vendredi 20 janvier 2023

L'histoire de la maison de quartier de Robien à Saint-Brieuc. 1993


Maison de quartier à gauche et petite salle de Robien. Photo RF 2020
 

Pour savoir comment la maison de quartier est devenue ce qu’elle est, il faut tout d’abord remonter en 1931. C’est cette année-là que la municipalité du maire Octave Brilleaud décide de saisir une opportunité car "un vaste terrain encore en culture" allant de la rue abbé Garnier à l’Est, jusqu’à la rue de Robien à l’Ouest, va être mis en vente.

Pendant des décennies, cette place va devenir un lieu très commerçant pour les marchands ambulants, le Champ de Foire de la ville de Saint-Brieuc et le Marché de gros. Les cirques et la fête foraine y trouveront aussi leur place.

 

Photo aérienne de la Place Octave Brilleaud. Image Google
 

La construction d’une cuisine centrale. 1951

En 1951, la municipalité décide de mettre en place une cuisine centrale moderne à St Brieuc. L’équipement devra fournir 1500 repas par jour et remplacera la cuisine de l’époque installée dans l’école Berthelot. Un terrain le long de la rue abbé Garnier, en contre-bas de la Place du Champ-de-foire est désigné. Tout est opérationnel en 1954 et la Ville peut alors disposer d’une cuisine centrale sur deux niveaux. Le premier, au niveau de la place Octave Brilleaud, abrite la cuisine et le second, au niveau de la rue Abbé Garnier, héberge la réception et le départ des plats.

Les deux photos ci-dessous permettent de voir l'évolution de ce bâtiment rue abbé Garnier.
 

La partie de gauche est celle des garage des premiers bus de la Ville.



Sur la photo ci-dessous montrant l'intérieur de la cantine, on peut reconnaitre les fenêtres caractéristiques de l'actuelle maison de quartier.

Cuisine centrale. Photo Archives municipales 6Fi1509


La construction d’une salle des Fêtes. 1956

L'autre aménagement de ce secteur est décidé au début de l'année 1955, dans le cadre de l’aménagement de la Place Octave Brilleaud. Le conseil municipal, avec son maire M. Nicolas, prévoit la construction d’une grande salle couverte en 1955. L’actuelle grande salle de Robien sera d’abord appelée « La salle des Fêtes ».

 

La construction de la petite salle de Robien. 1958
La petite salle de Robien est construite aussi dans cette même période, en 1958, ainsi que les escaliers qui relient la place à la rue Abbé Garnier. 

Construction de la petite salle et des escaliers. Photo Archives municipales. 6Fi1630

Cette salle s'ajoute alors à celle de la Maison du Peuple et aux locaux des Ursulines.

La nouvelle salle municipale est longue de 37 mètres et large de 11 mètres. Elle est prévue pour être utilisée lors de réunions et conférences. A l'origine, la cloison coulissante a pour but de séparer la salle publique du réfectoire des agents municipaux.

Après les scolaires, cuisiniers et cuisinières préparent le repas du personnel municipal, dont la cantine se trouve à proximité, dans la petite salle de Robien.

En 1965, la cantine centrale quitte le quartier de Robien pour des locaux plus adaptés mais elle continue de servir de réserve.

 


Un Comité de quartier en quête de locaux  

Le Comité d’Animation de Robien (C.A.R), né en 1983, n’a pas trouvé son local définitif tout de suite. En avril 84, il s’est installé dans des locaux de l’ancienne école Carnot, occupée maintenant par Diwan.

Ensuite, à l'automne 1990, le C.A.R a tout d'abord occupé l'appartement situé au dessus de la petite salle de Robien. Ce n'était pas le plus pratique car l'accès se faisait obligatoirement par la rue Abbé Garnier, il y avait deux étages pour y accéder et le maximum de personnes pouvant s'y réunir était de 19.


