mercredi 19 octobre 2022

Etablissements Sébert, 3 rue Robespierre à Saint-Brieuc. 1985-1993

 

L'entreprise Établissements Sébert a été créée le 1er octobre 1985. Elle était située au 3 rue Robespierre à Saint-Brieuc. Son activité résidait dans l’emballage et le conditionnement : sacs papier et plastique, impression, papiers, cadeaux.

Ets Sébert Annonce Ouest-France 13 décembre 1985
  

Fait curieux, cette entreprise fait écho à celle de Léon Sébert qui travaillait aussi dans le domaine des sacs en papier mais...dans les années 1940 !

Facture 1940. Archives municipales

 

Le 14 octobre 1993, les établissements Sébert ont conclu un projet de fusion par absorption avec la société SKS Emballages dont le siège est à Brest. L’entreprise a cessé officiellement ses activités à Saint-Brieuc le 25 décembre 1993.

 

Quelques mois plus tard, en février 1994, les pompiers ont été appelés vers 7 heures du matin pour un feu qui s’était déclaré dans l’entrepôt désaffecté des établissements Sébert. D’après le compte-rendu de Ouest-France du 25 février 1994, « il s’agissait d’un feu de détritus, probablement allumé dans la nuit par des squatters. » Le sinistre a eu le temps d’atteindre la toiture qui a été détruite sur une vingtaine de mètres. Les secours ont rapidement circonscrit le sinistre à l’aide d’une petite lance.

 

 

Le saviez-vous ?

 

Le nom de la famille Sébert est associé au monde économique sur Saint-Brieuc. Ainsi, on trouve Léon Sébert, négociant en bois dans le quartier de Robien, au début du XXe siècle.

On a aussi Jacques Sébert, directeur des Établissements Sauer, 3 rue du 71e RI, dans les années 60.

Et enfin, les Établissements Sébert, rue Robespierre, dans les années 80-90



 

A lire dans le blog de l'histoire de Robien: 

 

Léon Sébert, négociant en bois rue Jules Ferry, cliquer ici

 
 
Si vous avez des éléments pour compléter cet article  (photos, témoignages...) merci d'utiliser le formulaire de contact en haut à droite...
 
 
 
Retour au sommaire ici



Sources

Recherches dans les archives de Ouest-France


Site Généanet, fiche sur Léon Sébert et ses descendants, cliquer ici

 

Annuaire des sociétés

 

 

 


mardi 18 octobre 2022

Société Anonyme Coopérative Ouvrière, Travaux Publics et de Bâtiment, 21 boulevard Carnot à Saint-Brieuc. 1937

 

Société Anonyme Coopérative Ouvrière. Facture 1937. Archives municipales


La Société Anonyme Coopérative Ouvrière était une entreprise générale de Travaux Publics et de Bâtiment. Son bureau et ses ateliers étaient situés au 21 boulevard Carnot, à proximité de la gare de marchandise, dans le quartier de Robien à Saint-Brieuc.

Elle pouvait réaliser tous les travaux de maçonnerie, plomberie, zinguerie, chauffage, menuiserie, charpente, couverture, peinture ou électricité.

L'agencement de magasins était également dans ses cordes. 

On sait peu de choses sur les activités de cette entreprise. La facture de 1937, conservée aux Archives municipales indique simplement que les travaux effectués pour la Mairie concernaient les pilastres (piliers) de l’École Guébriant qui devaient être remontés. Dix-huit heures de main d'oeuvre ont été facturées ainsi qu'un sac de ciment et un sac de sable de rivière.

Le nom de "Coopérative ouvrière" est peut-être révélateur d'une expérience menée par des ouvriers dans la vague du Front Populaire de 1936 ?

 

Sur la photo aérienne ci-dessous, datée de 1972, on note la proximité de l'école Carnot et Guébriant (à gauche) et du bâtiment au fond du terrain où se trouvait la coopérative ouvrière.


 

L'annonce ci-dessous a été publiée en 1937 dans Le Combat Social, organe de la Fédération socialiste des Côtes-du-Nord.

