L'apparition des
logements collectifs à Robien.
La disparition de nombreuses entreprises dans les années 90 a accéléré la
libération d’espaces qui ont été jugés propices à la construction d’immeubles
principalement le long des grands axes, à savoir le boulevard Hoche, le
boulevard Carnot et la rue Jules Ferry.
De grands immeubles accueillant de l’habitat collectif ont commencé à s’élever
dans le ciel de Robien. Le comité de quartier n’a cessé d’être très vigilant
par rapport à ces projets, n’hésitant pas à faire des remarques constructives
aux différentes équipes municipales. Le but a toujours
été de penser à une bonne intégration des immeubles dans le paysage urbain, le
bien-être des habitants étant aussi le souci qui doit prévaloir.
Depuis que Robien a obtenu la labellisation EcoQuartier, le critère "logement écologique" a été utilisé par des promoteurs
pour vendre des appartements. Mais les futurs acheteurs doivent rester attentifs à la réalité des choses...
Cette rétrospective des constructions collectives sur le quartier de Robien constitue un bel exemple de l'évolution des conceptions architecturales dans ce domaine.
On peut noter que plusieurs réalisations ont été récompensées pour leur qualité. Le fait de le savoir permet peut-être de remarquer ces belles réalisations dans l'espace urbain.
Rétrospective des projets de logements collectifs à Robien
1952-1953. Résidence du 50 rue Jean Jaurès
Cette résidence est construite à la place du Manoir de
Robien que l’on détruisit en décembre 1951. La résidence se situe dans un style
architectural moderne, elle fait 12 mètres de haut. Voilà comment Ouest-France, dans son édition du 12 décembre 1951 a présenté cette réalisation : "Il a donc fallu, pour satisfaire la clientèle, envisager la construction d’un deuxième immeuble sur de nouvelles bases. Celui-ci démarre actuellement. Il remplacera le vieux château de Robien, boulevard Jean Jaurès. Il comprendra trois types d’appartements : 2 appartements de 6 pièces et salle de bain ; 6 appartements de 5 pièces et salle de bain ; 3 appartements de 3 pièces et salle de bain. Pour tous les goûts, pour toutes les bourses".
Le 29 août 1952, Ouest-France publie une photo de l'avancée du chantier, avec la légende suivante : "L'immeuble de douze logements, forts bien conditionnés, sera vendu en appartements."
|
29 août 1952 Ouest-France
|
|
Immeuble 50 rue Jean Jaurès. St Brieuc. Photo RF
|
1964-1966 Résidence Vauban
L‘immeuble Vauban a été mis en construction en 1964 et a été livré en juin-juillet 1966.
|
Photo
de la rue du Coucou en mai-juin 1964 : à gauche la rue du Pré-Chesnay,
au fond la rue Luzel, au premier plan on a le champ où la Résidence
Vauban sera construite.
|
Cette résidence est située rue du Coucou. La construction est de l'entreprise Quémener (qui avait par exemple réalisé le passage sous-terrain entre le collège Le Braz et les Champs en 1972) et la commercialisation est assurée par M.Dahan.
|
L'immeuble Vauban juste après sa construction 1966. Photo famille Dhainaut
|
|
Résidence Vauban. St Brieuc. Photo RF |
1964, Résidence Chateaubriand, 71 rue Jules Ferry.
L'immeuble
d'habitation du 71 rue Jules Ferry a été conçu par l'architecte L.
Léon, le permis a été déposé le 10 avril 1964. Le maitre d'ouvrage était
Mme Roussel.
Louis Léon était professeur aux écoles des Beaux-arts de Rennes et de Paris UP5. Il est décédé à Paris le 5 octobre 1999.
|
Photo des années 90
|
Ce
bâtiment rectangulaire de 4 étages présente également un
rez-de-chaussée avec des cellules commerciales sur un axe très fréquenté
du quartier de Robien. La Caisse d'Epargne a longtemps occupé le
rez-de-chaussée. Une cabine téléphonique se trouvait à proximité.
L'aspect
de l'immeuble tranche sur le reste des maisons autour avec un jeu sur
les couleurs : les planchers figurent en marron sur un plan horizontal .
La façade conserve un aspect lisse et donne sur l'ouest tandis que les loggias sont situés au nord et au sud.
|
Photo des années 90
|
|
La résidence Chateaubriand 71 rue Jules Ferry. Photo RF 2021
|
|
La résidence avec son prolongement rue Jules Ferry. Photo Google Earth 2008
|
Sources
La
description et l'intérêt architectural doivent surtout à la fiche extraite de Saint-Brieuc,
de l’après-guerre à nos jours. Analyse du patrimoine architectural et
urbain. Réalisation de l’Ecole d’architecture de Bretagne. Janvier 1994. Fiche RE.4
1969, immeuble, 37 boulevard Hoche.
