossier du Conseil municipal de Saint-Brieuc. Document Léon Le Mée.


Sur la plaque, on peut lire : Rue Eugène Lemoine (né en 1920 à Saint-Brieuc-mort en déportation en 1945) Président fédéral de la Jeunesse Ouvrière Chrétienne

Plaque de la rue Eugène Lemoine. Photo RF



Qui était Eugène Lemoine ?

 

Eugène Lemoine. Photo diocèse St Brieuc

Eugène Lemoine est né le 6 janvier 1920  à Saint-Brieuc, fils de Léon Lemoine et de Marie Din.
Eugène est un ancien élève de l'école Saint-Charles à Saint-Brieuc.
Il travaille comme menuisier rue du Port à Saint-Brieuc (22)  et rejoint la Jeunesse Ouvrière Chrétienne (J.O.C.) dès 1934. Il y prend des responsabilités et en 1942, il devient dirigeant fédéral des Côtes-du-Nord de la J.O.C. 

C'est un dirigeant exigeant, ainsi va-t-il déclarer le 7 février 1943 lors d'une journée de formation de responsables d'équipe : "Mes camarades, je vous demande de bien vous souvenir que vous êtes ici, non pas comme de quelconques figurants de réunions publiques mais bien en tant qu'authentiques représentants des jeunes ouvriers de nos territoires. Il est d'une importance capitale que les consignes données soient exécutées fidèlement et dans les délais demandés.

La J.O.C n'est pas un mouvement de petits garçons, et je vous le dit tout net, le Comité Fédéral n'est pas disposé à laisser péricliter les sections , du fait de dirigeants  paresseux ou insouciants"

Eugène Lemoine fait équipe avec Armand Vallée, l’aumônier fondateur de la C.F.T.C du diocèse, qui sera arrêté, interné à Fresnes et mourra en mars 45 à Mauthausen.

 

Eugène Lemoine en Allemagne

Le 15 mars 1943, Eugène Lemoine part de Saint-Brieuc pour le Service du Travail Obligatoire (S.T.O) et il est envoyé à Wittenberg en Allemagne. Il a choisi de partir avec ses camarades de la J.O.C pour les soutenir, alors qu’il n‘y était pas obligé étant soutien de famille depuis le décès de son père. Il travaille dans une petite usine pour l'aviation mais son but est surtout  que ses camarades conservent leur foi chrétienne. Pour cela il organise des moments clandestins de prière. 

 « C’était lui qui nous soudait », raconte L. Le Gall, membre de son groupe en Allemagne. Il effectuait aussi de fréquents déplacements le dimanche pour garder des liens avec les groupes catholiques des autres régions : Halle, Leipzig, Dresde…

Il est arrêté une première fois le 18 septembre 1943 par la Gestapo, emprisonné puis relâché. Le 3 décembre 1943, les autorités nazies décident d'interdire l'action catholique de France et donc la J.O.C. Il est arrêté le 30 septembre 1944 à l'usine, emmené au siège de la Gestapo mais n'est pas interrogé. Il est incarcéré à la prison de Wittenberg (Allemagne) puis transféré dans une autre prison.

On le libère le 25 octobre 1944 mais c’est pour lui tendre un piège car il a aidé un prisonnier à se cacher. La Gestapo suit Eugène Lemoine qui, à peine libéré, apporte du ravitaillement à son camarade Normand. Eugène Lemoine est arrêté le 12 ou le 13 novembre 1944, ramené à la prison de Halle en Allemagne et  déporté le 20 ou le 21 novembre 1944 au camp disciplinaire de Zöschen à Leuna (Allemagne). Son acte de décès est dressé le 4 avril 1946 par le Ministère des Anciens Combattants (dossier n°?, registre n°ECD2, acte n°205). Il fait partie des 50 "martyrs de l'apostolat" en Allemagne nazie.

 

 

Eugène Lemoine dans la mémoire collective

 

Un dossier de béatification individuelle est à l'étude au Vatican.

Une plaque commémorative honore sa mémoire sur la tombe familiale du cimetière de l'ouest à Saint-Brieuc (22)

Un livre a été écrit sur son histoire Eugène Lemoine 1920-1945, par Pierre de Couëssin. Editions François-Xavier de Guibert.

Un nom de rue lui a été donné dans le quartier de Robien à Saint-Brieuc.