Annonce 4 décembre 1937. Le Combat Social

 

On peut noter que la Coopérative La Briochine a occupé cette adresse du 21 boulevard Carnot dans les années 40, mais sans plus de précisions...

 

 

Le 21 boulevard Carnot de nos jours.


 
 
Si vous avez des éléments pour compléter cet article  (photos, témoignages...) merci d'utiliser le formulaire de contact en haut à droite...
 
 
 
Retour au sommaire ici



Sources

Recherches dans les archives de Ouest-Eclair

Le Combat social, Archives départementales. 

Factures des entreprises 3L 137, archives municipales


 



lundi 17 octobre 2022

Meubléco, fabrique de meubles, 34 rue Emile Zola à Saint-Brieuc. 1954-1964

Annonce Meubleco 2 avril 1954 Ouest-France


 

La petite fabrique de meubles de toilette de la Société Meubléco avait commencé ses activités en 1954 (immatriculation le 21 février 54).

Meubléco employait une douzaine de personnes au début des années 60 : deux hommes et dix femmes. La gérante était Mme Matz, le directeur de la société, M. Macé, (il habitait rue Gourien), la secrétaire était Mlle Annick Le Coq. L'entreprise était située au 34 rue Émile Zola.

En 1954, 1956 et 1957, on trouve des annonces de Meubléco dans Ouest-France pour faire de la publicité ou pour trouver du personnel.

1er Juin 1956 :  

Peintres demandés pour laquage et ponçage, bons salaires, primes de rendement. Écrire ou se présenter avec références. 

 

24 septembre 1957 :  

Recherchons menuisiers ou manœuvres, spécial pour montage meubles. Salaire et primes. 

 

L'entreprise Meubléco est également mentionnée dans la presse le 23 juin 1955 pour un accident ayant grièvement blessé M. Pierre Urvoy.
 

Accident Pierre Urvoy. Ouest-France

 

Le fin accidentelle de l'entreprise. 1964

Cette entreprise n'aura eu qu'une dizaine d'années d'existence car, malheureusement, la fabrique de meuble a été totalement détruite par un incendie en octobre 1964.

Il faut dire que l’année 1964 est marquée à Saint-Brieuc par quatorze grands feux, avec notamment un feu d’atelier de fabrication de meubles « Meubléco », situé entre trois dépôts de carburants. Il est éteint au moyen d’une grosse lance et de 2 petites.

L'édition du 13 octobre 1964 de Ouest-France nous livre le compte-rendu de ce sinistre.

 


SAINT-BRIEUC. — Hier matin, la petite fabrique de meubles de toilette de la Société Meubléco, 34, rue Émile Zola, à Saint-Brieuc, a été totalement détruite dons un incendie d'une rare violence


La gérante, Mme Matz, se trouvait chez le directeur de la société, M. Macé, rue Gourien, lorsque le sinistre éclata dans son bureau où passait le tuyau d’un poêle que la jeune secrétaire, Mlle Annick Le Coq, avait allumé quelques instants plus tôt.

Il semble que ce soit le réchauffement de la buse qui mit le feu à une cloison d'isorel laqué. L'incendie se propagea en quelques instants, si rapidement que le personnel n’eut pas le temps de téléphoner aux pompiers avant que les fils ne soient eux-mêmes brûlés.

Les soldats du feu furent appelés par une employée qui courut à un poste voisin, tandis que ses collègues affolées tentaient de noyer les flammes en jetant des seaux d’eau.

Le personnel d’un dépôt d’extincteurs voisin intervint à son tour, mais il était déjà trop tard. Les flammes se développaient à une grande hauteur, empanachées de fumée noire.

Les planchettes de bois, les panneaux stratifiés et des réservoirs de vernis et de peinture attisèrent encore le foyer. Il fut nécessaire de protéger des réservoirs de gas-oil appartenant à des sociétés pétrolières qui se trouvaient à une dizaine de mètres de là.

L’usine employait une douzaine de personnes : deux hommes et dix femmes. Elle a été totalement détruite".

 

 

La suite de l'entreprise 

L'entreprise semble avoir continué jusqu'en 1989, après s'être déplacée place Roberval dans la Zone Industrielle de Saint-Brieuc. Elle a été radiée le 5 octobre 1989.