Cet immeuble
d'habitation de 4 étages, situé au 37 boulevard Hoche (parcelle 230), a été conçu par l'architecte L.
Léon, le permis a été déposé le 23 juillet 1969. Le maitre d'ouvrage était
Mme A. Bozonet.
Louis Léon était professeur aux écoles des Beaux-arts de Rennes et de Paris UP5. Il est décédé à Paris le 5 octobre 1999.
|
Image années 90. CAUE
|
L'immeuble repose sur un socle en moellons de granit. La façade sud est largement ouverte sur la rue Jean Jaurès avec des loggias. Les murs en béton sont peints en blanc et les garde-corps sont en verre teinté de bleu. Un percement vertical sur toute la hauteur de la façade dans le boulevard Hoche permet un éclairage du jour dans l'escalier qui mène aux différents étages.
|
En 2008. Image Google Earth
|
Sources
La
description et l'intérêt architectural doivent beaucoup à la fiche extraite de Saint-Brieuc,
de l’après-guerre à nos jours. Analyse du patrimoine architectural et
urbain. Réalisation de l’Ecole d’architecture de Bretagne. Janvier 1994. Fiche RE.6
1970 Résidence des Forges
Un projet de résidence a
failli voir le jour avant celui de la C.P.A.M, des plans sont déposés dès le mois de février 1970 par
l’architecte F. Gross-Quélen, installé 2 rue Chateaubriand à Saint-Brieuc. Il
s’agit d’un ensemble de 400 logements appelé « Résidence des
Forges », avec 165 places de parking au sol et 400 en sous-sol. Une école
maternelle est même prévue !
|
Projet de la Résidence des Forges. 1970. Archives départementales. |
|
Projet de la Résidence des Forges. 1970. Archives départementales. |
S’il avait été réalisé, ce
projet aurait occupé tout l’espace entre la rue Paul Le Flem et le boulevard
Vauban où se trouvent actuellement la C.P.A.M et la résidence Espace
composée des trois bâtiments, de 21 mètres
de haut, nommés Concorde, Comète et Mirage.
1970-1971. Résidence Espace
Les bâtiments A, B et C sont situés boulevard Hoche, à côté de la Caisse Primaire
d’Assurance Maladie, construite sur l’ancien site des Forges-et-Laminoirs. Les trois bâtiments sont nommés Concorde, Comète et Mirage.
La
hauteur des bâtiments est de 21 mètres.
|
Résidence Espace. St Brieuc. Photo RF |
|
1971 Construction avec au premier plan les Forges-et-Laminoirs. Archives 22
|
1970. Résidence du Parc, rue Abbé Garnier.
La conception de cet immeuble des années 70 s'inscrit dans le mouvement moderne.
|
Résidence du Parc, rue abbé Garnier. St Brieuc. Photo RF |
1970. Immeuble « Paquebot »
Cet immeuble se situe au 49 rue Jean Jaurès.
1977-1979. Résidence Carnot, 16, 18 et 20 boulevard Carnot
Un premier permis de construire est déposé le 27 août 1975
par la société Construction Moderne d’Armor située rue Chaptal à Saint-Brieuc
pour construire un immeuble de 36
logements boulevard Carnot. Un avis favorable est donné par la Ville de St
Brieuc avec, en particulier, une réserve : les bâtiments de la parcelle 276
doivent être démolis (il s'agit de la maison de M. Vaucouleur, l'ex patron des Forges-et-Laminoirs).
|
Plan 1977, localisation de la future Résidence boulevard Carnot
|
|
Il est aussi mentionné qu'une protection efficace contre le bruit devra être trouvée
car l’immeuble sera situé entre la voie de chemin de fer et le boulevard Carnot.
Des modifications sont apportées à 4 reprises, jusqu’en décembre 1977, par François
Gross-Quélen, architecte à Saint-Brieuc, 2 rue Chateaubriand. En fait, ce sont
39 logements qui seront mis à disposition de nouveaux habitants.
|
Plan, Résidence boulevard Carnot, archives municipales.
|
Le 20 mars 1979, les travaux sont officiellement terminés.
De nos jours les trois entrées de la résidence portent les
numéros 16, 18 et 20 boulevard Carnot.