 

La maison de quartier. 1993

Occuper un premier étage n'était pas idéal mais c’était un premier pas. Le reste du bâtiment finira par être aménagé, sur proposition du C.A.R, pour en faire une véritable maison de quartier en mai-juin 1993 après le déménagement définitif de tout ce qui restait de la cuisine centrale et des travaux commencés en janvier 1993.

L'inauguration officielle s'est déroulée le 16 octobre 1993 à 11H30 !

Sur les photos ci-dessous, on voit l'équipe municipale de Claude Saulnier, au centre avec les ciseaux, avec à sa droite Yves Dollo, en train de couper le ruban lors de l'inauguration. Au premier plan on a aussi Michel Courtas, le président du C.A.R.


 


 
Photo Journal du CAR, janvier 1994.

Voilà comment une partie de l’ancienne cuisine centrale est devenue la maison de quartier aujourd’hui.

 

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A lire en complément

L'histoire de la place Octave Brilleaud, cliquer ici 

L'histoire de la cuisine centrale, cliquer ici

 

Sources

Photo de la construction de la cantine centrale. Référence 6Fi3678. Archives municipales

Articles de Ouest-France et en particulier 4 juin 1999.

Archives du Journal du C.A.R (ici)


Journal du CAR 1990. Archive


 

 



lundi 9 janvier 2023

Maurice Reux, musicien, chanteur, chef d'orchestre d'harmonie à Saint-Brieuc (1884-1956)

 

 

La famille Reux était établie rue Jules Ferry dans le quartier de Robien au début des années 1900. 

Maurice Reux est le plus connu de la famille car, en dehors de son métier de camionneur puis de gérant de l'entreprise de transport Reux, il était très impliqué dans le milieu musical. 

Retraçons la très riche carrière de cet homme de culture.


Maurice Reux Photo 1949. Ouest-France

 

L'Estudiantina. 1906

 

En 1906, Maurice Reux va créer à Saint-Brieuc l’Estudiantina.  C’est une société qui regroupe des jeunes, garçons et filles, aux multiples talents artistiques. Ce groupe se produit régulièrement pour offrir des moments de loisirs et de détente au public de St Brieuc et des alentours.


Maurice Reux s’y révèle, comme on peut le lire dans un premier article de Ouest-Eclair daté du 10 avril 1908 :

« Maurice Reux a dévoilé un impeccable talent de chanteur dans le grand air du Trouvère de Verdi. Sa voix vibrante et sonore, tour à tour puissante et caressante, a conquis la sympathie de l’auditoire, qui ne lui a pas ménagé les applaudissements…Une charmante comédie « Valse assise », jouée par M. Reux et Mlle Marguerite Lelay, en actes consommés, a terminé gentiment le soirée. »

 

La presse locale dresse le parcours du jeune et talentueux Maurice Reux.  Après avoir commencé fort jeune l’étude de la musique, c’est à l’âge de 18 ans, alors qu’il s’est engagé volontairement dans l’armée, qu’il se fait remarquer dans son régiment :

« M. Reux, dont le caractère aimable et les facultés d’assimilation se prêtent à tous les rôles, devint le premier comique de la troupe du régiment, composée en majeure partie d’artistes de talent et occupant maintenant des situations marquantes dans le théâtre. M. Reux fit des études de chant sous la direction de M. Henri Pégasse, professeur au Conservatoire de Verviers, et fut applaudi à Vannes, à Quimperlé, Dinan, Morlaix etc.

D’une grande activité, on le vit créer et diriger l’Estudiantina avec une activité des plus remarquables, et conduire sa petite troupe à Jersey, où il remporta de brillants succès au concours international.

M. Reux à Jersey, obtint en effet le 2e prix du concours des solistes chanteurs ; à Rennes le 1er prix de chant dans la section des barytons, le 2e prix de chant au concours d’honneur etc.