 

 

Si vous avez des éléments pour compléter cet article  (photos, témoignages...) merci d'utiliser le formulaire de contact en haut à droite...
 
 
 
Retour au sommaire ici



Sources

Recherches dans les archives de Ouest-France

Site du Greffe du Tribunal de commerce, fiche ici.


 

 

Entreprise de peinture Louis Morvan, 15 rue Jean Jaurès à Saint-Brieuc. 1948-1961

 

 

Origine de l’entreprise Morvan

 

L'Entreprise de peinture Morvan était située au 15 rue Jean Jaurès

L’équipe de base est formée à partir de l’entreprise Hains avec Louis Morvan et des ouvriers (Le Duhault, Hennique, Muset) que l’on retrouvera plusieurs décennies plus tard.

Louis Morvan1966

Le 8 janvier 1948, Fernand Hains publie un avis par voie de presse où il « informe son aimable clientèle qu’il vient de céder son entreprise de peinture-Vitrerie et Décoration, et lui recommande de s’adresser pour tous ces travaux à son successeur M. Louis Morvan, 15 rue Jean Jaurès à Saint-Brieuc, qui lui donnera la plus grande satisfaction. Il restera cependant à sa disposition pour tout ce qui concerne gravures, encadrement, dorure et papiers peints à son magasin ».

 

 

Louis Morvan, un homme inscrit dans le monde social.

 

Louis Morvan, en plus d’être un professionnel réputé, est aussi un homme très dynamique. Il est membre du comité des Fêtes de Saint-Brieuc et très impliqué dans les animations du quartier de Robien. Ainsi déclare-t-il à Ouest-France le 26 mars 1957 à propos de la Mi-Carême : « Bien entendu, pas de fêtes briochines sans Robien. » Avec ses amis il a conçu un char sur le thème du moulin de la Galette entouré de Poulbots de la Butte, d’étudiants en goguette… Les musiciens de l’Harmonie des Bigophones de Rennes et M. Rabin avec son accordéon accompagneront le char.

Louis Morvan est impliqué dans la vie sociale comme juge au Tribunal de Commerce de Saint-Brieuc dès 1958 et jusqu’au moins en 1965. Il était membre honoraire de la Chambre de Commerce et d’Industrie des Côtes d’Armor.

Il est devenu également à une époque le Président de la Fédération Départementale du BTP 22.

M. Morvan était impliqué dans le syndicalisme du bâtiment, dans la commission de conciliation, dans l’organisation de la Foire Exposition.
Autant de responsabilités assumées au plan local, régional et national.

 

Ci-dessous, photo daté du 22 novembre 1972 de la commission de conciliation dans son travail avec les ouvriers des Kaolins de Plémet. Louis Morvan est tout à droite.

Photo Ouest-France

Après une vie bien remplie Louis Morvan est décédé en août 2007 à Saint-Brieuc (avis dans la presse le 10 août).


 

 

Une entreprise sérieuse

 

L. Morvan 6 août 1955 Ouest-France

 

Dans son entreprise de peinture on sait que Louis Morvan était entouré par des ouvriers fidèles. En 1958, plusieurs sont récompensés pour leur fidélité :

Mathurin Le Duhault, chef de chantier, médaille d’argent du travail 1958. Marié avec Jeanne Le Mineur en 1947.

René Hennique, chef de chantier, médaille d’argent du travail 1958

Georges Muset, peintre-décorateur, médaille d’argent du travail 1958

 

 

En 1961, Louis Morvan a fait évoluer son entreprise et il a créé Armor-Peinture.

 

 

 

 A lire : L'histoire de l'entreprise Armor-Peinture, cliquer ici

 

 

Bâtiment à l'arrière du 15 rue Jean Jaurès à Saint-Brieuc.

 
Si vous avez des éléments pour compléter cet article  (photos, témoignages...) merci d'utiliser le formulaire de contact en haut à droite...
 