Sources : Archives départementales, dossier 256 W 10
|
L'immeuble en construction boulevard Carnot,1978. Archives municipales
|
|
Résidence 16, 18 et 20 boulevard Carnot à Saint-Brieuc. Photo RF 2021.
|
|
1986. Résidence Abbé Garnier (bâtiments A, B et C)
La résidence abbé Garnier est construite sur le site de
l’ancienne briqueterie Le Dû en 1986.
|
Construction de la résidence abbé Garnier, chantier du côté Est. Photo Ouest-France
|
La façade ouest, du côté rue abbé Garnier, ayant vieilli, des travaux de réhabilitation ont eu lieu en 2020-2021.
|
La résidence abbé Garnier en 2008. Photo Google Earth
|
|
Résidence Abbé Garnier. St Brieuc. 2021 |
|
Bâtiment à l'arrière de la Résidence abbé Garnier. St Brieuc. Photo RF |
1986. Immeuble et agence du Crédit Agricole, 34 rue Jules Ferry
A l'occasion de l'inauguration de ses nouveaux locaux rue Jules Ferry, le Crédit Agricole a présenté à plus de 800 personnes le Projet de quartier.
|
34 rue Jules Ferry, photo RF 2021 |
|
1988. La Résidence Carnot
La résidence Carnot a été construite sur les terrains des anciens magasins et entrepôts Le Bigot et de la conserverie Porcher.
|
Résidence Carnot, entrée rue Jules Ferry. Photo RF
|
|
Résidence Carnot, entrée boulevard Carnot. St Brieuc. |
1994-1995. Le Foyer Soleil
Au début des années 90, le Foyer des Jeunes Travailleurs (FJT) se trouvait à l'étroit rue Waldeck Rousseau. Pour mieux répondre à la demande de logements, de lieux de travail et de réunion, l'association a décidé de construire un nouveau bâtiment au 9 rue de Robien, appelé " Foyer Soleil ".
|
Dessin publié le 12 janvier 1994. Ouest-France
|
Cet ensemble de 42 logements conçu par l'architecte Bruno Coycault se situe à 400 mètres d'un autre foyer : l'Igloo, rue Guébriant, dont le directeur est à cette époque Michel Gernion. Le Foyer Soleil peut d'ailleurs être considéré comme une extension de l'Igloo.
Un article complet sur l'Igloo, à retrouver dans ce blog en cliquant ici
|
Résidence Sillage. St Brieuc. Photo RF |
1998. Résidence Victoria
Les promoteurs ont commercialisé ce projet de la résidence Victoria à partir de 1998. Le projet englobe des logements et des locaux professionnels.
Un cabinet dentaire s'y est installé ainsi qu'une supérette.
|
Annonce dans Ouest-France 6 octobre 1998
|
|
Résidence Victoria, rue Jules Ferry à St Brieuc. Photo RF 2021
|
1998-99. Résidence Les quartiers de Robien
Située à l’angle du boulevard Hoche et de
la rue Jules Ferry, la Résidence des quartiers de Robien est un vaste ensemble avec deux entrées différentes pour les véhicules.
Un espace commercial avait été réservé et il a été occupé par la pharmacie qui se trouvait auparavant dans la rue Jules Ferry, juste en face, du côté impair.
|
Résidence Les quartiers de Robien, côté boulevard Hoche. Photo A. Bougeard |
|
Résidence Les quartiers de Robien, du côté rue Jules Ferry. St Brieuc. Photo RF |
|
Annonce dans Ouest-France. 10 juin 2001
|
2000. Le Clos Robien
Bruno
Coycault associé à J.F Colleu ont obtenu le Prix Architecture de
Bretagne en 2000 pour la résidence Le Clos Robien, un ensemble de 13 logements H.L.M construits au numéro 17 de la rue Jules Ferry à la place de l'ancien garage Lada.
|
Le Clos Robien, rue Jules Ferry. Photo RF
|
Le 23 juin 1999, les architectes expriment leurs intentions dans Ouest-France :
Pour
éviter l'effet barre, les architectes Bruno Coycault et Jean-François Colleu,
en charge du dossier, ont imaginé un immeuble réalisé en deux volumes d'habitat
avec deux façades bien distinctes, séparés par un porche supportant une
passerelle.
« Robien présente la particularité d'un parcellaire en lanières.
C'est-à-dire, étroit et tout en longueur. Nous devions respecter cette
cohérence urbaine. C'est la raison pour laquelle nous avons opté pour deux
entités architecturales. L'une créée dans l'alignement de l'existant avec une
façade lisse à fenêtres.
L'autre
avec un effet retrait accentué par des balcons » explique Jean-François Colleu.
Ouest-France présente cette réalisation terminée dans son édition du 26 novembre 2000 :
"Le
projet, constitué de deux bâtiments joints par des passerelles, est une
construction simple, épurée et Bruno Coycault revendique cette approche
minimaliste.