 

Eugène Lemoine

 

Pierre de Couëssin parle d'Eugène Lemoine

 

Un article de Ouest-France du 31 octobre 2013 écrit par Marie-Claudine Chaupitre qui a interrogé Pierre de Couëssin au moment de la sortie de son livre.

 

Ce Briochin vous est peut-être inconnu. Pourtant Eugène Lemoine (1920-1945), très actif militant de la Jeunesse ouvrière chrétienne (Joc), fit preuve d'un grand courage et mourut de son engagement, alors qu'il était enrôlé au Service du travail obligatoire (STO), au camp de Zöschen, en Allemagne, en 1945. C'est cette foi inébranlable et cet héroïsme que le diocèse de Saint-Brieuc veut faire reconnaître en demandant à Rome sa béatification.

Le père Pierre de Couëssin connaît bien le jeune martyr. L'actuel recteur du sanctuaire Notre-Dame de Toute Aide à Querrien, qui fut lui-même aumônier national de la J.O.C, a été chargé dès 1988 par Mgr Kervennic, évêque de l'époque, de préparer le dossier d'Eugène Lemoine en vue de sa béatification. Pendant des années il a collecté des informations, rencontré des proches. Il en a rédigé un livre « Eugène Lemoine, Jociste mort à Zöschen ».

 

« Il a donné sa vie pour sa foi »

Quant au dossier de béatification, il attend au Vatican parmi d'autres : « Le Rennais Marcel Callo a été béatifié, explique le père de Couëssin. 51 autres jeunes martyrs attendent à leur tour cette béatification. Le dossier n'avance pas aussi vite que nous le souhaiterions. Je souhaiterais que mon Église, que j'aime, honore ses anonymes et mette en valeur cet homme. »

Pourtant, à ses yeux, le jeune menuisier de Saint-Brieuc « a donné sa vie pour sa foi ». Tout jeune militant jociste au côté de l'abbé Vallée, Eugène Lemoine ne recule pas devant le STO qui envoie 200 jeunes Briochins vers l'Allemagne le 15 mars 1943. Soutien de famille depuis le décès de son père, il aurait pu demander une dérogation. Il préfère soutenir ses camarades en Allemagne.

Sur place, il écrit un journal de bord où il témoigne de sa foi profonde. Ses camarades ont aussi parlé pour lui. Comme Joseph Letournel : « En Allemagne, on se donnait rendez-vous en forêt. Eugène Lemoine animait la prière puis on repartait en petits groupes pour ne pas attirer l'attention. Il est mort pour sa foi au Christ. Son apostolat lui a valu son arrestation et sa mort. »

Les Nazis jugent suspects et rebelles ces jeunes qui refusent d'enlever leurs insignes de la JOC. Eugène est arrêté à deux reprises. La deuxième arrestation lui sera fatale. Eugène Lemoine est mort à 25 ans, « dans une infirmerie, un endroit effroyable qu'ils appelaient « reviers », raconte Pierre de Couëssin. D'autres jeunes qui l'ont croisé ont témoigné qu'il était à bout de souffle. » Dysenterie. Absence de soins. Agonie solitaire. D'après les archives allemandes, Eugène Lemoine est mort le 8 février 1945.

 


 

Extrait de son journal personnel. 1943 (dans le livre Eugène Lemoine 1920-1945, par Pierre de Couëssin).

Après la lecture de "Quand les sirènes se taisent", un livre de Maxence Van der Meersch, le 11 septembre 1943, Eugène Lemoine note dans son journal personnel : 


"C'est ainsi que l'humanité monte vers son destin. Égoïste, bornée, cruelle, elle reste capable encore de rédemption puisque des êtres, en elle, savent souffrir pour un idéal, aimer la femme et l'enfant jusqu'à l'oubli d'eux-mêmes et vaincre au fond de leur cœur la haine pour faire le bien, sans espoir de récompense..."

 


 
 
  
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Si vous avez des commentaires ou des renseignements sur Eugène Lemoine, merci d'utiliser le formulaire de contact en haut de page 

 

 

Merci à Léon Le Mée, ancien président du Comité d'Animation de Robien de 1995 à 1997, membre actif de la paroisse de Robien dans les années 90 et après.

