L'entreprise familiale CLG était spécialisée dans l'étude et la construction. Ses locaux étaient situés au 2 rue de Robien.
Le nom CLG vient des initiales de ses fondateurs Cassaigne-Le Glatin.
Dans les prestations de l'entreprise sur le site des
Pages jaunes, on pouvait lire : construction, agrandissement, extension
et rénovation de maison ; travaux de maçonnerie, de charpenterie, de
couverture, de menuiserie, d'assainissement, de terrassement...
Une entreprise familiale
L'entreprise GLG a été créée en 1986 par deux frères, Alain et Jean-Luc Cassaigne et Guy Le Glatin : "Ils venaient d'être de l'entreprise dans laquelle ils travaillaient à la suite d'un dépôt de bilan".(Ouest-France 23 mars 2010)
Jean-Luc Cassaigne a pris sa retraite en 2010 et Alain Cassaigne, un an plus tard en 2011. De 1996 à 2010, l'entreprise a embauché 24 salariés.
De gauche à droite on a Guy Le Glatin, Jean-Luc Cassaigne, Romuald Cassaigne, Sandrine Cassaigne, Alain Cassaigne. Photo Ouest-France 23 mars 2010. |
La succession s'est faite en douceur après le départ des deux frères. Sandrine Cassaigne, formée par son oncle et son père possédait déjà plus de 15 années d'ancienneté dans l'entreprise et était prête à prendre le relai avec son cousin Romuald Cassaigne, depuis plus de 5 ans dans l'entreprise et titulaire d'un DUT génie civil.
Des employés considérés
L’esprit familial de l’entreprise se manifeste lors des cérémonies organisées pour fêter le départ des salariés de CLG. En voici quelques exemples trouvés dans la presse locale.
En octobre 2013, Xavier Rouzes, métreur, premier embauché de l’entreprise le 26 octobre 1992, est félicité pour ses années chez CLG où il a très tôt apporté son savoir-faire dans le domaine des nouvelles technologies et du dessin assisté par ordinateur. Il reçoit la médaille d’argent du travail (article Ouest-France, édition du 8 octobre 2013).
Loïc Caro, 61 ans, fête son départ en retraite en mars 2016 après avoir commencé chez CLG en 2001 après avoir travaillé chez Costa pendant 28 ans. Chez CLG, il aura monté et posé 426 charpentes traditionnelles et formé de nombreux apprentis. Il reçoit une grande médaille d’or du travail (article Ouest-France, édition du 4 mars 2016).
En février 2017, Daniel Le Gal, menuisier, 61 ans, fête son départ en retraite après 43 ans dans l'entreprise. Il avait obtenu un CAP en juin 1973 et était rentré en août 1973 à la C.M.A.
Une entreprise ouverte sur le sport
Romuald Cassaigne a souvent aidé des équipes sportives du secteur de Saint-Brieuc en fournissant en particulier des maillots.
Les équipes Cléden-Poher et Landeleau soutenues par CLG. Romuald Cassaigne est à gauche. 17 septembre 2011 Le Télégramme
Ouest-France 29 mars 2014. Romuald Cassaigne à droite. |
Ouest-France 8 avril 2019 |
Évolution de l'entreprise
Un établissement secondaire se trouvait 2 rue Kléber à Saint-Brieuc du 1er juin1986 au 25 décembre 1996.
La signalétique de CLG visible dans la rue de Robien a changé au cours des années.
Bâtiments Techniques Bretons est la société adossée à CLG depuis 1988 et on voit le sigle BTB sur la façade de l'immeuble de l'entreprise.
En 2008 Image Google street |
En 2017 image Google street |
En 2023, image Google street |
Dans le quartier de Robien, l'entreprise possédait aussi une entrée professionnelle avec une enseigne sur le boulevard Carnot.
Entrée CLG boulevard Carnot. Photo RF |
CLG a cessé ses activités en 2023. Romuald Cassaigne était le patron au moment de la fermeture en 2023.
Sources
Archives de Ouest-France et du Télégramme
Pages jaunes
Annuaire des entreprises
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