« Tout ce qu'on ne
met pas dans des éléments gratuits, inutiles, on le met dans des matériaux de
qualité », explique-t-il.
Le jury a certainement été sensible à ce
souci de sobriété, "sans recherche de
prouesse ou d'artifice". Résultat : une intégration réussie dans un
quartier populaire en pleine revitalisation. L'ensemble forme un porche urbain
pour un passage public, donnée de base du projet. Les occupants, eux,
apprécient les sensations d'espace et de lumière, deux mots clés du vocabulaire
des architectes."
Sur la notion de "porche urbain", lire l'article sur les projets qui n'ont jamais été réalisés à Robien, en cliquant ici
|
Le Clos Robien. Saint-Brieuc. Photo RF
|
La nuit la lumière sur la passerelle entre les deux immeubles produit des effets intéressants...
|
Le Clos Robien à Saint-Brieuc. Rue
Jules Ferry. Photo RF 2021
|
2001. Résidence Carlina
Les promoteurs qui ont commercialisé ce projet dès 1999 s'adressaient à des personnes souhaitant devenir propriétaire pour louer.
|
Annonce Ouest-France, 10 septembre 1999
|
La construction de la Résidence Carlina, rue Jules-Ferry, a commencé en 2001 et s'est achevée en 2002.
|
Annonce Ouest-France, 14 février 2001
|
Le 14 février 2001, voilà ce qu'écrivait Ouest-France :
"Entre les rues Jules-Ferry et François-Menez sortira bientôt de terre la résidence Carlina. L'ensemble comportera deux immeubles, de même architecture que les trois bâtiments de «Virginia», qu'ils prolongeront. De style moderne, aux lignes épurées, la Carlina s'inscrit dans la nouvelle dynamique donnée à Robien en matière d'architecture. La première tranche, rue Jules- Ferry, est en cours de terrassement. La seconde, rue François- Menez, est en phase de commercialisation. L'architecte Bruno Coycault les a prévus de même hauteur que l'immeuble les jouxtant. Soit une hauteur de trois étages plus un rez-de-chaussée. Les travaux devraient s'achever au début de l'année 2002.
L'immeuble, rue Jules-Ferry comprendra 15 logements (trois studios de 28 m² et 12 T2 de 45 m². Est prévu un local de 170 m² au rez-de-chaussée...
Le second bâtiment comprendra 32 logements (24 T2, de 38 à 50 m²; 3 T1 bis, de 35 à 38 m²; 3 studios entre 18 et 25 m² et 2 T3, de 50 à 55 m²). Le bardage (façade) sera en cuivre. La majorité des chambres et des cuisines sera orientée côté rue François-Menez, pour un plus grand confort. Des espaces verts et le parking occuperont l'espace entre les deux immeubles. «Ce type de logements s'adresse à une clientèle âgée de 40 à 50 ans ayant envie de réintégrer le centre-ville, après avoir vécu en maison. Et aussi à des célibataires de 30-35 ans», explique Hervé Bougnoux, de la Société HB Com, chargée de promouvoir le projet Carlina."
Le bureau de poste du quartier s'y est installé au rez-de-chaussée.
|
Le Carlina en construction en 2001. Photo Le Télégramme 7 septembre 2001
|
L'ensemble
comporte deux immeubles, de même architecture que les trois bâtiments de «Virginia»,
qu'ils prolongent. De style moderne, aux lignes épurées, la Carlina s'inscrit
dans la nouvelle dynamique donnée à Robien en matière d'architecture.
La
première tranche était celle de la rue Jules- Ferry, suivie par celle de la rue François- Menez. L'architecte Bruno Coycault
les a prévus de même hauteur que l'immeuble les jouxtant. Soit une hauteur de
trois étages plus un rez-de-chaussée.
|
Plaque de la Résidence Carlina. Photo RF 2021.
|
L'immeuble,
rue Jules-Ferry comprend 15 logements (trois studios de 28 m² et 12 T2 de 45
m²).
Le second
bâtiment comprend 32 logements (24 T2, de 38 à 50 m²; 3 T1 bis, de 35 à 38
m²; 3 studios entre 18 et 25 m² et 2 T3, de 50 à 55 m²).