 

 

 

Sources 

La biographie d'Eugène Lemoine dans cet article est directement inspirée de la fiche qui lui est consacrée sur le site MémorialGenWeb. Pour retrouver cette fiche, cliquer ici

D'autres renseignements viennent de la fiche établie sur le site Les Amis de la Fondation de la Résistance. Pour retrouver cette fiche, cliquer ici

Article de Ouest-France du 31 octobre 2013

Pour retrouver la liste complète des 50 martyrs de la résistance spirituelle (laïcs, séminaristes et prêtres), cliquer ici

Eugène Lemoine 1920-1945, par Pierre de Couëssin. Éditions François-Xavier de Guibert. Les paroles d'Eugène Lemoine du 7 février 1943 sont extraites des pages 28 et 29 de ce livre.


 

Autres articles à lire 

Les associations religieuses de la paroisse de Robien (dont la J.O.C), cliquer ici



 

 

 


vendredi 25 novembre 2022

L’histoire de la rue Ferdinand Buisson dans le quartier de Robien à Saint-Brieuc

  

 

En 1931, Emmanuel et Lucie Chuberre ont vécu la naissance de la rue Ferdinand Buisson dans le quartier de Robien.

Emmanuel Chuberre était opérateur, successivement  dans  les cinémas Le Familia, Le Royal, Les Promenades. 

 

Lucie et Emmanuel Chuberre le jour de leurs noces de Palissandre en 1992


 
En 1945, M. Chuberre a travaillé pendant un temps chez lui comme artisan bobineur.
 
En 1958, le couple ouvrira un magasin de télé-radio, rue de la gare. 
 
Annonce dans Ouest-France 5 mai 1961


11 janvier 1960 Ouest-France

 

Laissons la parole à ces deux habitants des premiers jours de la rue Ferdinand Buisson et de cette partie du quartier de Robien :

« Lorsque nous sommes arrivés sur le quartier en 1931, il n’y avait que des champs avec des pommiers, pas de chemins bien tracés. Notre maison a été l’une des premières construites dans la rue.
Puis très vite, des terrains ont été achetés et des constructions sont apparues.
A cette époque, en été, les habitants se réunissaient dehors et partaient en promenade visiter les maisons en construction ; une dizaine de personnes, parfois davantage…
Le quartier a pris peu à peu ses formes actuelles : les habitants ont appris à se connaître et on peut dire qu’il y régnait une ambiance de village. Les commerces, nombreux, étaient un lieu de rencontre privilégié, créant ainsi un dynamisme important entre les habitants.

Puis l’arrivée de la télévision a tout bouleversé : les gens sont restés plus renfermés chez eux, les mentalités ont changé. »

 

Pourtant cette télévision posée sur le rebord de leur fenêtre attirait au début les habitants émerveillés devant cette image venant de si loin. Ils se souviennent que le jour du mariage de la reine d’Angleterre, leur salle à manger était pleine de monde…

 

La maison de la famille Chuberre, rue Ferdinand Buisson

 

La même maison de nos jours.

 

 

Une rue du lotissement Weill

 

La rue Ferdinand Buisson, et celles autour, se situent dans le cadre du Lotissement Weill, dont le projet est présenté au Conseil municipal en 1927. C’est le véritable commencement de l’urbanisation du cœur de Robien. Il est constitué par un immense quadrilatère, bordé au sud par le ruisseau du Gouédic, à l’ouest par la rue Jean Jaurès, à l’est par la rue Anne de Bretagne, et traversé en son milieu par la rue du Pont Chapet. L’ensemble est morcelé en 188 lots.

Le 19 février 1927, le Conseil municipal se saisit de la demande Monsieur Jules Weill qui projette donc de faire un lotissement de 7 hectares à Robien. Le Conseil fait quelques remarques :  

 

« Il y a lieu de ménager une place dans la partie basse de l’ancienne avenue de Robien, les arbres étant conservés… La rue de Robien prolongée ira jusqu’à la rue Jules Ferry…

La rue partant du square devra se raccorder à la rue Jules Ferry. Lorsque la Ville aura installé un collecteur d’eau, le lotisseur devra installer à ses frais des égouts dans toutes les voies du lotissement ».


La question des égouts posant problème, le Conseil remet à plus tard la décision d’imposer cette contrainte  à M. Weill.
La suite se passe le 19 mars 1927 et un accord est trouvé selon lequel le lotisseur prendra l’engagement de construire des égouts dans les voies du lotissement, si la Ville construit un collecteur dans les trois ou quatre ans.