M. Reux est un véritable artiste, d’une compréhension artistique élevée, très sympathique et toujours très applaudi. »


 

Maurice Reux, debout à droite de la photo. Bibliothèque municipale St Brieuc

 

La presse ne tarit pas d’éloges envers M. Reux comme après un concert donné en janvier 1909 : « Félicitons d’abord le distingué directeur de la société M. Reux, pour le zèle et le dévouement avec lequel il inculque, à ces jeunes artistes, l’art musical qu’il possède lui-même à un si haut point, se prodiguant sans relâche pour procurer à la classe populaire briochine de saines et agréables distractions ». (22 janvier 1909 Ouest-Eclair)

 

L’Estudiantina briochine se réunit deux fois par semaine à l’Hôtel de Ville pour ses répétitions. En 1909, elle recrute :

 « Les jeunes gens et jeunes filles qui désireraient en faire partie comme mandolinistes, guitaristes etc. sont priés de bien vouloir se présenter au directeur…Les amateurs de théâtre, demoiselles et jeunes gens, trouveront également place et bon accueil au sein de la section théâtrale de la société. » (Ouest-Eclair 13 octobre 1909). 

 

 


Une activité débordante


En plus d'avoir créé l'Estudiantina, Maurice Reux est le créateur de deux sociétés musicales : l’Harmonie St-Michel et l’Harmonie briochine.


C'est un homme qui veut apporter la musique dans tous les milieux. Ainsi, Maurice Reux apporte son concours à une fête de la Mutuelle des Cheminots au cinéma le Familia, boulevard Clémenceau le 30 juillet 1924. Dans la même soirée le public assiste à des films fournis par la Ligue Antituberculeuse, de petites pièces mimées comme « La première cigarette du collégien » et des morceaux chantés qu'il interprète.

Mais il va tout aussi bien se produire à l’église, avec la maîtrise de la paroisse Sainte-Anne-de-Robien comme pour la Fête de la Sainte-Anne en août 1924. Il chante à cette occasion le Pater Noster, O quam Suavis et Tantum de Duffuer, et l’Ave Maria de Franck.

En ce mois d'août 1924, il dirige également le concert donné en plein air avec 50 exécutants dans l’avenue de Robien.

  

En 1925, au challenge national de la Fédération Musicale de France qui se déroule à Caen, Maurice Reux reçoit le Premier prix pour la direction (Ouest-Eclair 13 août 1925).

En juillet 1927, à l’occasion de la course automobile de la Coupe Fleuriot « Sous les frondaisons des promenades garnies d’une multitude de lampes électriques et de lampions…un orchestre de 70 musiciens, sous la direction de M. Maurice Reux, entrainera toute la jeunesse dans de joyeuses farandoles ».


Maurice Reux concert. 17 juillet 1927 Ouest-Eclair


 

En février 1928, les membres de la société musicale se rendent à Robien devant la maison de Maurice Reux pour lui remettre la Médaille d'honneur des sociétés musicales. Ensuite, un vin d'honneur fut servi au restaurant Bougeard, 10 rue Jules Ferry.


Distinction Maurice Reux 29 février 1928 La Dépêche de Brest


Le dimanche 15 juillet 1928, l’Harmonie briochine emmenée par Maurice Reux participe à l’inauguration du monument élevé à la mémoire du chansonnier breton Théodore Botrel, sous la présidence de M. Charles Le Goffic. L’Harmonie briochine assure la partie musicale de la messe commémorative à 9h, Place du Martray elle donne un concert à 11h30, l’après-midi elle défile en ville avant de donner un ultime concert au Théâtre de verdure. (Ouest-Eclair 12 juillet 1928)


 

En juillet 1935, Maurice Reux est le Commissaire général du concours qui réunit des ensembles musicaux venus de tout l’Ouest, et aussi de la musique de la Garde Républicaine.

La ville est en effervescence !