Des espaces verts et le parking
occupent l'espace entre les deux immeubles. «Ce type de logements
s'adresse à une clientèle âgée de 40 à 50 ans ayant envie de réintégrer le
centre-ville, après avoir vécu en maison. Et aussi à des célibataires de 30-35
ans»,
(D'après un article du Télégramme publié le 14 février 2001)
|
La résidence Carlina rue Jules Ferry à St Brieuc. Photo RF 2020
|
Années 2000. Résidence Hoche
La Résidence Hoche est située au 55 du boulevard Hoche. Elle est construite au début des années 2000 après la démolition de hangars appartenant à la société Le Bail (ci-dessous, hangar à droite de la pharmacie).
|
Angle rue Jules Ferry et bld Hoche. Photo 1984 Annie Quarante.
|
La Résidence Hoche comprend des logements et des cellules au rez-de-chaussée pour des activités de bureaux ou de services.
|
Photo 2008. Google Street.
|
2010. Résidence Jardin de l’Ondine
Le maître d'oeuvre de ce projet dont 30 logements ont été réservés par Terre et Baie habitat, est le cabinet "Architectes&associés.com".
L'entrée de la résidence se fait rue André Gide.
|
Résidence Les jardins d'Ondine. St Brieuc. Photo RF |
2012, Résidence rue de l'Ondine.
De son côté, Terre et Baie Habitat réalise alors un ensemble de 13 appartements
rue de l’Ondine. L’architecte Dominique Bonnot et SABA architectes optent pour
un ensemble qui accorde une large place à un bardage bois, en pin douglas. Des
panneaux en verre armé donnent à l’accès commun une grande luminosité.
|
Le projet sur papier avant 2012
|
Ce
projet a été récompensé par le prix national de la construction Bois en 2012
dans la catégorie « logements collectifs et groupés ». Cette architecture
bioclimatique a été distinguée pour sa très haute performance énergétique.
|
Résidence Terre et Baie Habitat, rue de l'Ondine. St Brieuc. Photo 2020 RF |
|
Résidence Terre et Baie Habitat, rue de l'Ondine. St Brieuc. Photo 2020 RF |
2016-2018. Le Carré Hoche
Le Carré Hoche est constitué de quatre bâtiments dans le boulevard Hoche à la place de bâtiments commerciaux au 119 boulevard Hoche. C'est une réalisation de "Architectes Associés.com".
Le Carré Hoche a pris la place d'un hangar et d'une maison appelée "villa Marie"
Dans un premier temps de grands hangars abritaient les garages de France Télécom. "Troc de L'Ile" s'y installé puis une autre enseigne, "Troc.com", a pris la place.
Le dépôt-vente "Troc.com" a fermé le 31 octobre 2012.
|
Photo André Bougeard. Novembre 2012
|
|
Résidence "le Carré Hoche". St Brieuc. Photo RF |
2018. Résidence et maisons au 77 Boulevard Hoche
En 2016, début du projet de 26 logements avec une partie sur le boulevard Hoche, à la place de locaux utilisés par l'entreprise Davy, et une autre partie à l'arrière constituée de six maisons individuelles.
|
Modélisation. 2016
|
|
2019. Résidence, boulevard Hoche. St Brieuc. Photo RF |
|
2019. Résidence, boulevard Hoche. St Brieuc. Photo RF |
2020. Résidence Préférence, angle des rues Danton et Jean Jaurès.
C'est une résidence construite par le groupe Pierreval à la place de l'ancien Service Départemental d'Incendie et de Secours (S.D.I.S), à l'intersection des rues Danton et Jean Jaurès.
C'est un ensemble de 39 appartements : 25 privés et 14 logements sociaux gérés par Côtes-d'Armor Habitat.
|
Résidence rue Danton. St Brieuc. 2019. Photo RF |
|
Résidence en construction rue Danton. St Brieuc. 2019. Photo RF |
Racontez-nous votre vie dans un logement collectif
Sur le site de l'histoire de Robien, plusieurs articles ont déjà présenté
différentes formes d'habitats, mais racontez-nous aussi comment vous vivez dans
votre logement collectif : Connaissez-vous les dates de construction de
l'immeuble ? Est-ce que la promiscuité dans l'immeuble pose problème ou non ? Etes-vous satisfait ou non de votre
habitation et pour quelles raisons ( matériaux, espace vert, balcon,
superficie, proximité de commerces et services, logement adaptée aux familles
ou autre, économe en énergie) ?
Retour au sommaire ici
Sources
Archives municipales
Recherches dans les archives de Ouest-France en ligne.
Archives des journaux du CAR depuis juin 1984.
Site PSS-ARCHI.UE, page sur Saint-Brieuc listant tous les immeubles de la ville avec le nom des architectes, la date de construction, la hauteur etc. cliquer ici
Avec les contributions de Didier Le Buhan, Michel Le Borgne, Xavier Pageot,
Mary Simon des services de l'urbanisme de la Ville de St Brieuc.