 
 
Retour au sommaire ici



Sources

Recherches dans les archives de Ouest-France


Site Armor-Peinture, cliquer ici

Facebook Armor-Peinture, cliquer ici

samedi 15 octobre 2022

Entreprise de bâtiment, Henri Rideau, 12 rue Jules Ferry à Saint-Brieuc

 


 

Henri Rideau est né le 4 février 1899 à Bussière-Poitevine (Haute-Vienne). Son père est patron de son entreprise à Bussières où il exerce comme plâtrier.

Henri Rideau se marie le 28 avril 1925 avec Marie Ferré à Saint-Brieuc (où elle est née en 1904). Ils ont une fille, Jacqueline, née en 1928 à St Brieuc.

 

Habitants du 12 rue Jules Ferry à St Brieuc. Recensement 1936.

 

 

 

Localisation et fonctionnement de l'entreprise

 


L’entreprise de bâtiment Rideau était bien connue à St Brieuc depuis la fin des années 1920. Elle se situait au croisement de la rue Jules Ferry et du boulevard Hoche. Henri Rideau disposait d'une surface importante de stockage de matériaux et il possédait un atelier de menuiserie.

Henri Rideau se présentait aussi comme exploitant de carrières, spécialisé dans les travaux de pose de carrelage, céramique, éviers, cheminée en marbre.

 

Papier à en-tête sur une facture de 1937. Archives municipales


Dans le recensement de 1931, on remarque que plusieurs maçons de chez Rideau habitent juste à côté de l’entreprise, au numéro 10 (l’entreprise est au 12). Il s’agit d’Eugène Godard, Louis Michel et Pierre Bombard (originaire de la même commune qu’Henri Rideau). En 1936 on a Guillaume Pasquet, 72 rue Jules Ferry, manoeuvre chez Rideau.

1934. Papier à en-tête Henri Rideau. Dossier de travaux à l'Institut des sourds. Archives départementales.



Facture 1937.

   

Facture 1942. Dossier 3L142 Archives municipales.



En observant divers papiers à en-tête, on peut noter que l'entreprise Rideau possédait aussi un atelier de menuiserie.

Facture 1945 Archives municipales.

 

 

L'entreprise Rideau après guerre

 

Après-guerre, en 1945, l'entreprise Rideau est toujours domiciliée dans le quartier de Robien mais au 85 boulevard Hoche. 

D'autres entreprises reprennent ensuite les hangars et autres lieux de stockage des matériaux (Le Cornec, Laurent...).

 

Dans les années 50, on trouve encore des traces de l'entreprise Rideau mais Rue Ronsard à Saint-Brieuc. L'entreprise est enregistrée au greffe du tribunal le 25 décembre 1955 et radiée le 24 mai 1958. 

 

 

Témoignage

 

"Mon grand-père, Henri-Albert Garnier a travaillé dans l'entreprise Rideau jusqu'à sa retraite en 1952. Tout petits nous allions le voir travailler à travers les carreaux, boulevard Hoche.  L'entreprise donnait aussi sur l'ancien chemin d'Yffiniac qu'on appelait aussi à l'époque, chemin du Coucou".

                                                               Jean-François Garnier 

 

 


La fin de l'entreprise

 

Après avoir été abandonné pendant des années, le site de l'entreprise, autrefois occupé par M.Rideau, a été racheté pour construire en 1998 la résidence Les quartiers de Robien.

Un local commercial, occupé par une pharmacie, se situe au croisement de la rue Jules Ferry et du boulevard Hoche.

 

Résidence des Quartiers de Robien, rue Jules Ferry à St Brieuc. Photo RF


 

Henri  Rideau est mort le 14 mars 1976 à Angers, il avait 77 ans. Son épouse était décédée jeune, en 1938. 

A noter qu'Alice Pailler, une soeur d'Henri Rideau, est venue vivre à un moment  à Saint-Brieuc où elle est décédée le 4 décembre 1987.

 

 

 

Retour au sommaire ICI

 

 

Si vous avez des éléments pour compléter cet article  (photos, témoignages...) merci d'utiliser le formulaire de contact en haut à droite...
 
 

 

 

Sources

 

Recensements 1931 et 1936. Archives départementales.