« Les trains de l’État et des Côtes-du-Nord venant de toutes les directions sont arrivés bondés. Sur le Champ de Mars, les files d’autocars et de voitures particulières s’alignent à perte de vue. La ville a pris son aspect festival. » 

Le maire M. Octave Brilleaud salue la présence de Guy Ropartz, Paul Le Flem et Casadessus dont les œuvres ont été applaudies lors d’un grand concert. Les sociétés musicales défilent dans toute la ville et ensuite des milliers de personnes sont rassemblées dans le Parc de la Préfecture pour le grand concert en plein air. La Garde Républicaine est très applaudie le soir lors d’un ultime concert aux Promenades. (Ouest-Eclair 22 juillet 1935)

 

 


 

 

 

Les responsabilités régionales de Maurice Reux



La Guerre 39-45 rend impossible toutes les activités associatives habituelles, mais après-guerre, Maurice Reux devient le président de la Fédération Musicale de Bretagne, Maine et Anjou. A ce titre, en juin 1949, il préside à Saint-Nazaire un congrès où sont représentées une cinquantaine de sociétés musicales. Après avoir retracé le calvaire enduré par la ville de St Nazaire pendant la guerre, Maurice Reux constata que de nouvelles adhésions venaient renforcer la fédération, composée de 182 sociétés.

Maurice Reux multiplie les concerts au début des années 50.

 

En 1952, après quelques « querelles de pupitres », une réorganisation des sociétés musicales à St Brieuc permit à Maurice Reux de reprendre la tête de l’Harmonie Briochine tandis que M. Roman, professeur à l’Ecole de Musique,  dirigeait l’Harmonie Municipale.

 

 

 

Les obsèques de Maurice Reux 1956

 


Le 8 octobre 1956, Ouest-France fait le compte-rendu des obsèques de Maurice Reux, célébrées en l’église paroissiale de Robien au milieu d’une très grande affluence et de personnalités très nombreuses du monde politique, éducatif, associatif et musical, parfois venus de toute la France. A ce titre, M. Collard, vice-président, prit la parole au nom de la Confédération Musicale de France. Il rappela le souvenir du musicien que fut Maurice Reux et de « l’excellent ami qu’était le briochin aux grands cheveux et au grand chapeau d’artiste, comme on disait familièrement dans les réunions des milieux musicaux à Paris et à Angers. » Il ajouta que Maurice Reux « aimait ses élèves et ses anciens élèves ; il aimait la musique pour laquelle il avait sacrifié tous ses loisirs et ses dimanches ».

 

Ainsi se termine l'évocation de cette grande figure de la vie associative et culturelle de Saint-Brieuc dont la tombe au cimetière St Michel, surmontée d'une lyre, nous rappelle à tout jamais son amour de la musique.

 

Maurice Reux (tout en bas du cimetière St Michel sur la droite). Photo RF 2022

 

 

 

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Sources 

 

Articles de presse Ouest-Eclair et Ouest-France

 

Archives municipales, factures et annuaires

 

Archives départementales, recensement 1906. Reux, entrepreneur vue 86.

Site Généarmor, registre matricule, situation militaire de Maurice Reux, classe 1904, ici

 

L'Estudiantine briochine. Site Cartolis, base de données du Musée de la carte postale, pour la notice complète cliquer ici

  

 



L’évolution de la paroisse Sainte-Anne de Robien à Saint-Brieuc après 1945

 


Après-guerre, le curé Lemordan s’est également montré très impliqué dans le développement de la paroisse de Robien après un fort développement des œuvres sociales  mises en place par l’abbé Le Prévost. La paroisse de Robien est en plein essor, la population augmente.

 

Des transformations

L'augmentation de la population et la pratique religieuse très régulière dans le quartier de Robien font que l’église a du mal à faire face aux trop fortes demandes, pour les communions par exemple. Cela conduit les autorités ecclésiastiques à créer la paroisse de St Vincent, proche de la Croix St Lambert.

On note par exemple qu’en 1953, la demande pour les baptêmes est très importante puisqu’il y en a  86 dans l’année. Les décès sont au nombre de 37 et les mariages 33.