Le temps que les travaux soient finis, le nom de la rue Ferdinand Buisson est donné officiellement par une délibération du Conseil municipal du 22 juillet 1932. Ferdinand Buisson est à cette époque une personnalité très connue et appréciée de tous les défenseurs de l'enseignement public. Il conçut les programmes qui suivirent les lois de Jules Ferry. Et d'ailleurs, la rue Ferry n'est pas loin, comme la rue Jean Macé, fondateur de la Ligue de l'enseignement. 

 

Ferdinand Buisson. Photo du site de l'Assemblée Nationale.

 

Beaucoup d’autres rues proches sont également nommées en 1932 dans le cadre de l’extension du quartier de Robien : Rue Anne de Bretagne, Rue Jeanne d’Arc, rue Denis Papin, Rue Aristide Briand, Rue Condorcet, Boulevard Paul Doumer, Rue Louis Hélary, Rue Jean Jaurès, Rue de la Paix, Rue Denis Papin, Rue Albert Thomas, Rue Emile Zola.

 

Le plan ci-dessous daté de 1935 montre bien par exemple que, dans les rues Aristide Briand ou Ferdinand Buisson, tous les terrains ne sont pas construits...

 

Plan 1935, densité de la population. Archives municipales 5Fi188

 

 

Vue aérienne de la rue Ferdinand Buisson et de ses alentours. Image Google

 

 

 

Les premiers habitants de la rue Ferdinand Buisson 

 

Dans le recensement de 1936, on trouve la liste des premiers habitants de la rue Ferdinand Buisson :

 

Côté impair

Au 3, famille Mathurin Jamet

Au 5, famille Morin, veuve Marie

Au 7, famille François Hamon

Au 9, famille Emmanuel Chuberre (né en 1904 à Noyal), Lucie son épouse (née en 1907 à Yffendic), Madeleine (née en 1928 à St Brieuc) et Jeanine (née en 1934 à St Brieuc)

Au 11, familles Yves Jégo, Arsène Léauté, Francis Bérel

Au 13, famille Louis Le Pape

Au 15, famille Eugène Gabriel

 

Côté pair

Au 4, famille Jean Guillerm

Au 8, famille François Le Tressoler

Au 10, famille François Gouézigou

Au 12, famille Lucien Minec 

 

 

M et Mme Chuberre ont fait l'objet d'articles à plusieurs reprises 

 

Noces d'Or de M et Mme Chuberre, 14 février 1977 Ouest-France

 

 

Noces de Diamant Chuberre, 60 ans de mariage. Ouest-France 16 février 1987

 

 

Noces de Palissandre, 65 ans de mariage. Article Ouest-France 17 février 1992



 

 
 
Des curiosités de la rue Ferdinand Buisson 


 


En flânant, vous trouverez de jolis exemples d'Art déco comme au numéro 6

 

 

 Le saviez-vous ?

 

La rue Ferdinand Buisson fait 170 mètres de long !

 


 

 Paroles d'habitants


 

"En cas de panne de télé, on appelait Monsieur Chuberre. Je me rappelle très bien ; et le soir on regardait "la Piste aux étoiles" réjouis ! "

Guylaine Quéméner


 

 

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Si vous avez des commentaires ou des renseignements sur l'histoire de la rue Ferdinand Buisson et de la famille Chuberre, merci d'utiliser le formulaire de contact en haut de page.

 

 

Lucie et Emmanuel Chuberre

 
Mariage. Lucie et Emmanuel Chuberre

 


 
 
 
A retrouver sur ce blog
 
L'histoire du cinéma à St Brieuc (avec M. Chuberre), cliquer ici
 
 
 
Sources

 

Délibérations du Conseil municipal. Le 19 février 1927, 19 mars 1927 (vue 257), 22 juillet 1932. Documents en ligne sur le site des Archives municipales

 

Journal du Comité d’Animation de Robien. Archives. Mars 1991

 

Articles de Ouest-France, 14 février 1977, 16 février 1987, 17 février 1992

 

Plan 1935, densité de la population. Archives municipales 5Fi188 

 

Recensement de 1936, Vues 154-155. Archives départementales

 

 

 

Rue Ferdinand Buisson

 

 

 

L'histoire du quartier de Robien à Saint-Brieuc. Sommaire

Le quartier de Robien à Saint-Brieuc s’est vraiment peuplé il n’y a pas plus d’un siècle, mais son histoire présente de multiples intérêts ...