 

Factures. Dossier 3 L 137. Archives municipales

 

Généanet, fiche établie par Françoise Papon sur Henri Rideau, cliquer ici 

 

Généanet, fiche sur  Alice Pailler (née Rideau), cliquer ici

 

Site du greffe du tribunal, site en ligne, ici

 

 

 

 

Les entreprises de matériaux et de construction dans le quartier de Robien.

Repères chronologiques.

 

 

Avant 1900

Briques et tuiles, Le Dû, boulevard Carnot

Carrière de granit, Le Bars, boulevard Carnot

 

 

1922 

Bois de construction : Sébert Léon, rue Jules Ferry ; A et H Laurent, rue Jules Ferry 

Briques et tuiles : Le Dû, boulevard Carnot

Cimentier : Zochetti Octave, 44 rue Jules Ferry 

Entreprise de bâtiment, Jean et Yves Laurent, boulevard Carnot (1924)

 

1932

Bois de construction et scierie, Chaux et ciment, Matériaux de construction : Laurent Louis, 14 rue Jules Ferry

Bois de construction, Robert Jean, 11 et 13 rue Luzel

Briques et tuiles, Le Dû, boulevard Carnot

Chaux et ciment, Matériaux de construction, Robert, boulevard Carnot

Cimentier, Entrepreneurs de bâtiment, Henri Rideau, 12 rue Jules Ferry

Cimentier, Zochetti Octave, 32 et 46 rue Jules Ferry

Entrepreneurs de bâtiment, Laurent, boulevard Hoche 

 

1934

Agglomérés, Chaux et ciment, Huet-Delafarge, 18 rue Jules Ferry

Agglomérés, Cimentier, Zocchetti, 32 rue Jules Ferry

Bois de constructionJean Robert , 11 et 13 rue Luzel ; Le Cornec, 14 Jules Ferry

Bois de construction, Matériaux de construction, Huet-Delafargue 18 rue Jules Ferry

Bois de construction, Scierie mécanique, Laurent frères, impasse Jules Ferry

Briques et tuiles, Le Dû, boulevard Carnot

Chaux et ciment, Matériaux de construction, Robert, boulevard Carnot

Cimentier, Entreprise générale de bâtiment, Henri Rideau, 12 rue Jules Ferry

Entreprise générale de bâtiment, Laurent, boulevard Hoche

Scierie mécanique, Hue, rue Jules Ferry

 

1938-1939

Matériaux de construction, Robert, boulevard Carnot

 

1940-1945

Cimentier, Entreprise générale de bâtiment, Henri Rideau, 12 rue Jules Ferry

 

1955

Bois de construction, négociant en bois, Jean Le Cornec , 40 rue Émile Zola

Bois de construction, E.Roy, bois, impasse Jules Ferry

Briques et tuiles, Matériaux de construction, Rivière-et-Letort, 5 rue abbé Garnier

Cimentier, fabrication d’agglomérés, Zochetti, 32 rue Jules Ferry

Couvreur, François Davy, 1 rue de Robien

Entreprise générale de bâtiment, Henri Rideau, boulevard Hoche

Entreprises générales de bâtiment : Société commerciale d’affrètement et de commission, charbon, bois, matériaux de construction, 12 boulevard Carnot ; Gélard François, rue de Tréfoix

Entreprise de travaux publics, Le Moullec, 36 rue Aristide Briand

Matériaux de construction : Gaudu, 18 Jules Ferry ; R.Hervé, 24 rue Jean Jaurès ; Le Cornec, 16 rue Jules Ferry

 

 

1973

Briques et tuiles, Rivière et Letort, Rue abbé Garnier

Couvreur, François Davy, 3 boulevard Carnot

Matériaux du bâtiment, Bolloré, 29 boulevard Carnot

Matériaux du bâtiment, matériaux, ciment, explosifs, Établissements Gaudu,  18 rue Jules Ferry

 

1980-1990

rien...

 

L'histoire du quartier de Robien à Saint-Brieuc. Sommaire

Le quartier de Robien à Saint-Brieuc s’est vraiment peuplé il n’y a pas plus d’un siècle, mais son histoire présente de multiples intérêts...