En octobre 1955, on revoit les limites de la paroisse de Robien pour tenir compte des paroisses de Saint-Pierre de Trégueux et de Sainte-Thérèse de Gouédic.

10 octobre 1955 Ouest-France


Dans les années 60, l’église bénéficie de travaux mais en 1997 vient le temps de la mise aux normes de l’électricité. Bonne occasion pour refaire aussi les peintures intérieures. Tous ces travaux de gros oeuvre sont confiés à des entreprises locales et des bénévoles se chargent des finitions et du nettoyage. L’église s’équipe aussi d’un orgue électronique fin 1996 moins imposant que l’ancien.

Toujours dans les années 60, on note que la fête Dieu ne se passe plus dans l’église mais dans la salle de la Vaillante avant de partir en procession. 

Les prêtres Alexis Colin (vicaire) et Jules Auffray (curé de Robien) se succèdent. Jules Auffray avait la particularité d’avoir eu une vocation tardive après avoir exercé comme serrurier dans la vie civile. Son talent dans le domaine rendit bien des services à la paroisse.

Dans les années 70 et 80, Jean Campion, qui exerce à la suite du curé Auffray, se souvient des célébrations dominicales à Robien et des temps forts de Noël où les veillées étaient très ouvertes, familiales et conviviales. Puis dans les années 90 et 2000, la vie de la paroisse évolue avec une plus grande place donnée à l’animation pastorale par les laïcs. Des partages bibliques se déroulent à Robien autour de la présence très appréciée de Georges Minois, un historien, professeur au Lycée Renan, et auteur de nombreux ouvrages.

Toujours dans ces années 1990 et 2000, l’église de Robien est le lieu où se déroulent beaucoup de cérémonies œcuméniques.

 

Semaine de l'Unité des chrétiens Ste Anne de Robien. Ouest-France 22 janvier 1996

Semaine de l'Unité des chrétiens Sainte-Anne de Robien. Ouest-France 23 janvier 1998

 

Semaine de l'unité des chrétiens Ste Anne de Robien. Ouest-France 21 janvier 1999

 

Semaine de l'unité des chrétiens Ste Anne de Robien. Ouest-France 28 janvier 2002



Aujourd’hui et demain...

La salle du patronage a été revendue, le presbytère aussi, la salle de la Vaillante n’est plus rattachée à la paroisse. Les temps ont changé... Pendant des années, une équipe de bénévoles a continué d’entretenir les lieux et d’accueillir tous ceux qui souhaitaient organiser des cérémonies catholiques. Dans des moments joyeux ou malheureux, c’était une manière de maintenir des liens importants dans le quartier.

En 2019, les célébrations ont quasiment cessé à l’église de Robien. Les cloches ont arrêté de sonner. Plus de baptêmes, de mariages, quelques rares cérémonies d’enterrement. Et puis plus rien...

En 2022 une réflexion collective a commencé sur le devenir de cette église. Quel pourrait être le projet novateur qui redonnerait vie à ce bâtiment : du culturel, de l'économique, du logement, une vie de paroisse ? Qui pourrait être le porteur de ce projet ?

La question n'est pas encore tranchée mais un bâtiment comme cette église ne peut pas rester fermé indéfiniment...

 

 

Sources


Journal paroissial « La famille chrétienne » de 1945 à 1962. Archives départementales, AP 647. AP 648

Blog sur l’histoire des protestants de Saint-Brieuc, article sur l’œcuménisme, cliquer ici

Entretiens téléphoniques avec l’abbé Le Prévost (93 ans) le 27 avril 2020, avec le père Jean Hamon et le père Jean Campion, en avril 2020.

Entretien avec Léon Le Mée, ancien président du CAR de 1995 à 1997 et membre actif de la paroisse de Robien dans les années 90 et après.

Entretien avec Jean-Pierre et Yolande Corouge. Mai 2020.

 

 

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